LES ASTRONEWS.de planetastronomy.com:
Mise
à jour : 30 Janvier 2005
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Astronews précédentes : ICI
Sommaire de ce
numéro :
qQuasars
et trous noirs géants : CR de la conférence de la SAF donnée par S Collin.
qNos origines : Les
piliers de la création.
qSpitzer : La
naissance d'étoiles en direct!
qSWIFT : Les premières
sursauts (gamma!).
qHuygens Titan : Les
yeux de Huygens.
qLes rovers martiens :
De la poussière au bout d'un an.
qSmart-1 : Premières
photos de la Lune.
qHubble : SOS SOS
Sauvetage en péril.
qISS : On coince la
bulle!
qDes livres magazines et DVD
: L'Astronomie de Février 2005.
(Photos ASU)
Une
équipe sino-américaine (dont Laurie Leshin de la célèbre Arizona State
University ASU voir photo) a étudié en détails une météorite
chinoise nommée météorite de NingQiang, c'est une de type chondrite carbonée.
Ils se sont aperçu qu'il y avait une présence de Chlore 36, un élément
radioactif de courte période (enfin tout est relatif sa période est de
300.000ans).
Cette météorite
primitive provient du début de la création du système solaire, il y a plus de 4
milliards d'années.
Après analyse, on
remarque qu'elle contient des inclusions de Calcium , d'aluminium et de sodalite,
un composant riche en Chlore.
Ils ont trouvé en
fait des traces de Soufre 36 qui est le résultat de la désintégration naturelle
du Cl 36 et qui donc indique la présence passée de Chlore. Le Cl 36 peut se
former de deux façons, soit dans l'explosion d'une supernova, soit par
irradiation d'un nuage de gaz stellaire près d'une étoile en formation. Cette
deuxième hypothèse est éliminée car la météorite origine a été formée
certainement loin du soleil naissant.
Il n'y a plus de
Cl 36 dans le système solaire comme le confirme le Dr Leshin; directeur du
département météorites à l'ASU. On vient donc de découvrir la preuve irréfutable
de la présence de deux isotopes de durée de vie relativement courte le Cl 36
(et aussi du Fer 60) qui semblent indiquer que notre système solaire doit sa
genèse à un petit coup de pouce d'une super nova qui a explosé dans le coin et
a ensemencé l'espace environnant.
(Photo : NASA/HST "les
Piliers de la création" dans l'Aigle; lieu de naissance d'étoiles)
Ces découvertes
sont déjà parues dans un article du
mois de mai 2004 et les récentes mesures n'ont fait que confirmer ce que
l'on supposait.
Il faut voir les
images livrées avec cet article de presse.
Jeff Hester l'auteur
de cet article nous dit qu'il y a deux sortes d'environnements possibles qui
peuvent favoriser la formation d'étoiles de faible masse : un procédé lent et
calme comme une nébuleuse gazeuse qui progressivement se condense (théorie en cours jusqu'à présent) et un autre
processus radicalement différent : dans un environnement
près d'étoiles massives très lumineuses.
On voit sur la
gauche une explication de la formation d'étoiles de faible masse (comme notre
Soleil) dans un environnement proche d'étoiles massives. (crédit : Jeff Hester
ASU).
En effet quand une
étoile massive se forme, ses rayonnements UV intenses forment ce que l'on
appelle une région HII (région d'Hydrogène ionisé, contrairement aux régions HI
où l'Hydrogène est sous forme atomique non ionisé).
Ces gaz ionisés se
propagent (de la gauche vers la droite) à travers l'espace interstellaire en donnant
naissance à une "onde de choc" qui va
compresser les nuages stellaires environnant favorisant ainsi la formation
d'étoiles peu massives à longue durée de vie.
On remarque ces
phases dans la partie 1 du schéma.
Cette nouvelle
étoile en formation se trouvant de plus en plus exposée aux rayonnements, donne
naissance au bout de quelques centaines de milliers d'années (partie 2 du
dessin) à ce que nos amis anglo-saxons appellent poétiquement un EGG
(Evaporating Gaseous Globules : Globules gazeuses en train de s'évaporer, mais
EGG veut aussi dire œuf en anglais). Ce sont ces fameux EGG que l'on voit sur
la célèbre photo prise par Hubble de la nébuleuse de l'Aigle (voir plus haut)
ou de la nébuleuse Trifid (voir plus bas).
Cette EGG au bout
d'un certain temps (10.000 ans typique) s'évapore et laisse la place à une
étoile en gestation (parties 3 et 4). Celle-ci a la forme caractéristique d'une
larme que l'on appelle "proplyd" (abréviation barbare de
protoplanetary disk , disque proto planétaire), c'est cela que l'on voit dans
les images de Hubble.
En quelques mots
plus simples , ce qui se passe :
ONDE DE CHOC àCOMPRESSION MATIÈRE à EGG à PROPLYD à SOLEIL
Quand l'étoile
génitrice (la massive) est en bout de course (rappelons nous, ces étoiles ne
vivent pas vieux) et devient une supernova, les produits élaborés en son centre
(et notamment Cl 36 et Fe 60) se propagent à travers l'univers et notamment
sont absorbés par la nouvelle étoile née (partie 6 du dessin) et par ses
planètes en formation.
Et quand on trouve
une météorite avec ses éléments …. Vous connaissez la suite maintenant.
Voici
la nébuleuse Trifid (ou M20 à approximativement 5000 al de nous) lieu de
prédilection de ces proplyds avec les explications marquées sur la photo.
(YSO : jeune objet
solaire)
Crédit photo : HST
et J Hester ASU
Nous sommes
donc bien des enfants de supernova, ou des poussières de supernova!
(photos et dessin
: NASA/JPL et Caltech)
Le télescope
spatial en Infra Rouge Spitzer a découvert une "nurserie" d'étoiles.
Rappel sur Spitzer (anciennement appelé SIRTF : Space
Infra Red Telescope Facility puis débaptisé pour rendre hommage à Lyman Spitzer,
astrophysicien mort en 1997 et qui fut le premier à proposer l'idée d'un
télescope spatial) :
Aperçu de divers
télescopes spatiaux : du satellite Intégral (Gamma) à Spitzer (en IR) en
passant pas Galex (non représenté) en UV.
On a lancé le
satellite Spitzer le 25 Aout 2003 de Cap Canaveral
Il est dédié à
l’étude du ciel dans le proche et lointain IR : 3 à 180µ
Il comprend un
télescope de 85 cm de diamètre type Ritchey-Chrétien et il est presque entièrement
en Béryllium (faible capacité thermique)
Comme les
radiations IR sont principalement des rayonnements de chaleur, il faut
refroidir les instruments à une température proche du zéro absolu
C’est le rôle du
CTA (Cryostat à l’Helium)
On aperçoit
l'immense protection thermique du télescope en cours d'assemblage.
L'UNIVERS EN IR :
Permet
de voir au travers des nuages de matière stellaire
L’IR apporte des informations sur les objets « froids » t.q. planètes extra solaires, naines brunes, molécules organiques etc..
Revenons à nos récentes découvertes :
Voici la célèbre
nébuleuse Trifid imagée en IR par ce télescope spatial, on y a remarqué des
"incubateurs stellaires" lieux où des
étoiles sont en formation et dont la chaleur a été détectée par les yeux Infra
Rouge très sensibles de Spitzer.
On peut voir ainsi
pour la première fois la naissance d'étoiles massives, celles ci prennent
naissance généralement dans des zones d'espace très sombres et de façon très
rapide si bien qu'il a été très difficile jusqu'à présent de les surprendre au
moment de leur naissance.
Spitzer nous
permet de voir au travers des nuages interstellaires et d'identifier les
"embryons" stellaires.
La nébuleuse
Trifid est située à plus de 5000 al de nous dans le Sagittaire et est connue
pour être un lieu de naissance de prédilection pour ces jeunes étoiles.
On avait identifié
des concentrations de matière (cores ou knots en anglais) au nombre de 4, qui
sont en fait des vrais incubateurs pour ces jeunes étoiles.
On pensait qu'ils
n'étaient pas encore "murs", mais Spitzer vient de prouver le
contraire, il a détecté la chaleur se dégageant de ces nœuds; la conclusion est
: ils sont en pleine phase embryonnaire!
Cette nébuleuse
est unique dans le sens où elle possède en son centre une seule étoile massive
qui est âgée de 300.000 ans , ce sont les vents et les émissions de radiations
avec leurs ondes de choc qui ont donnés à cette nébuleuse son aspect caverneux
que l'on voit très bien sur
cette photo.
Spitzer
a découvert 30 étoiles à l'état embryonnaire dans les quatre nœuds de cette
nébuleuse. (voir photo).
C'est la première
fois que l'on découvre des amas d'embryons stellaires.
Bertrand Lefloch
de l'Observatoire de
Grenoble est le co-auteur de cette découverte.
Spitzer a aussi
révélé 120 bébé étoiles engluées dans les nuages externes de la nébuleuse.
Comme vous le
savez le satellite SWIFT a été lancé avec succès et est maintenant
opérationnel.
Il est dédié à
l'étude des sursauts gamma (Gamma Ray Bursts en anglais ou GRB) et il vient de détecter son premier GRB
qui correspond certainement à la naissance d'un tout nouveau trou noir.
L'origine
des sursauts gamma (événement le plus puissant de l'univers) est encore un
mystère, mystère qui se réduit quand même de jour en jour. On sait que beaucoup
de GRB apparaissent comme la conséquence des étoiles très massives qui
s'effondrent en trou noir, ou des systèmes stellaires binaires (coalescence)
comportant soit une étoile à neutrons soit un trou noir. (voir conférence
IAP sur les SN).
Ce sursaut
(identifié par le code : GRB050117) a été détecté le 17 Janvier 2005 et en
moins de 200 secondes il a pu être imagé par le télescope rayons X, XRT et les gamma détectés par le télescope
spécial BAT (voir article précédent).
C'est la première fois qu'un télescope X prend une photo d'un
GRB au moment de son explosion, la plupart des
sursauts sont très courts (entre 10 s et une minute) et jusqu'à présent on
n'avait été capable que de photographier la rémanence du GRB (afterglow en
anglais) et non pas le sursaut lui même.
Je n'ai pas trouvé
de photo officielle de ce sursaut sur le Net, donc si l'un d'entre vous en a
une , merci de l'envoyer pour publication.
(Photos NASA/JPL
et ASU)
Tout d'abord il y
a très peu de photos qui donnent une idée de la taille de la sonde Huygens sans
son bouclier de protection.
J'ai
eu la chance de pouvoir être en contact avec Ralph Lorenz du Lunar Planetary
Laboratory (LPL) de Tucson, Arizona qui a travaillé sur Huygens, il a participé
à l'élaboration du pénétromètre (partie du package
SSP)qui a mesuré l'enfoncement de la sonde dans le sol.
Il a une superbe
photo que vous voyez à gauche de la sonde Huygens qui vous donne une idée de sa
petite taille (mais elle a fait le maximum comme on dit!). Merci à lui pour
cette photo, je signale aussi qu'il a écrit un livre sur Titan : Lifting
Titan's Veil: Exploring the Giant Moon of Saturn que vous pouvez trouver
chez Amazon.
Tous les
instruments de Huygens sont décrits à
l'ESA. pour ceux qui veulent plus de détails.
Revenons donc à
nos images et à leur conception.
On a tous été
ébahis par les premières images de Huygens en provenance de Titan via Cassini,
aussi nous allons nous intéresser à l'élaboration de ces images par l'équipe du
DISR
(Descent Imager Spectral Radiometer) de Martin Tomasko.
Il
y a 3 caméras principales dans ce système que l'on voit sur la gauche.
Ces trois caméras
sont situées à droite de la lampe d'éclairage? lampe utilisée lorsqu'on arrive
près du sol.
Ces caméras vont
permettre d'imager le plus de surface possible de Titan pendant la descente.
Il y a, à partir
de la position verticale (le nadir) :
** La caméra haute
résolution HRI (High Resolution Imager)
** La caméra
moyenne résolution MRI (Medium resolution Imager) et
** la caméra pour
voir de côté SLI (Side Looking Imager)
Les angles
couverts par ces 3 caméras sont a peu près les suivants.
La caméra HRI voit
le sol en vertical
La MRI voit entre
la verticale et 45°.
La SLI voit de
côté et presque à l'horizontale.
L'ensemble de ces
3 caméras donne trois informations images qui sont stockées sous forme d'un
"triplet" qui est transmis à la Terre.
Près de 350
triplets ont été transmis par Huygens, on peut tous les voir ICI .
Je les ai tous
vu!! Et j'en ai choisis un typique pour vous montrer comment décoder les
informations.
Voici le triplet
644 (la numérotation est spéciale!).
En haut du triplet
: l'image de côté de la SLI
(on reconnaît la
côte et le réseau fluvial)
Au milieu l'image
de la MRI.
En bas l'image du
Nadir (vertical) de la HRI.
En fait les images
sont logiquement arrangées elles correspondent à ce qu'on verrait si on
regardait l'horizon puis si on baissait les yeux vers le bas.
Une fois les
triplets reçus, ils sont séparés en leurs différents angles de vue puis collés
et assemblés en mosaïque.
Maintenant que
vous savez tout sur ces caméras, on peut regretter que pas plus d'images
officielles n'aient été diffusées pour le public, espérons que cela va changer.
Nos confrères de
la Planetary Society ont une très
belle page sur le système d'imagerie et qui est très complet.
Dernières infos
sur Titan Huygens
Voir le site de
l'ESA : http://www.esa.int/SPECIALS/Cassini-Huygens/
Et sa galerie
de photos de titan.
(Photos NASA/JPL)
Depuis leur
atterrissage il y a plus d'un an sur Mars, nos deux sympathiques robots sont
soumis en permanence aux vents martiens et donc à la poussière.
On voit sur la
photo suivante le dépôt de poussières en un an sur Spirit.
On estime la
couche de poussières de 1 à 10 microns (millième de mm) d'épaisseur.
Spirit a une
couche plus épaisse qu'Opportunity et cela se ressent sur la fourniture
d'électricité qui diminue progressivement.
De même la mire de
calibration couleur (qui sert aussi de gnomon c'est à dire de cadran solaire)
qui occupe la majeure partie de l'image est recouverte de cette poussière rouge
caractéristique.
Pour information
le petit disque à droite de l'image est un des nombreux aimants de la sonde
permettant d'attirer les poussières magnétiques.
La NASA fournit une superbe image de la
sonde Opportunity vue d'orbite par le satellite Mars Global Surveyor et sur
laquelle on peut suivre la trace des déplacements du rover.
Cliquez sur
l'image pour la voir avec moult détails.
Opportunity continue à étudier
l'environnement autour du bouclier thermique, il 'examine avec son microscope
situé au bout de son bras télescopique comme on le voit sur la photo suivante.
On remarque aussi en gros plan un des ressorts d'éjection du bouclier. (sol
358).
Les meilleures photos
sont classées dans le planetary photojournal que vous pouvez retrouver à tout
instant:
http://photojournal.jpl.nasa.gov/targetFamily/Mars
Ça y est, après un
long et lent périple autour de notre satellite, SMART 1 est enfin dans les
griffes gravitationnelles de la Lune.
Sa propulsion
ionique a été coupée le 10 Janvier 2005. (voir explication dans un astronews
précédent).
Il a commencé
à prendre des photos.
Voici une des
premières mosaïques de cette sonde.
Pour voir le
cratère Pythagore avec plus de détails cliquez ICI.
D'autres
images commencent à arriver.
Voici les cratères
Brianchon (centre gauche légèrement coupé) et Pascal (centre moitié inférieure
de l'image)
Photo prise le 29
Décembre 2004 par AMIE, système
d'imagerie de la sonde.
Bernard Foing
(photo) de l'ESA est un des responsables scientifiques de cette mission.
La mission de
SMART commence maintenant et va durer officiellement 6 mois. En effet au bout
de 6 mois les perturbations gravitationnelles (dues à la Terre) vont la faire
spiraler vers la surface lunaire si on n'applique pas un petit rallumage de
moteur. Et le carburant restant (le Xénon) est un peu juste, il resterait de
l'ordre de 5kg utilisable et il en faut 4 pour la plus petite manœuvre.
Nos gentils
savants de l'ESA se creusent la tête pour voir comment optimiser au mieux cette
quantité afin de prolonger le plus possible la vie de SMART.
Nos amis
américains ne seraient ils plus nos amis. La Maison Blanche, sur les conseils
de Sean O'Keefe administrateur de la NASA en partance, envisage sérieusement
d'abandonner le sauvetage de Hubble par une mission robotisée , mission dont le
déroulement prévu a déjà été relaté
ici.
Le coût d'une
telle mission avait été évalué à 1 milliard de dollars (polémique américaine
sur cette évaluation qui aurait été copieusement "chargée" pour la
rendre indigeste par le Congrès), et c'est bien entendu le problème. Cela
semble trop élevé par rapport aux autres priorités américaines (le retour de la
navette dans l'espace). Ils souhaitent consacrer une somme plus modeste pour un
robot qui devrait s'accrocher à Hubble et ainsi suicider le télescope spatial
(on dit dé-orbiter en politiquement correct!) en le précipitant dans les
couches denses de l'atmosphère.
Beaucoup de
personnes haut placées aux USA, défendent quand même le projet de sauvetage de
Hubble et rien n'est joué, nous aurons besoin du soutien de toute la communauté
scientifique pour cela.
Des solutions
alternatives comme celles de Skycorp qui proposait d'accrocher une sorte de
voile solaire à Hubble afin de le ramener progressivement vers l'orbite de
l'ISS (Hubble est beaucoup plus haut que l'ISS et il faut aussi un changement
de plan de l'orbite) n'a à priori pas été retenue.
Hubble est le seul grand télescope spatial dans le visible et l'UV
que nous avons en fonctionnement, il a participé aux plus grands succès de
l'astronomie moderne et ce serait un scandale de le condamner à mort de cette
façon là. Si l'on ne fait rien (batteries gyroscopes etc..) sa vie utile peut
s'arrêter en 2007.
Il n'y aurait pas
de remplacement avec un télescope similaire avant les années 2012 au moins.
Hubble est le plus
important outil scientifique pour la communauté internationale d'astronomes, il
ne doit pas mourir bêtement.
Seuls les médias
et le public, vous et moi, peuvent maintenant influencer la décision des
américains.
SIGNEZ TOUS LA PÉTITION ON-LINE POUR SAUVER
HUBBLE;
Il y a un site qui
a été crée , il s'appelle bien sûr : Save the Hubble.
Espérons que nous
saurons sauver Hubble.
(Photos NASA)
Tout se passe bien
à l'intérieur de l'ISS, nos deux astronautes ont fait de l'entretien dehors.
Je suis tombé sur
une photo de Leroy Chiao, l'américain faisant une expérience avec une bulle
d'eau et je trouve la photo amusante, aussi je vous la soumets.
Rapport des missions ISS mis à jour.
L'Astronomie, revue
de la SAF de Février 2005 est parue.
Si vous n'êtes pas
membre de la SAF, vous pouvez la trouver soit :
** au siège de la
SAF 3, rue Beethoven, 75016 Paris
Tél.
+33 (0)1.42.24.13.74 Fax.
+33 (0)1.42.30.75.47 Observatoire
+33 (0)1.40.46.20.00 Atelier
+33 (0)1.40.46.24.98 , détails sur le site Internet de la SAF.
** à la Maison de
l'Astronomie rue de Rivoli à Paris.
Je
vous signale un article de notre collègue et ami Pierre Nardon de VÉGA
(Plaisir) qui présente sa méthode de mesure de l'Unité Astronomique pendant le transit de l'année dernière
(photo de JPM à l'appui). Cette méthode présente l'originalité de ne faire
appel qu'à UN SEUL OBSERVATEUR.
Bravo Pierre!!
SOMMAIRE du numéro de Février 2005
Éditorial - par Nicole Mein
Actualité
Un second trou noir au centre de la Voie lactée -
Une origine possible
des rayons cosmiques – par Claude Picard
le point du spécialiste
Du rayonnement solaire à l’atmosphère et au climat
de la Terre
par Gérard Thuillier
Histoire
La lunette de photographie solaire de Janssen
par Régis Le Cocguen et Françoise Launay
Arthur Stanley Williams Saturne et ses taches
par Stéphane Lecomte
Anniversaires Astronomiques 2005
par Simone Dumont et René Dumont
Passage de Vénus 2004
Une observation curieuse... le liseré de Vénus
par Claude Mercier
Détermination de l’UA par un observateur unique
lors du passage de Vénus devant le Soleil
par Pierre Nardon
Chronique –27
La chromosphère solaire
par Zadig Mouradian
Activité solaire de fin 2004
par Claude Courdurié
Observation solaire en H alpha avec les filtres Coronado
par Jean-Louis Badin
Le PST par Philippe Morel
Vie de l’association
Le point de vue de J.C. Pecker sur la Cosmologie
par Jean-Pierre Martin et Claude Picard
L’observatoire de Juvisy par
Patrick Guibert et Jean-Claude Amacher
Observatoire
Quand les astronomes font les gros yeux
par Henri Royer
L’observatoire de Juvisy par
Patrick Guibert et Jean-Claude Amacher
Mais aussi
Éphémérides de mars 2005
Dans l’actualité scientifique
@stronet par Jean-Pierre
Martin
Portraits célestes par
Denis Joye
Cadrans solaires (25) par
Alain Ferreira
C'est tout pour
aujourd'hui!!
Bon ciel à tous!
Astronews précédentes : ICI