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Mise à jour : 5 Décembre 2004

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ARCHIVES DES ASTRONEWS

 

Sommaire de ce numéro : NUMÉRO SPÉCIAL ARIANE!!!

 

qARIANE : Bon anniversaire, 25 ans déjà! Voir rapport spécial.

qCassini Saturne : Que de merveilles cette semaine!

qEROS : On sait pourquoi il y a si peu de petits cratères.

qLes rovers martiens : Derniers rapports de l'Université Cornell.

qTerre : Le glacier le plus rapide de l'Ouest!!

qESO : Le VLT a encore frappé!

qHubble : La plus jeune des galaxies.

qMagazine conseillé : L'ère Einstein.

qMagazine conseillé : Le risque climatique

qÀ NOTER : Conférence Saturne SAF

 

 

 

 

 

 

 

 

CASSINI SATURNE :

(Photos NASA/JPL)

 

La NASA s'est surpassée ces derniers jours avec une superbe photo que vous voyez sur la gauche, vue très vaporeuse de Saturne et de sa lune Mimas (400km de diamètre).

 

Elle est en couleur, disons naturelles, comme un être humain pourrait voir ce spectacle de l'orbite de Cassini.

Il faut un moment pour comprendre la prise de vue, Mimas est située devant l'hémisphère Nord de Saturne qui apparaît bleu (diffusion préférentielle dans le bleu, comme sur Terre la diffusion Rayleigh) sur cette photos, dans le bas on voit les ombres de l'anneau B se reflétant sur la surface de Saturne et plus bas, c'est une partie de l'anneau A, on voit même en faisant attention le très fin anneau F au dessus de l'anneau A.

 

Cette image a été obtenue avec la NAC (Téléobjectif) le 7 Novembre 2004 à une distance de 3,7 millions de km de Saturne.

 

 

 

 

Une autre superbe photo est visible si vous cliquez sur la petite icône à gauche.

On y voit une vue d'une portion des anneaux dans la partie nuit de Saturne ainsi que l'ombre de la planète sur ses anneaux.

Photo prise le 27 Octobre 2004 d'une distance de 600.000km en IR (1001nm).

 

 

 

Une autre merveille de Cassini, une animation des irrégularités de l'anneau F.

De loin, l'anneau F apparaît seulement fin et régulier, mais de près ce n'est plus le cas.

On le voit parfaitement sur cette animation gif de 44 images prise de 3 minutes en 3 minutes par Cassini le 28 Octobre 2004 alors qu'il se trouvait à 500.000km de Saturne.

Le centre de l'anneau F fait approximativement 50km de large et est situé à 80.000km de la surface de la planète. Ceux qui ne se souviennent plus de la disposition des anneaux, consultez cet astronews précédent.

 

On remarque des agglomérations de matière qui se propage le long de l'anneau, une explication satisfaisante n'a pas encore été trouvée.

 

Et voilà une image qui révèle l'extraordinaire résolution des photos de Cassini.

On voit sur cette portion de photo, la mini lune patatoïde Prométhée 100km de long, lune gardienne (shepherd moon en anglais) de l'anneau F que l'on voit dans le fond.

 

Image prise le 29 Octobre 2004 à une distance de 780.000km.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En cadeau, voici une vue des anneaux que vous pouvez utiliser comme fond d'écran (wall paper), vous cliquez sur CE LIEN et ensuite clic droit sur l'image puis choisir "établir en tant qu'élément d'arrière plan" (set as desktop en anglais).

 

 

 

 

Comme d'habitude, vous trouverez toutes les dernières images de Cassini au JPL:

 

 

 

 

 

 

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ÉROS : ON SAIT POURQUOI IL Y A SI PEU DE PETITS CRATÈRES.

(Photos NASA/JHUAPL)

 

Vous vous rappelez tous de la sonde NEAR qui s'était posée sur l'astéroïde ÉROS en 2001 après avoir été mise en orbite pendant près d'un an.

 

Ce petit bout de rocher de 30km de long , semblable à une énorme cacahuète, a été complètement cartographié et analysé sous tous les angles.

 

 

 

 

 

 

On avait remarqué en comptant les cratères (mais oui c'est la première chose que les astronomes font quand ils ont une nouvelle photo, en effet le nombre de cratères a un lien direct avec l'age du terrain) qu'il y avait très peu de cratères de petites tailles; or statistiquement c'était difficile à expliquer.

 

Et bien il semble que certaines personnes de l'Université d'Arizona se soient attelés au problème et aient trouvé une explication.

 

 

C'est un jeune étudiant ingénieur, Jim Richardson du Lunar Planetary Laboratory de Tucson (dépendant de l'UA : University of Arizona) qui s'est intéressé à cette question.

 

L'astéroïde est couvert bien normalement de regolith et de gravats (rubble piles en anglais) et la sonde a découvert des endroits où cette couche de poussières semblait s'être accumulée dans le fond des cratères.

Mais on ne comprenait toujours pas pourquoi il y avait si peu de petits cratères (<100m de diamètre). Ils semblaient être effacés!

 

Jim semble avoir trouvé l'explication, quand l'astéroïde est heurté par un autre de faible taille (ce qui est la moyenne dans le système solaire), il se produit des ….tremblements d'astéroïde!! Des ondes sismiques se propagent globalement dans le petit corps. Ces vibrations sismiques ont pour effet de combler progressivement le fond des cratères et de masquer les petits. Comme quand on tasse du sucre ou de la farine dans un bol, les secousses font se concentrer le produit vers le fond et vers le centre.

 

Les calculs ont montré que si Éros était dans la ceinture principale un cratère de 200m serait recouvert en 30millions d'années, mais Éros se trouve en dehors de la ceinture principale, il fait partie du groupe des Amors (voir présentation à La Villette de P Michel) et ce processus devrait prendre beaucoup plus de temps (1000 fois plus).

Les recherches et simulations de Jim Richardson sont confirmées par les observations, au lieu des 400 cratères de moins de 20m par km2 , il trouve bien un chiffre de l'ordre de 40 cratères de moins de 20m par km2.

 

Son étude est encore plus poussée que cela puisqu'elle a mise en évidence la structure interne d'Éros : il serait fracturé et en plusieurs morceaux qui ne tiennent que par la faible force de gravité.

 

Voilà un jeune homme qui a un bel avenir devant lui, souhaitons lui bonne chance!

 

 

Pour les initiés, voir un article écrit par Jim sur ce sujet en anglais of course , 4 pages en pdf et pour les super initiés l'article complet avec toutes les formules 25 pages pdf.

 

Voici un exemple du travail sur Éros, un relevé topographique autour du cratère Psyché.

 

Bleu : plat pente 0°

Jaune : 10°

Rouge : 35°

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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LES ROVERS MARTIENS :

(Photos NASA/JPL)

Des scientifiques de la célèbre Université Cornell (État de New York), ont publié un rapport sur les découvertes du robot Opportunity dans Meridianum Planum sur Mars.

Ce rapport confirme que l'eau a été présente à cet endroit au moins de façon intermittente et pendant ces périodes a complètement saturée le sol martien.

Ils en déduisent que les conditions ont été favorables au développement de la vie et cela c'est nouveau, des scientifiques qui se "mouillent" sur cette notion de possibilité de vie sur Mars.

 

Steve Squyres que nos lecteurs connaissent bien, est professeur à Cornell et est le responsable de la mission des rovers et aussi responsable de l'instrumentation.

Il publie aussi un article (ils vont tous paraître dans la revue Science datée 3 décembre 2004) impliquant qu'à l'époque où Meridianum Planum était gorgée d'eau, on ne peut pas confirmer définitivement la présence de vie à cette période. Il faut absolument ramener des échantillons de cette zone pour pouvoir poursuivre, car les robots actuels ne sont pas prévus pour la recherche micro biologique.

Ils recherchaient en fait des roches qui se seraient formées en présence d'eau liquide, et ils les ont trouvées.

Ceci a été prouvé par la présence de Brome et de Chlore dans les analyses du sol martien. De même le fort taux de Souffre dans certaines roches est aussi un indicateur de cet épisode liquide ainsi que la découverte de jarosite (sulfate de Fer hydraté) et les fameuses myrtilles (BB : Blue Berries) minuscules sphères prises dans la masse des roches.

 

Le seul handicap pour une vie éventuelle est le fait que l'eau était probablement acide et avait une forte salinité.

Voici ci dessus une vue d'artiste de ce que pourrait être Mars (ou a été?) avec un océan d'eau.

 

 

Il faut essayer de trouver ce numéro exceptionnel de la revue "Science" datée 3 décembre 2004 en France, cela ne va pas être facile, pour les Parisiens je conseille 2 adresses :

soit Brentano's avenue de l'Opéra, soit chez Smith rue de Rivoli,

nos amis Canadiens ont plus de chance que nous, ils le trouveront facilement..

 

 

 

Les meilleures photos sont comme toujours classées dans le planetary photojournal que vous pouvez retrouver à tout instant:

http://photojournal.jpl.nasa.gov/targetFamily/Mars

 

 

 

 

 

 

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TERRE :

(Photo NASA/USGS et Landsat)

 

Des scientifiques de la NASA (GSFC au Maryland) ont pu à l'aide de photos satellite suivre le mouvement d'un glacier au Groenland, et ont découvert que sa vitesse augmente de plus en plus, elle double entre 1997 et 2003. De plus, phénomène lié à cela, son épaisseur diminue, il perd sa glace à la vitesse de 15m d'épaisseur par an.

Ce phénomène a déjà été rapporté ici avec les icebergs de l'Antarctique.

 

Ce rapport implique que la fonte  des glaces est plus importante que prévue et que les grands glaciers sont plus sensibles à l'augmentation de la température.

 

Le glacier dont on parle a un nom, c'est le glacier Jakobshavn situé au Groenland, vous pouvez voir une animation Quicktime de son mouvement et de sa position au Groenland en cliquant ICI , il vous faut Quicktime depuis le temps que je vous le dis, je pense que tout le monde l'a maintenant.

 

On voit sur la photo ci-contre le retrait du glacier entre 2001 et 2003. (l'océan est bien entendu située à gauche).

 

Dans l'article original, vous pouvez aussi voir une photo très haute résolution de l'évolution depuis 1850, c'est assez impressionnant, on remarque vraiment que c'est dans les dernières années du XXème siècle que cela s'accélère.

 

Cette découverte, ou plutôt cette confirmation, est fondamentale, car plus les glaciers fondent, plus de l'eau douce coule dans les océans et plus le niveau de la mer augmente.

Ce glacier du Groenland est responsable à lui seul de 0,06mm par ans; soit 4% de la totalité de l'augmentation du niveau des eaux du XXème siècle (de l'ordre de 1,5mm).

 

Nos chercheurs du Maryland ont aussi montré que cette accélération correspond aussi à l'amincissement rapide du glacier. La langue de glace commençait à se réduire à partir de 2000 et en Mai 2003 s'est presque brisée.

 

Ce phénomène semble général parmi les glaciers de la planète comme le glacier Larsen B déjà évoqué ici.

 

 

 

 

 

 

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ESO : LE VLT A ENCORE FRAPPÉ!!!

 

Nos astronomes de l'hémisphère sud ont encore frappé; ils viennent de publier deux merveilleuses photos de galaxies similaires à la notre.

C'est un pure merveille, et je ne résiste pas à vous les montrer, il faudra quand même cliquer sur les petites images pour avoir la haute résolution et cela vaut le coup.

 

Voici la première, la galaxie NGC 6118 (NGC = New General Catalog) située dans le serpent. Image produite au télescope de 8,2m Melipal (ou UT3, un des 4 du VLT au Paranal) avec le VIMOS (Visible Multi Objects Spectrograph) développé par les équipes du labo d'astrophysique de Marseille.

 

C'est une galaxie située à 80 millions d'al et de type spiral légèrement barrée.

 

On remarquera sur la photo la Super Nova SN 2004dk découverte le 1er Août 2004.

Vous voulez connaître l'état des découvertes actuelles de Supernova, rien de plus faciles, voici la page des dernières découvertes.

 

 

 

 

 

 

 

 

La deuxième galaxie imagée par le VLT est aussi une galaxie spirale mais vue de dessus, c'est la célèbre NGC 7424

 

 

Située à 40 millions d'al de nous, elle a été découverte par William Herschel (celui de Uranus) quand il observait du cap de Bonne Espérance.

 

Elle est du type intermédiaire entre une galaxie spirale normale et une spirale fortement barrée.

Elle fait 100.000al de diamètre comme notre propre galaxie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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HUBBLE : LA PLUS JEUNE DES GALAXIES

(Photos Hubble)

 

 

Le télescope spatial Hubble (HST) vient de découvrir ce qui pourrait être la plus jeune galaxie jamais vue.

 

Ce serait la galaxie appelée I Zwicky 18, nom cabalistique que personne à ma connaissance n'a expliqué sur le Net.

Alors j'ai été pour vous à la recherche et j'ai trouvé.

Comme vous le savez tous d'après les exposés récents, Fritz Zwicky, célèbre astronome américano-suisse a étudié systématiquement le ciel dans les années 1930 afin de cataloguer notamment les super novas. Il a effectué plusieurs listes de galaxies et d'objets célestes (Zwicky Galaxy Data Base : 30.000!!!!), sa première liste  s'appelle bien évidemment en anglais I Zwicky (First Zwicky soit avec un I en chiffre romain), il y en a apparemment VIII. Cette galaxie se lit correctement ainsi : First Zwicky 18. (Vous voulez poursuivre et savoir comment ces galaxies sont nommées de façon générale, et bien vous avez raison, la NASA l'a fait pour vous, voici un site qui explique la nomenclature des galaxies)

 

 

Revenons à nos moutons ou plutôt à notre nouvelle née, cette galaxie aurait seulement 500 millions d'années, et c'est la première fois que l'on voit une telle jeunette. En effet elle s'est formée après que la vie ait déjà explosé sur notre planète , c'est une surprise.

Sa distance est aussi une surprise, c'est une presque voisine, 45 millions d'al, on pensait que les nouvelles galaxies étaient beaucoup plus éloignées.

Comment a été déterminé l'age de cette galaxie (naine par ailleurs)? En recherchant les "vieilles" étoiles dans le voisinage, et on n'en a trouvé aucune. De plus le gaz de cette galaxie est composé principalement d'Hydrogène et d'Hélium, les deux éléments constitutifs du début de l'Univers. En effet si des étoiles plus âgées avaient été présentes, la métallicité (terme barbare des astronomes pour tous les éléments supérieurs à H et He) aurait été plus grande, on aurait trouvé des traces des éléments lourds, ce ne fut pas le cas.

 

Zwicky 18 se trouve dans le bas à gauche de la photo, les points plus blancs correspondent aux pouponnières d'étoiles, les filaments bleus sont des bulles de gaz chauffées par le rayonnement des jeunes étoiles, les étoiles plus anciennes (mais quand même moins de 1 million d'années) sont rouges.

On aperçoit une galaxie compagnon en haut à droite.

 

Cette nouvelle découverte donne aux astronomes la possibilité d'étudier une galaxie dans sa phase de jeunesse.

 

Voir ce site de M Besnier pour comprendre la classification (de Hubble) des différentes galaxies.

 

 

 

 

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MAGAZINES CONSEILLÉS : L'ÈRE EINSTEIN

 

Vient de paraître (datée décembre 2004) un numéro spécial de Pour la Science en ouverture à 2005, l'année Einstein (si vous ne savez vraiment pas pourquoi, vous devez l'acheter!). Il est plein d'articles en grande partie abordables par un large public.

 

L’année 2005 sera celle de la physique. Que se doit-on de célébrer ? Le choix est vaste, tant la physique a connu des révolutions et des progrès spectaculaires au cours du siècle qui vient de s’écouler. Pourtant, le nom d’Einstein s’impose presque immanquablement. Il y a 100 ans, en 1905, un jeune homme prénommé Albert publiait coup sur coup trois articles marquants pour la postérité. L’un d’eux introduisait la théorie de la relativité, qui a bouleversé nos concepts d’espace et de temps. Un autre interprétait l’effet photoélectrique (la production d’un courant électrique par une irradiation lumineuse) en termes de grains d’énergie que l’on nommera ensuite photons. Le troisième expliquait le mouvement brownien en termes de chocs moléculaires, ce qui servit, quelques années plus tard, à apporter la preuve irréfutable de l’existence des atomes.
Comme le soulignent les articles de ce numéro spécial, les travaux d’Einstein, de 1905 jusqu’à sa mort en 1955, ont nourri ou annoncé une grande part de la physique d’aujourd’hui. De la théorie quantique à l’étude des particules élémentaires, de la physique du laser à la science du cosmos, l’empreinte d’Einstein est omniprésente. L’emblématique savant, qui était aussi un citoyen engagé, a laissé ses traces dans nombre d’inventions qui animent notre quotidien : électricité d’origine nucléaire, lecteurs de CD ou de DVD, récepteurs GPS, etc. Et demain, peut-être, ses réflexions se matérialiseront par des lasers à atomes ou par des ordinateurs quantiques. Einstein, 50 ans après sa disparition, est toujours parmi nous.

 

En voici le sommaire à consulter.  6,40€.

 

 

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MAGAZINES CONSEILLÉS : LE RISQUE CLIMATIQUE

 

Numéro daté Décembre 2004-Février 2005, publié par les Dossiers de La Recherche.

Le risque climatique.

 

Fait le point sur le réchauffement (?!) climatique et l'historique.

Essentiel pour comprendre ce qui se passe dans la machine Terre.

 

Qu'est-ce que l'effet de serre ? Quel rôle joue le soleil dans le réchauffement planétaire ? A quel rythme monte le niveau de la mer ? Pourquoi les coraux blanchissent-ils ? Peut-on s'attendre à plus de canicules ? Il y aura-t-il une recrudescence des maladies dues à la chaleur ? Pourquoi la température moyenne de la Terre est-elle de 15 degrés Celsius ? Comment l’océan influence-t-il le climat ? L’élevage intensif joue-t-il un rôle dans l’effet de serre ? L’avancée des océans sur les côtes est-elle réelle ?

 

 

Consulter absolument ce site de La Recherche qui fournit une multitude de liens vers les sujets climatiques, il n'y a pas mieux pour aborder le sujet.

 

6,50€.

 

 

 

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À NOTER SUR VOS TABLETTES :

 

La SAF organise une conférence exceptionnelle le mercredi 15 Décembre 2004 à 20H30

à l'Institut Océanographique     195 rue St Jacques à Paris sur :

Le Monde de Saturne par la grande spécialiste Cécile FERRARI

Courrez-y, vous apprendrez les dernières nouveautés de la mission Cassini sur Saturne, Titan et les autres satellites.

 

 

 

 

 

 

 

 

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C'est tout pour aujourd'hui!!

 

Bon ciel à tous!

 

JEAN PIERRE MARTIN

 

 

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