Notre amie Natahlie Cabrol, qui travaille au centre Ames de la NASA en Californie (Silicon Valley près de San Francisco) est une experte astrobiologiste impliquée fortement dans l’exploration de Mars. LES ASTRONEWS de planetastronomy.com:
Mise à jour : 28 Août 2015
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Sommaire de ce numéro :
Nathalie Cabrol : Elle va diriger le centre Carl Sagan au SETI. (28/08/2015)
Cathédrale de Strasbourg : 1000 ans d’éternité par Paola Antolini notre envoyée spéciale. (28/08/2015)
New Horizons :.Mais d’où vient l’azote ? (28/08/2015)
Dawn :.On se rapproche, mais les mystères restent ! (28/08/2015)
Insight : La nouvelle mission US vers Mars. (28/08/2015)
Apollo 11 : Un note de frais vraiment pas excessive…. (28/08/2015)
Hubble :.Les ailes du papillon ! (28/08/2015)
Cassini-Titan :. Découverte de méga-yardangs à la surface de Titan (28/08/2015)
Un site Internet à découvrir :.Le patrimoine des horloges. (28/08/2015)
Les magazines conseillés :.L’Astronomie de Septembre est sorti. (28/08/2015)
Les magazines conseillés :.Pour la Science de Septembre (28/08/2015)
NATHALIE CABROL : ELLE VA DIRIGER LE CENTRE CARL SAGAN AU SETI. (28/08/2015)
Notre amie Natahlie Cabrol, qui travaille au centre Ames de la NASA en Californie (Silicon Valley près de San Francisco) est une experte astrobiologiste impliquée fortement dans l’exploration de Mars.
On se rappelle que c’était sur ses conseils (en tant qu’élève d’Audouin Dollfus) que le robot Spirit s’était posé dans le cratère Gusev.
Elle s’intéresse aussi à la recherche de la vie martienne en parcourant….les Andes régulièrement afin d’y trouver des analogies possibles.
Photo : crédit : NASA.
L’Institut SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence, recherche d’intelligence extra terrestre) basé aussi en Californie vient de nommer Nathalie responsable de l’Institut Carl Sagan pour l’étude de la vie dans l’Univers.
Le SETI se consacre depuis plus de 30 ans à la recherche de civilisations avancées par des moyens radio ou optiques.
Le SETI participe aussi activement aux programmes martiens et de New Horizons ainsi que de Kepler.
Il possède aussi son propre réseau de radiotélescopes : ATA (Allen Telescope Array).
Nous sommes très heureux de pouvoir féliciter Nathalie pour cette nomination amplement méritée.
Voir son intervention à la SAF au moment du lancement des robots martiens.
CATHÉDRALE DE STRASBOURG : 1000 ANS D’ÉTERNITÉ PAR PAOLA ANTOLINI NOTRE ENVOYÉE SPÉCIALE. (28/08/2015)
Strasbourg : 1015 -2015 la cathédrale de toute éternité s’allume comme une étoile pour son premier millénaire toutes les nuits d’été jusqu’au 20 septembre.
C’est Paola Antolini, anthropologue et journaliste qui a été notre envoyée spéciale en Alsace pour nous raconter cet évènement que vous pouvez vivre en lumière jusqu’au 20
septembre.
Voici son reportage :
C’est une découverte inoubliable voir la légendaire cathédrale de Notre-Dame de Strasbourg, s'allumer au cœur de la nuit estivale et rayonner comme une étoile, pour célébrer son premier millénaire.
Grâce à une excellente synergie entre Roland Ries, Maire de la Ville et l’Eurométropole de Strasbourg, les autorités de la cathédrale et l'étonnant savoir-faire de Hélène Richard et Jean –Michel Quesne, directeurs artistiques de Skertzo', toutes les séances de cette puissante mise en son et en lumière de la cathédrale sont très appréciées et
soutenues par les applaudissements du nombreux public présent.
La mythique horloge astronomique de la cathédrale, chef d'œuvre de la Renaissance, produit d'une collaboration entre artistes, mathématiciens et techniciens est bien présente parmi les principales séquences oniriques projetées sur le monument.
L'illumination fantastique de Skertzo' de la cathédrale de toute éternité est habillée par une musique intemporelle venant de derrière les colonnes de ce chef-d'œuvre majestueux de l'art ancien. La symphonie a été imaginée pour être perçue par nos oreilles comme si nous étions à l’intérieur de la cathédrale.
On commence ainsi un véritable voyage dans le temps dans lequel la cathédrale prend vie.
L'éclairage vigoureux restitue –grâce au minutieux travail d’archive des graphistes de Skertzo’ - la polychromie originelle de la cathédrale, ainsi que les nombreuses années de travail acharné, tout au long de quatre siècles - d'une armada autrement invisible composée d’artisans hautement qualifiés.
Très impressionnant est aussi la coloration différente de chaque statue par des rayons de lumière précis.
Crédit : SKERTZO
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Quelques exemples d’illuminations. (Crédit : SKERTZO)
Ainsi soudainement les idées, les mythes et toutes les merveilles du Genius loci de l’art et de la science de Strasbourg jaillissent et le vaisseau de pierre de sable est recouvert de verdures, puis de roses et enfin il part en fusée à la rencontre de son futur millénaire.
On en ressort recouverts de poussière d’étoiles dorée et ressourcés, prêts pour le prochain rendez-vous en 3015 et peut être même avant, pour revenir à Strasbourg et admirer la cathédrale pour la grande fête de Noël, pendant cette année mondiale de la lumière, pour tout ce qui nous reste à découvrir.
NEW HORIZONS :.MAIS D’OÙ VIENT L’AZOTE ? (28/08/2015)
On s’en doutait, l’azote (en anglais Nitrogen, qui est malheureusement souvent mal traduit dans les films américains en nitrogène, qui est sa domination en vieux français) est un composant important de la faible atmosphère et de la surface de Pluton.
On sait aussi que dû à la faible masse de Pluton, il s’échappe dans l’espace au taux de centaine de tonnes par heure.
Mais d’où vient ce gaz ?
Un post-doc du SwRI, Kelsi Singer et son patron, le PI de la mission, Alan Stern se sont intéressés au problème.
Ils viennent de publier dans les Astrophysical Lettres un article à ce sujet : “On the Provenance of Pluto’s Nitrogen.”
Cet article est très intéressant à lire, car il donne des détails chiffrés sur les différentes hypothèses.
L’azote doit bien provenir de quelque part pour remplacer celui qui s’échappe hors de l’atmosphère. Cet échappement résulte de l’action des UV du Soleil et de celui qui s’évapore de la surface pendant le cycle saisonnier (pendant lété).
Les auteurs ont envisagé différentes hypothèses, ils se sont d’abord demandé si cela pouvait provenir des comètes ou aussi si les cratères causés par les différents impacts pouvaient favoriser mise au jour de suffisamment d’azote.
Ils ont conclu que tous ces effets ne semblent pas être capables de remettre suffisamment d’Azote en circulation.
Photo : Pluton en contre jour expose son atmosphère aux cameras de la sonde. Crédit : NASA/JHUAPL/SwRI
Les dernières photos (qui n’étaient pas disponibles au moment de l’article) semblent aussi indiquer qu’une certaine chaleur semblerait provenir du dessous de la surface.
Pluton recyclerait en fait l’azote depuis son intérieur, peut être est-ce une forme de cryovolcanisme.
Les prochaines données de New Horizons devraient lever le voile.
POUR ALLER PLUS LOIN:
On The Provenance Of Pluto's Nitrogen (N2), site de l’article (gratuit !) publié.
Atmospheric Escape and Flowing N2 Ice Glaciers – What Resupplies Pluto’s Nitrogen?
Scientists Study Nitrogen Provision for Pluto’s Atmosphere
What flows on Pluto? De Phys Org.
The New Horizons Spacecraft document pdf sur la sonde elle-même.
Tout sur la mission New Horizons sur votre site préféré.
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DAWN :.ON SE RAPPROCHE MAIS LES MYSTERES RESTENT. (28/08/2015)
Image crédit: toutes images : NASA/JPL-Caltech/UCLA/MPS/DLR/IDA
Nous avions laissé la sonde Dawn, la dernière fois à 4400km d’altitude, elle vient de se rapprocher du sol de Cérès : 1470km maintenant et se déplace à 645km/h sur son orbite qu’elle complète en 19heures.
Elle devrait y rester pendant deux mois avant de rejoindre fin Octobre son orbite finale encore plus bas.
Entre temps elle nous abreuve de photos très détaillées.
Photo du cratère Gaue (nom d’une vague déesse de la mythologie germanique) dans la partie inférieure de l’image.
Son diamètre : 84 km.
On remarquera que le fond du cratère s’est effondré.
Image prise le 18 Août 2015 depuis 1470km d’altitude.
Une autre belle image peut être vue ici.
Et la pyramide?
Elle a été rephotographiée de l’orbite actuelle; elle est située dans l’hémisphère sud et s’élève jusqu’à 6000m.
Ses flancs sont très abrupts et aucun débris ne semble être accumulé à sa base.
Elle est toujours aussi mystérieuse.
Image prise le 19 Août 2015.
Montage animé nous permettant de tourner autour de celle-ci.
Mais évidemment ce que tout le monde attendait, c’était plus de détails sur cette fameuse zone brillante.
Et bien, rien de plus, on a été incapable de comprendre l’origine de ces points brillants pour le moment. Donc à suivre…
Finalement Dawn a entièrement imagé la surface de Cérès et nous permet de voir le globe entier de cette planète naine.
POUR ALLER PLUS LOIN :
Dawn Sends Sharper Scenes from Ceres par le JPL.
Ceres’ “Pyramid” Gets a Closer Look, But Bright Spots Remain a Mystery par Universe Today.
Site de la mission au JPL.
Site de la mission à la NASA.
On peut visualiser sur cette animation l’orbite de DAWN dans notre système solaire lors de ces deux visites d’astéroïdes.
INSIGHT : LA NOUVELLE MISSION US VERS MARS. (28/08/2015)
InSight, c’est LA mission martienne américaine de 2016. C’est l’acronyme de INterior exploration using Seismic Investigations, Geodesy and Heat Transport. Elle est consacrée à l’étude de l’intérieur de la planète Mars, comme son sigle l’indique.
Elle est composée d’un atterrisseur fixe, véritable station géophysique, puisqu’elle comprend trois instruments :
· Le SEIS (Seismic Experiment for Interior Structure) pour
étudier l’activité tectonique de la planète ; fourni par le CNES avec participations de l’Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP), de l’ETH suisse, du Max Planck MPS, de l’Imperial Colleg et du JPl. Donc équipement international.
· Le HP3 (Heat Flow and Physical Properties Package) pour mesurer
les échanges de chaleur notamment, instrument fourni par l’agence allemande DLR.
· Le RISE (Rotation and Interior Structure Experiment) doit
mesurer les variations éventuelles de l’axe de rotation martienne, il est fourni par le JPL.
Les expériences menées par InSight doivent aboutir à nous en apprendre plus sur l’évolution des planètes rocheuses et notamment sur le processus d’évolution de Mars ; elle doit nous aider à la :
· Détermination de la taille exacte du noyau et son état
physique.
· Détermination de l’épaisseur et de la structure de la croûte.
· Détermination de la composition et de la structure du manteau
· Détermination de l’état thermique de l’intérieur martien et sa
vitesse de refroidissement.
· Mesure précise de l’activité sismique
· Mesure du taux d’impacts météoritiques sur la surface.
InSight doit être lancée entre les 4 et 30 Mars 2016 pour un atterrissage le 28 Septembre. Durée de vie théorique : 2 ans.
Comme vous le voyez sur la photo, la sonde ressemble à Phoenix dont elle a un design similaire, Phoenix s’était posée dans la zone polaire Nord de Mars.
Elle est aussi construite par Lockheed Martin à Denver Colorado.
Une vue d’artiste du lander posé sur Mars.
On reparlera de cette ambitieuse mission dans des prochaines news.
En attendant la NASA vous propose d’envoyer votre nom à bord de la sonde.
Vous serez dirigé vers ce site pour y entrer votre nom et vous obtiendrez un certificat.
Date limite : 8 septembre, donc très bientôt.
POUR ALLER PLUS LOIN :
Le site de InSight au JPL.
Le site de InSight à la NASA et toutes les photos de la sonde.
Le site de InSight au CNES.
APOLLO 11 : UNE NOTE DE FRAIS VRAIMENT PAS EXCESSIVE! (28/08/2015)
Notre ami Philippe Chapeau de Plaisir nous fait remarquer que les astronautes américains sont de grands farceurs.
En effet, après le retour sur Terre des astronautes de la première mission lunaire, Buzz Aldrin a rempli une déclaration de douane (23 kg d’échantillons lunaires !) et une note de frais de voyage pour son déplacement sur la Lune.
Note de frais ne comprenant pas bien sûr le vol avec Saturn V ni avec Eagle, mais en tenant compte de ses km voiture et divers moyens de transport pour aller et venir de chez lui au Cap.
Facture de 33,$ remboursée par l’administration.
Histoire contée sur ce site notamment.
HUBBLE :.LES AILES DU PAPILLON. (28/08/2015)
Crédit photos : NASA/ESA.
Crédit : ESA/Hubble & NASA Judy Schmidt
Les superbes couleurs de cette nébuleuse, la nébuleuse du Papillon (en anglais twin jet nebulae, la nébuleuse aux deux jets) montrent la remarquable complexité de cet objet nouvellement photographié par Hubble.
On y distingue sa coquille extérieure et différents nœuds de matière gazeuse dans ces deux lobes de couleur irisée.
Cette matière est propulsée par l’étoile centrale dans sa phase finale, à des vitesses de plus de un million de km/h.
C’est l’explosion de l’étoile qui éclaire cette éjection gazeuse et nous donne à voir ce spectacle magnifique.
C’est le destin des étoiles moyennes, comme notre Soleil, elles termineront dans une superbe explosion.
Une particularité de cette nébuleuse planétaire, c’est en fait une nébuleuse bipolaire, correspondant donc à un système binaire d’étoiles. Ces deux étoiles orbitent l’une autour de l’autre en 100 ans approximativement, et c’est ce mouvement qui crée les « ailes » du papillon et les jets.
Dans ce cas particulier, les deux étoiles ont approximativement la même masse, similaire à celle du Soleil, l’une un peu plus massive, l’autre un peu moins. La plus massive approche la fin de sa vie et c’est elle qui émet ces couches de gaz dans l’espace, tandis que sa partenaire moins massive a déjà évolué en naine blanche.
Les astronomes ont pu mesurer l’expansion des « ailes » du papillon et en déduire la date de la transformation en nébuleuse : c’était très récent : il y a 1200 ans seulement.
En partant du centre de l’image, on remarque deux taches bleues peu lumineuses, ce sont les vents très violents s’échappant dans l’espace à grande vitesse.
On peut voir une ancienne image de Hubble prise en 1997, elle est moins détaillée.
Cette nébuleuse est une voisine, elle est située dans le serpentaire à 2000 années lumière.
POUR ALLER PLUS LOIN :
Le dossier Hubble sur ce site.
Les 20 ans de Hubble célébration à la Cité de l’Espace de Toulouse.
CASSINI-TITAN : DÉCOUVERTE DE MÉGA-YARDANGS À LA SURFACE DE TITAN. (28/08/2015)
Crédit illustration :
Philippe Paillou du LAB (Laboratoire d’Astrophysique de Bordeaux) vient de publier une intéressante étude sur les dunes de Titan.
Voici son commentaire que je reprends ci après, à propos de la découverte de Yardangs (définition de Wikipedia : Un yardang est une crête rocheuse créée par l'érosion éolienne dans un milieu désertique. Les yardangs sont généralement de forme allongée, au moins trois fois plus longs que larges ; vus de dessus, ils ressemblent à la coque d'un bateau. Le côté exposé au vent est abrupt et
escarpé et la structure devient de plus en plus basse et étroite à mesure que l'on s'éloigne du vent).
Titan, la plus grosse lune de Saturne, est le seul satellite du système solaire à posséder une atmosphère.
Il est étudié actuellement par la mission Cassini-Huygens : presque tous les mois, un survol de la lune permet d'imager sa surface grâce à l'instrument Radar qui « voit » à travers son atmosphère opaque. C'est ainsi qu'ont été découverts des lacs et mers de méthane liquide dans les régions polaires et de vastes champs de dunes linéaires dans les régions
équatoriales.
La découverte de méga-yardangs à la surface de Titan permet notamment d'alimenter des hypothèses concernant l'histoire du climat de la lune : ces structures pourraient être les restes d'anciens lacs importants, localisés à plus basse latitude que les lacs et mers actuels de Titan, et formés à une époque où la présence de méthane liquide n'était pas cantonnée aux régions polaires.
Ce travail a bénéficié d'un soutien financier du groupe Système Solaire du CNES, et les images TerraSAR-X ont été fournies par le DLR dans le cadre du projet GEO1970.
Images radar TerraSAR-X des dunes Égyptiennes (a) et Namibiennes (b), et des mega-yardangs Iraniens (c) et Tchadiens (d). Copyright Ph. Paillou / DLR.
À des latitudes intermédiaires, autour de 40°N, plusieurs structures linéaires et fortement diffusantes pour le radar de Cassini ont été repérées : elles présentent une analogie de forme avec les méga-yardangs existant sur Terre. Les yardangs terrestres sont formés par l'érosion éolienne de couches de sédiments meubles, souvent constituées par des anciens fonds lacustres. Nous avons étudié la signature radar de sites
terrestres analogues, deux champs de dunes linéaires dans la grande Mer de Sable en Égypte et dans le désert du Namib en Namibie, et deux méga-yardangs dans le désert de Lut en Iran et dans le désert de Borkou au Tchad.
Comparaison entre la signature radiométrique des dunes et méga-yardangs terrestres (tracé fin en gris) et le résultat de la modélisation de la rétro-diffusion radar (tracé épais en noir).
Des champs de Yardangs pris par Cassini.
Voici aussi une magnifique vue de Yardangs provenant aussi de Cassini :
POUR ALLER PLUS LOIN :
What formed these dunes that stretch for thousands of kilometers?
Looking for Mega-Yardangs on Titan: A Comparative Planetology Approach
Comme d'habitude, vous trouverez toutes les dernières images de Cassini au JPL
Les animations et vidéos : http://saturn.jpl.nasa.gov/multimedia/videos/videos.cfm?categoryID=17
Pour vous y retrouver dans la numération et l'ordre des anneaux.
Les prochains survols : http://saturn.jpl.nasa.gov/home/index.cfm
Tout sur les orbites de Cassini par The Planetary Society; très bon!
Voir liste des principaux satellites.
Sur ce site les dernières nouvelles de la mission Cassini.
UN SITE INTERNET À DÉCOUVRIR :.LE PATRIMOINE DES HORLOGES. (28/08/2015)
(Ce paragraphe est le votre si vous avez un site astro à nous faire connaître, n'hésitez pas à nous contacter)
Gérard Guilbaud nous fait profiter de son expérience des horloges au sens large du terme, car celles-ci font partie de notre patrimoine historique et scientifique.
Le patrimoine des horloges d’édifices appartient à l’histoire des villes et au patrimoine industriel mondial.
Il ne doit pas disparaître et doit rester accessible à tous.
Comme il le dit si bien en introduction à son site :
Ce site n’a qu’un seul but : faire connaître les merveilles que nos ancêtres nous ont léguées afin de mieux les protéger. Nos visites auprès de ces œuvres d’art inciterons, je l’espère, les élus à les conserver et les entretenir.
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Il y a un répertoire des différents types d’horloges et des constructeurs, ainsi qu’une analyse par pays avec de nombreuses photos très détaillées comme par exemple le cadran de cette horloge/cadran d’Hampton Court dans la banlieue de Londres.
Elle date de 1540.
Photo : notre patrimoine horloger.
Bonne visite sur ce site.
LES MAGAZINES CONSEILLÉS:.L’ASTRONOMIE DE SEPTEMBRE EST PARU. (28/08/2015)
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Une célébration : il y a 50 ans la sonde Mariner 4 photographiait Mars pour la première fois. une mission fondatrice nous dira Olivier de Goursac qui a été interviewé.
Dans la rubrique Histoire, Pif et P Varnoteaux nous parle du spécialise astronautique Ananoff.
Bien sûr aussi toutes les actualités, une rubrique sur le cadran de Bouvines , la journée des commissions, et les éphémérides et les cartes du ciel......
LES MAGAZINES CONSEILLÉS :.POUR LA SCIENCE DE SEPTEMBRE. (28/08/2015)
Point fort attachant ( !) de ce numéro, les gluons.
Et comme dit l’article :
Les gluons nous posent encore des colles
En liant les quarks, les gluons assurent la cohésion du proton ou du neutron, ainsi que celle des noyaux atomiques. Par quels mécanismes ? Les physiciens n'ont pas encore toutes les réponses.
Les gluons font 98 % de la masse du proton
Il est difficile de calculer l'énergie des gluons, en partie parce qu'elle provient de plusieurs contributions. Quand une particule est libre, c'est-à-dire non liée à d'autres, son énergie est celle de son mouvement (l'énergie cinétique) ; mais les quarks et les gluons ne sont pratiquement jamais libres. Ils ne subsistent en tant que particules libres que très brièvement...
Autres articles :
« Le plasma quarks-gluons se comporte comme un fluide parfait »
Entretien avec François Gelis
Au moyen de collisions à haute énergie entre noyaux atomiques, les physiciens créent un « plasma quarks-gluons ». Ils étudient les propriétés de cet état de la matière qui s'est aussi formé dans les premiers instants de l'Univers
Le patrimoine astronomique français est en danger
Propos recueillis par Sean Bailly
Les observatoires et les lunettes historiques sont de merveilleux outils pour diffuser la science auprès du grand public. Cependant, constate Emmanuel Pécontal, faute de moyens et de personnel, ce patrimoine scientifique est menacé.
Qu'arriverait-il sans combinaison dans l'espace ?
Roland Lehoucq
Rien d'agréable, mais nous n'exploserions pas ni ne gèlerions en quelques secondes !
Et toutes les autres rubriques habituelles toujours aussi intéressantes.
6,50€
Bonne Lecture à tous.
C'est tout pour aujourd'hui!!
Bon ciel à tous!
JEAN PIERRE MARTIN
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