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HISTOIRES  et  LÉGENDES  autour  du  CHIFFRE  7
 
Voici le 7 / 7 / 2007, quelle occasion pour quelqu’un né à la 7e heure, du 7e jour du 7e mois de l’année … (eh non, pas 1907), de faire une petite rétrospective de ce qui s’écrit sur ce chiffre, d’après mes connaissance, mes lectures, mes recherches sur internet)                       
Jean-Claude THOREL
 
 
 
 
C’est donc notre ami Jean Claude Thorel (Photo), ancien président fondateur de Véga, qui nous adresse ce pamphlet concernant le chiffre 7, vous pouvez le lire de façon continue (attention c’est un peu long) ou attaquer sujet par sujet grâce aux liens directs.
 
 
   
 
 
 
Allez bon 7777777777777777777777777777777777777777777777777777777
 
 
PARTICULARITÉS  BIZARRES  SUR  LES NOMBRES  7  ET  14
LES  7  COULEURS  DE  L’ ARC-EN-CIEL
LES  7  JOURS  DE  LA  SEMAINE
LES  7  ASTRES  VISIBLES  À  L’ ŒIL  NU
LES  7  SPHÈRES  DE  PTOLÉMÉE
LES  7  ÉTOILES  DU  SEPTENTRION  (Grande Ourse)
LES  7  ÉTOILES  DU  NORD  (Petite Ourse)
LES  7  ÉTOILES  DES  PLÉIADES  ou  LES  7  FILLES  D’ ATLAS
LES  7  HESPÉRIDES
LES  7  POÈTES  DE  LA  PLÉIADE
LA  GUERRE  DES  7  CHEFS  et  LES  7  PORTES  DE  THÈBES
LES  7  ANTONINS
LES  7  FEMMES  DE  LA  BARBE  BLEUE
LES  7  MERVEILLES  DU  MONDE
LES  7  ARTS
LES 7  ARTS  LIBÉRAUX
LES  7  NAINS  et  BLANCHE  NEIGE
LES  7  SAMOURAÏS
LES  7  MERCENAIRES
LES  7  COLLINES  DE  ROME
LES  7  PÉCHÉS  CAPITAUX
LES  7  VOYAGES  DE  SIMBAD  LE  MARIN
LES  7  PREMIERS  ASTRONAUTES  DE  LA  N.A.S.A.
LES  7  NOTES  DE  LA  GAMME  MUSICALE
LES  7  VOYELLES  DE  L’ ALPHABET GREC
LES  7  CONTINENTS  ET LES  7  OCÉANS
LES  7  MONTAGNES  CÉLÈBRES
LES  7  VERTUS  DU  BUSHIDO
LES  7  JOURS  DE  LA  CRÉATION
LES  7  ÂGES  DE   LA  VIE
LES  7  SACREMENTS  DE L’ ÉGLISE  CATHOLIQUE
LES  7  SACREMENTS  DE L’ ÉGLISE  ORTHODOXE
LES  7  VERTUS
LES  7  ŒUVRES  DE  MISÉRICORDE
LES  7  CHAKRAS
LES  7  DÉMONS  DE  BABYLONE
LES  7  PORTES  DE  L' ENFER
LES  7  UNITÉS DE  BASE  DU  SYSTÈME INTERNATIONAL
LES  7  CATASTROPHES
LES  7  PLAIES  D’ ÉGYPTE
LES  7  SCEAUX  DE  L' APOCALYPSE
LES  7   FLÉAUX  DE  L' APOCALYPSE
LES  7  TROMPETTES  DE  L’ APOCALYPSE
LES  7  PILIERS  DE  LA  SAGESSE
LE  CHANDELIER  À  7  BRANCHES
LE  JEU  DES  7  FAMILLES
LES  7  CORDES  DE  LA  LYRE 
LE RESTE
 
 
 
 
 
 
 
 
PARTICULARITÉS  BIZARRES  SUR  LES NOMBRES  7  ET  14
(D’après un article paru au XIXe siècle)
 
Le nombre 7 est le plus fréquemment rencontré (durées ou nombre d’éléments), symbole d’une totalité. Les Périodes lunaires de 7 jours. 7 indique un changement après un cycle accompli. D’innombrables traditions et légendes le font apparaître (7 est utilisé 77 fois dans l’ancien testament).
                   - Durées : les 7 jours de la création, la construction du temple de Salomon en 7 ans, ...
                   - Eléments : les 7 têtes du cobra en Chine, les 7 portes du paradis pour les 7 filles du Coran, les 7 jeunes filles et 7 jeunes hommes pour le Minotaure, les 7 plaies d’Égypte, les 7 branches de l’arbre chamanique, les 7 chevaux du roi soleil des Hindous.
 
Les anciens comptaient 7 planètes, 7 couleurs primitives, 7 saveurs et 7 odeurs, puis 7 merveilles du monde, 7 sages de la Grèce, et 7 solennités des jeux du cirque, 7 généraux avaient été destinés à la conquête de Thèbes.
Presque tous les peuples ont partagé le temps en périodes de 7 jours. Certains géologues ont substitué aux 7 jours de la création 7 créations successives. Il y a 7 notes dans la musique, et pendant longtemps on n’a compté que 7 métaux.
Par rapport au culte, le nombre 7 était un nombre supérieur dans le paganisme : les Grecs immolaient souvent 7 victimes. Dans la Bible, on trouve souvent le nombre 7, témoin 7 églises, 7 chandeliers, 7 branches au chandelier d’or , 7 lampes, 7 étoiles, 7 sceaux, 7 anges, 7 trompettes, 7 plaies d’Égypte, 7 têtes de dragons, 7 diadèmes qu’elles portent, etc. Dans le catholicisme, on compte les 7 psaumes de la pénitence, les 7 allégresses et les 7 douleurs de la Vierge, les 7 dons du Saint-Esprit, les 7 sacrements, les 7 péchés mortels, les 7 parties de l’office, ou heures canoniales ; suivant un dicton populaire, le sage pèche 7 fois le jour.
 
7, nombre parfait et symbole de l’abondance divine, il est aussi selon la Bible le nombre du châtiment, de la purification et de la pénitence. Il est aussi attribué à Satan qui s’efforce de copier Dieu se faisant le singe de Dieu. Ainsi la bête infernale de l’Apocalypse (Ap 13,1) a sept têtes.
Saint Augustin voit le 7 comme la perfection de la Plénitude. Il en faisait aussi le nombre de la créature, considérant non la vie de celle-ci mais son devenir, l’évolution. C’est également lui qui a nommé les péchés capitaux pour la première fois. Selon lui ce ne sont pas les plus graves mais ceux qui sont à l’origine de tous les autres."
 
Le nombre 14 a joué un grand rôle dans l’histoire de Henri IV. Ce prince est né le 14 décembre, 14 siècles, 14 décades et 14 ans après Jésus-Christ. Il est mort le 14 mai, son nom était composé de 14 lettres (Henri de Bourbon). Il a vécu quatre fois 14 ans, quatre fois 14 jours, et 14 semaines, il a été roi de France et de Navarre trois fois 14 ans, il a été blessé par Châtel 14 jours après le 14 décembre, en l'année 1594, entre ce jour et celui de sa mort il y a 14 ans, 14 mois et cinq fois 14 jours, il a gagné la bataille d'Ivry le 14 mars. Le Dauphin était né 14 jours après le 14 septembre. Il a été baptisé le 14 août, enfin il a été tué le 14 mai, 14 siècles et 14 olympiades après l'Incarnation, l'assassinat eut lieu deux fois 14 heures après l'entrée de la reine à Saint-Denis, Ravaillac a été exécuté 14 jours après la mort du roi, et dans l'année 1610, qui est divisible par 14. (Cela demande à être vérifié, JCT)
 
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LES  7  COULEURS  DE  L’ ARC-EN-CIEL
 
1 - Violet 
   
0,400 µm
Certaines personnes pensent qu’il y a 7 couleurs dans ce phénomène atmosphérique et optique.
L’arc-en-ciel est expliqué parfaitement aujourd’hui par les lois de l’optique géométrique. Il est démontré que la diffusion de la lumière visible s’opère sur un spectre allant du rouge au bleu. Bien évidemment ces couleurs ne sont pas issues d’une "palette" mais le résultat de la diffusion de la lumière du soleil au travers de gouttelettes en suspension, autrement dit des nuages.
2 - Indigo
 
0,430 µm
3 - Bleu
 
0,470 µm
4 - Vert
 
0,530 µm
5 - Jaune
 
0,580 µm
6 - Orangé 
 
0,600 µm
7 - Rouge
 
0,650 µm
 
L’arc-en-ciel comporte autant de “couleurs” que la lumière émise par le soleil, soit une infinité, chacune de ces couleurs étant constituée d’un rayonnement “pur”, associé à une longueur d’onde unique. Mais nous ne sommes pas capables de discerner les subtiles différences entre deux rayonnements de longueur d’onde très proches. Certaines personnes pensent qu’il y a 7 couleurs dans ce phénomène atmosphérique et optique.
 
L’arc-en-ciel est expliqué parfaitement aujourd’hui par les lois de l’optique géométrique. Il est démontré que la diffusion de la lumière visible s’opère sur un spectre allant du rouge au bleu. Bien évidemment ces couleurs ne sont pas issues d’une “palette” mais le résultat de la diffusion de la lumière du soleil au travers de gouttelettes en suspension, autrement dit des nuages.
 
Des expériences du milieu du XXe siècle ont montré que dans de bonnes conditions, l’homme pouvait discerner entre elles une vingtaine de couleurs (y compris les pourpres, qui ne sont pas inclus dans le spectre du soleil). En suivant le spectre du rouge au violet, un individu qui ne souffre d’aucun trouble de la vision des couleurs discernera au moins le rouge, l’orange, le jaune, le vert, le bleu et le violet, soit six couleurs Mais un oeil entraîné pourra discerner l’indigo entre le bleu et le violet, ou le safran entre le jaune et l’orange et voir un arc en ciel à 7 ou 8 couleurs !
 
L’idée reçue introduisant la couleur indigo dans la série des couleurs de l’arc-en-ciel vient surtout du fait que la perception de cette couleur ternaire est sensiblement plus répandue. Le miracle est que la nature réalise cela avec seulement trois pigments rétiniens et une information en noir et blanc !
 
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LES  7  JOURS  DE  LA  SEMAINE
 
1 - Lundi : Lunæ dies - jour de la Lune.
2 - Mardi : Marti dies - jour de Mars.
3 - Mercredi : Mercurii dies - jour de Mercure (milieu de semaine en allemande : Mittwoch)
4 - Jeudi : Jovis dies - jour de Jupiter. (Thursday – Donnerstag)
5 - Vendredi : Veneris dies - jour de Vénus. (Friday – Freitag : jour libre)
6 - Samedi : sambati dies - jour de sabbat (religion israélite)
Saturni dies - jour de Saturne (en anglais : Saturday, et veille du jour du Soleil en allemand Sonnabend).
7 - Dimanche : dies dominica - jour du Seigneur (sabbat pour certains chrétiens) (jour du Soleil en anglais et en allemand : Sunday – Sonntag : jour du Soleil).
 
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LES  7  ASTRES  VISIBLES  À  L’ ŒIL  NU
 
Aux alentours du IIIe siècle, les astronomes de l’époque comprenaient dans les planètes aussi bien le Soleil que la Lune. Ils ne connaissaient pas les planètes au-delà de Saturne. Ils considéraient ainsi sept planètes, les 7 astres mobiles dans le ciel, selon l’ordre établi par les Chaldéens. Les alchimistes leur ont associé un métal :
 
1 - La Lune   (Argent)    2 - Mercure   (Mercure)    3 - Vénus   (Cuivre)    4 - Le Soleil   (Or)
5 - Mars   (Fer)               6 - Jupiter   (Étain)           7 - Saturne   (Plomb)
 
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LES  7  SPHÈRES  DE  PTOLÉMÉE
 
Sur la vie de Claude Ptolémée (IIe siècle ap. JC), Mathématicien, Astronome et Géographe grec d’Alexandrie, né probablement à Ptolémaïs de Thébaïde (Haute-Egypte), les historiens des sciences ont peu d'éléments. Il rassembla sur la Terre et le Ciel un savoir immense qui fit la synthèse de huit siècles d’observations et qui resta pendant près de quinze siècles, jusqu'à Kepler et Copernic, l’ouvrage de référence de l’astronomie.
 
Le système de Ptolémée place la Terre au centre immobile des révolutions de l’Univers. Considérant que le cosmos est à la fois un contenant (le monde supra-lunaire) et un contenu (la Terre et son atmosphère) il explique les mouvements apparents du Soleil, de la Lune et des planètes par deux systèmes alternatifs : celui des excentriques – trajectoires circulaires dont le centre, bien que proche de la Terre, ne coïncide pas avec celle-ci – et celui des déférents et des épicycles, suivant lequel la trajectoire de la planète est la résultante de son mouvement circulaire uniforme autour d’un centre qui, lui-même, se déplace autour de la Terre selon un mouvement circulaire uniforme. De cette manière, Ptolémée réduisit les anomalies observées, comme celle de l’éloignement périodique des planètes. En dépit de sa complexité, le système de Ptolémée permettait de prévoir les positions du Soleil, de la Lune et des étoiles avec une remarquable précision.
Les 7 sphères de Ptolémée sont les orbes décrits par les 7 astres connus des Anciens et cités précédemment.
 
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LES  7  ÉTOILES  DU  SEPTENTRION  (Grande Ourse)
 
Les Romains considéraient ces sept étoiles (dans la constellation de la Grande Ourse – Ursæ Majoris) comme des bœufs paissant dans la campagne céleste et les appelaient “Septem Triones”. C’est de là que dérive le mot “Septentrion” et aujourd’hui sans doute peu de personnes qu’en prononçant ce substantif, parlent de sept bœufs.
 
1 - Dubhé  (α UMa - alpha Ursæ Majoris) : vient de l’arabe “Dubb” qui veut dire “Ours”.
2 -Merak  (β UMa - bêta Ursæ Majoris) : c’est l’abrégé de l’arabe “Merak-al-Dubb-al-Akbar” signifiant “les Reins du Grand Ours”.
3 - Phekda  (γUMa - gamma Ursæ Majoris) : vient de “Fehhal-al-Dubb-al-Akbar” : “la Cuisse du Grand Ours”.
4 - Megrez  (δ UMa - delta Ursæ Majoris) : de “Maghrez-a-Dubb-al-Akbar” voulant dire “la Racine de la Queue du Grand Ours”.
5 - Alioth  (ε UMa - epsilon Ursæ Majoris) : Au Xe siècle Abdul Rahman AL SÛFI (903-986) la nommait “Al-Djûn” : “le Golfe” d’où est venu sans doute “Alioth”. Dès le XIIIe siècle, le roi astronome Alphonse X de Castille et de Léon, dit le Sage (1252-1284), l’appelait déjà “Alioth”. Au XVe siècle, Muhammed Taragai ULUHG BEIGH (1394-1449) la nomme “Al Joun” : “le Cheval noir”, quelquefois écrit “Al-Jal”.
6 - Mizar  (ζ UMa - dzêta Ursæ Majoris) : signifie “Ceinture d’Étoffe ou Tablier”, nom inconnu des Arabes. Mizar apparaît comme nom propre dans le 42e psaume de David. Xe siècle Abdul Rahman AL SÛFI (903-986) appelle cette étoile “al-Anâk-al Benat” ou ” la Chèvre des Pleureurs”. Ce n’est qu’au XVIe siècle que ce nom est introduit sur les cartes célestes par Guiseppe Giusto SCALIGERO (1540-1609).
7 - Benetnash  (η UMa - êta Ursæ Majoris): Elle est également appelée “Alkaïd”. Ces deux noms sont dérivés de la dénomination arabe “al-Kayid-al-Benât-al-Na’sh” ou “le Gouverneur des Pleureurs”.
 
 
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LES  7  ÉTOILES  DU  NORD  (Petite Ourse)
 
Constellation la plus boréale, l’astérisme de la Petite Ourse (Ursæ Minoris) comprend également 7 étoiles, mais dont seulement quatre se voient attribuer un nom.
 
1 - Polaris - Cynosura  (α UMi - alpha Ursæ Minoris) : Les géographes l’ont appelée ”Stella Polaris – l’Étoile polaire”.
2 - Kochab  (β UMi - bêta Ursæ Minoris) : vient de l’arabe “Kaucab-el-Shemali – l’Étoiles du Nord”. L y a 3.000 environ c’était la Polaire de l’Humanité.
3 - Pherkad  (γUMi - gamma Ursæ Minoris) :
4 - δ UMi - delta Ursæ Minoris :
5 - ε UMi – epsilon Ursæ Minoris :
6 - ζ UMi – dzêta Ursæ Minoris :
7 - Alasco – (η UMi - êta Ursæ Minoris) :
 
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LES  7  ÉTOILES  DES  PLÉIADES  ou  LES  7  FILLES  D’ ATLAS
 
Ce sont les filles d’Atlas (géant supportant sur ses épaules la voûte céleste) et de Pléione (l'Océanide, fille d'Océan et de Téthys) et elles naquirent à Cyllène en Arcadie.
Après avoir été poursuivi par ORION pendant 7 ans en Boétie, Zeus eut pitié d’elles et les mit au ciel. Elles sont connues des Astronomes sous le nom de Pléiades ou de Poussinière.
Leurs noms varient selon la version des mythographes (Version 2 Théocritos (XIII 25) il est indiqué en italique :
 
1 - Alcyone (ou Halcyone) - (Coccymo) :
amant : Poséidon - enfants : Aethousa, Hyrieos, Hyperenor, Anthas.
2 - Mérope (ou Dryope, ou Aéro) - (Plaucia) :
amant : Sisyphe – enfants : Glaucos, Almos, Thersander,.
3 - Celæeno (ou Sélène) – (Lampatho) :
amant : Poséidon - enfants : Lycos, Nycteos, Euphémos.
4 - Électre – (Parthemia)
amant : Zeus – enfants : Dardanos, Iason, Emathion, Harmonie.
5 - Astérope (ou Stérope) – (Protis)
amant : Arès – enfant : Oenomaos.
6 - Taygète – (Stonychia)
amant : Zeus – enfant : Lacédaemon
7 - Maïa – (Maia)
amant : Zeus – enfants : Hermès.
 
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LES  7  HESPÉRIDES
 
Une autre tradition rapporte qu’Héraclès, qui s’était acquitté des dix Travaux imposés par l’Oracle de Delphes, devra en accomplir deux supplémentaires afin de remplacer ceux que Eurysthée avait refusés. Le roi lui ordonnera de rapporter les Pommes d’or des Hespérides “les filles du couchant" au nombre de quatre ou de sept selon les auteurs. Elles seraient nées d’Atlas et de Pléione. Les mythographes ne sont pas unanimes. Certains prétendent que les Hespérides seraient les filles d’Atlas et d’Hespéris, d’autres, les enfants de Nyx et de l’Erèbe. Elles porteront le nom de :
 
1 - Aeglé    2 - Erythie    3 - Aréthuse    4 - Hestia    5 - Hespéra    6 - Hespérousa    7 - Hespéræa
 
Par analogie avec le mythe des sept filles du géant Atlas, le nom de Pléiade a été donné à plusieurs groupes de 7 poètes.
 
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LES  7  POÈTES  DE  LA  PLÉIADE
 
Au temps de Ptolémée II Philadelphe
 
La poésie s’est emparée de ce mot et a donné le nom de Pléiades à sept poètes qui vivaient sous Ptolémée II Philadelphe (309-246 av JC), roi d’Égypte de 283 av JC jusqu’à sa mort. Il aimait les lettres et les sciences, il fit traduire en grec les livres sacrés des Hébreux (version des Septantes de la Bible), augmenta la bibliothèque fondée par son père, et fit beaucoup pour l'astronomie et la navigation. Il fit construire le célèbre phare d’Alexandrie.
 
Pléiade poétique : IIIe siècle avant JC, liste fixée par le Canon alexandrin :
 
1 - Apollonios de Rhodes : né à Alexandrie vers 300 avant JC, poète et grammairien d’Alexandrie, auteur érudit, éloquent et profond, eut Callimaque pour professeur, devint vers 270 précepteur du futur Ptolémée III Evergète, composa vers 250-245 la première partie des Argonautiques (épopée de Jason et de ses compagnons en quête de la Toison d’Or), se brouilla avec Callimaque qui critiquait les longues épopées, s’exila à Rhodes vers 245.
2 - Aratos de Soles : (310-245 avant JC environ), Poète et astronome grec qui a étudié la philosophie à Athènes. C’était un étudiant du Portique, auteur des Phénomènes (astronomiques) et des Prognostiques (météorologiques). Les Phénomènes, sont un long poème didactique imprégné de philosophie stoïcienne. La première partie est une combinaison de l’astronomie/astrologie d’Eudoxe de Cnide et des Travaux d’Hésiode, le destinataire fictif étant tantôt un marin, tantôt un fermier. (Astronomie et temps cyclique : la petite et la grande année)
3 - Philiscos de Corcyre
4 - Homère le Jeune
5 - Lycophron de Chalcis : (Eubée, IIIe siècle avant JC) poète grec : prophétie d’Alexandra (= Cassandre) d’une obscurité qui ne peut se passer de notes et de commentaires.
6 - Nicandre de Colophon : (fin du 3ème, début du 2ème siècle) : auteur de “Remèdes aux morsures de bêtes”, “Contrepoisons” et “Géorgiques”.
7 - Théocrite de Syracuse : poète Sicilien né à Syracuse vers 310-250 avant JC, crée à Cos et à Alexandrie le genre de l’idylle (petit poème). Sa vie est mal connue, il séjourna dans divers pays grecs et passa une partie de son existence à Alexandrie. Il nous reste sous son nom des Épigrammes, mais surtout une trentaine d’Idylles. Théocrite peut être regardé comme le créateur du genre bucolique ou pastoral. Chez les Grecs la tradition en fut continuée par Bion et par Moschos, dont il nous reste des fragments.
 
Pléiade tragique: IIIe siècle avant JC, liste fixée par le Canon alexandrin :
 
Ptolémée II Philadelphe a recours aux services d'Alexandre l’Étolien et Lycophron de Chalcis pour mettre au point des éditions critiques des grands poètes grecs.
 
1 - Alexandre l'Étolien : Alexandre l'Étolien était natif de Pleuron, en Etolie, et a vécu sous le second Ptolémée, 285-247, avant l'ère chrétienne.
2 - Philiscos de Corcyre
3 - Sosithée : Sosithée ou Sosithéos, poète tragique grec d'Alexandrie en Troade, vivait vers I'an 280 av. J.-C. à Athènes et Syracuse. On lui attribue la rénovation du drame satyrique.
4 - Homère le Jeune
5 - Éantide
6 - Sosiphane
7 - Lycophron de Chalcis : vécut quelque temps à Alexandrie et est connu pour son poème dramatique “Alexandra”, placé dans la bouche d’un messager qui rapporte à Priam les prophéties de Cassandre. Le poète peut ainsi parcourir une histoire qui s’étend de la chute de Troie jusqu’à son époque.
 
Au  XIVe siècle à Toulouse
 
 
L’idée de la Pléiade plaît. Elle est reprise à Toulouse au Moyen-Âge par les sept “mainteneurs” (de la tradition poétique) qui crée un Concours poétique. Qui ne se rappelle les noms illustres de :
 
Pléiade masculine
 
1 - Bernard de PANASSAC
2 - Guillaume de LOBRA
3 - Béringuier de SAINT-PLANCART
4 - Pierre de MEJANASERRA
5 - Guillaume de GONTAUT
6 - Pierre CAMO
7 - Bernard OTH
 
Les voilà imités par sept poétesses qui leur succèdent, toutes aussi immortelles que leurs prédécesseurs.
 
Pléiade féminine
 
1 - Catherine FONTAINE
2 - Bernarde DEUPIÉ
3 - Claude LIGONNE
4 - Audiette PESCHAIRA
5 - Esclarmonde SPINÈTE
6 - Johanne PERLE
7 - Françoise MARIE (remplacée ultérieurement par Paule de VIGUIER)
 
 
Au XVIe siècle sous le règne de Henri III
 
Les 7 poètes de la Brigade en 1553 puis de La Pléiade en 1556
 
Le mot Pléiade, dans le sens que nous lui connaissons, a été employé d’abord vers 1563 par les Protestants pour tourner en dérision l'arrogance des jeunes disciples de l’humaniste Jean Dorat constitués en Brigade. Ronsard se plut en effet, en 1553, à élire sept d’entre eux, et leur nombre n’était pas sans évoquer la Pléiade mythologique des sept filles d’Atlas changées en constellation, et surtout la Pléiade des sept poètes alexandrins du IIIe siècle avant Jésus-Christ. À vrai dire, cette Brigade constitue moins une école qu’un groupe, d’ailleurs variable, fédéré par la même volonté de rénover les formes poétiques. Elle défend en même temps l’imitation des auteurs gréco-latins et la valeur culturelle de la langue française. Elle impose l’alexandrin et le sonnet comme des formes poétiques majeures.
La liste qui consacre les sept poètes connaîtra plusieurs versions. La plus ancienne donne :
 
1 - Pierre de RONSARD (11 Septembre 1524 - Saint-Côme-en l’Isle, 27 Décembre 1585) “Hymne de l’Automne” (1555). Il est aussi appelé "le Poète ou “Prince des poètes de la Renaissance”.
“ Il me souvient d’avoir autre-fois accomparé sept poëtes de mon temps à la splendeur de sept estoilles de la Pleiade.” Ronsard, Epistre au lecteur (1564).
Ses principaux recueils sont “Les Odes”, “Les Amours (1552-1553)” et “Les Discours des misères de ce temps”, ces derniers marqués par la propagande catholique lors des guerres de religion.
2 - Joachim du BELLAY (près de Liré 1522 - Paris 1560). Poète français, rédacteur du manifeste de la Pléiade intitulé “Défense et Illustration de la langue française” (1549). Il fut aussi, à Rome, le secrétaire de son cousin de Jean du Bellay, période pendant laquelle il écrira des recueils poétiques : “L’Olive” (1549), “Les Antiquités de Rome” et “Les Regrets” (1558), dans lesquels il nous fait partager ses déceptions et nostalgies.
 
3 - Jean Antoine de BAÏF (Venise 1532-Paris 1589). Poète français, il a comme but de réformer l’orthographe  antique et d’intégrer en France les vers de la poésie, essaya d’appliquer la prosodie latine, à base de brèves et de longues, à la poésie française. Il est l’auteur de divers ouvrages tels que : “Les Amours de Francine, Les Amours de Méline (1552), Les Passes-Temps, Chansonnettes, Les Psaumes.”
4 - PONTUS du TYARD  ou  THIARD (Château de Bissy 1521-Bragny sur Saône 1605). Né dans le Mâconnais, ce poète français fut aussi évêque de Châlon-sur-Saône et auteur des “Erreurs Amoureuses” (1549) et du “Livre des Vers Lyriques.” Il est le poète qui marque la transition entre le groupe lyonnais et la Pléiade.
5 - Guillaume des AUTELS (1529-1581) sera remplacé en 1555 par Jacques PELETIERS DU MANS (1517-1582). Poète, médecin et scientifique français qui voyagea infatigablement et proposa entre autre une réforme de l’orthographe. “Art poétique” (1555). Il sera remplacé après sa mort en 1582 par Jean DINEMANDI dit DORAT (Limoges 1508 - Paris 1588). Principal du collège Coqueret puis professeur au collège de France, il était le professeur des autres membres de la Pléiade. Il est devenu par la suite leur ami. Il est l’auteur, en 1586, de “Poematia”, poésies latines d'inspiration politique.
6 - Étienne JODELLE (Paris 1532 - Paris 1573) rejoignit le groupe dès 1553. Poète français, il est l’auteur de la tragédie intitulée la “Cléopâtre Captive” (1553) qui sera le point de départ de la tragédie classique.
7 - Jean Baster de la PÉRUSE (1529-1554), remplacé après sa mort en 1554 par Rémi BELLEAU (Nogent le Rotrou 1528 - Paris 1577). Poète français auteur des poésies pastorales que l’on retrouve, entre autre, dans son oeuvre “La Bergerie” (1565) et “Les Amours et nouveaux échanges des pierres précieuses” (1576).
 
Au XVIIe siècle sous le règne de Louis XIII
 
1 - Nicolas RAPIN (Fontenay-le-Comte 1535-1608), écrivain français, connu pour avoir participé à la rédaction de la Satire Ménippée, fut aussi un poète. En grec, en latin, en français, en rimes champêtres ou en vers "mesurés".
2 - Jean COMMIRE (Amboise l25 mars 1625-Paris 25 décembre 1702), jésuite et écrivain français, il a cultivé avec succès la poésie latine, tout en professant la théologie et en remplissant les devoirs de son état. Ses poésies se composent d’odes, de fables, d’épigrammes, d’imitations des psaumes et des prophéties, elles se font remarquer par leur élégance. Le recueil le plus complet a été publié en 1715, et reproduit en 1753 par Joseph Gérard BARBOU, libraire et imprimeur à Paris depuis 1746.
3 - Charles de LARUE (Paris 1643-1725), érudit poète latin distingué et prédicateur.
4 - Jean de SANTEUL (Paris 1630-1697), poète latin moderne, auteur d’hymnes sacrées.
5 - Gilles MÉNAGE (Angers 1613-1692), Angers, littérateur français, s’est surtout occupé des éthymologies et des règles de notre langue, maître de Mme de Sévigné.
6 - Charles DUPÉRIER (Aix-en-Provence 31 janvier 1632-Paris 27 mars 1692). Il vint à Paris, poète latin, s’appliqua aux vers latins, et réussit surtout dans l’ode. Il se lia avec Nicolas RAPIN, Gilles MÉNAGE qui le nomma “le prince des poètes lyriques de son temps”.
8 - PETIT  (pas trouvé d’information)
 
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LA  GUERRE  DES  7  CHEFS  et  LES  7  PORTES  DE  THÈBES
 
1 - Polynice, frère jumeau de Étéocle roi de Thèbes
2 - Adrastos, fils de Talaos et de Lysimarque, roi d’Argos
3 - Tydée de Calydon, gendre d’Adratos
4 - Amphiaraos, d’Argos, le beau-frère d’Adrastos
5 - Parthénopéos d’Arcadie
6 - Capasnéos d’Argos
7 - Hippomédon d’Argos
 
Deux autres noms sont parfois cités : Etéoclos, fils d’lphis, à la place d’Adrastos, et
Mecistée (pour fils Euryale), frère d’Adrastos, à la place de Polynice. Ils seraient morts en combat singulier
 
La légende :
 
Étéocle et Polynice, frères jumeaux, fils d’Œdipe et de Jocaste, après le départ du roi Œdipe, furent choisis pour diriger Thèbes alternativement : Polynice une année, Étéocle l’année suivante. Au terme de son année de règne, Étéocle refusa de rendre la couronne et chassa son frère de la ville. Polynice se réfugia à Argos, où régnait Adrastos. Tydée, banni de Calydon pour homicide, s’y était aussi réfugié. Tous deux se querellèrent dans l’avant-cour du palais. Adrastos les sépara et remarqua que Polynice était vêtu d’une peau de lion et Tydée d’une peau de sanglier (ou que les blasons de leurs boucliers étaient un lion et un sanglier). Il se souvint qu’un oracle lui avait ordonné de marier ses filles à “un lion et un sanglier”. Il promit d’aider les deux princes à réintégrer les royaumes dont ils avaient été exilés. L’on décida de rétablir tout d’abord Polynice, et Adrastos rassembla une gigantesque armée.
 Les chefs des sept principaux contingents étaient Adrastos, Polynice, Tydée, l’Arcadien Parthénopaos, les Argiens Capasnéos et Hippomédon et un autre Argien très réticent pour partir, Amphiaraos qui vint à contrecœur, il avait la faculté de prévoir l’avenir et il avait vu en songe les cadavres des 7 alliés devant les  7 portes de Thèbes.
C'est ainsi que les 7 armées, provisoirement réunies en une seule, marchèrent sur Thèbes, Polynice et Adrastos à leur tête.
L’armée s'arrêta dans la plaine où Oedipe avait vaincu le Sphinx. Polynice envoya Tydée pour sommer la ville de se rendre. Étéocle refusa, Tydée dut affronter en combat singulier quelques-uns des meilleurs guerriers de Thèbes. Il en battit tant que plus un seul n’osa se présenter et il rapporta le réponse d’Etéocle à Polynice. Les troupes furent alors déployées devant les 7 portes de la ville.
 
1 - la nouvelle Porte, défendue par Mégarée, le fils de Créon, attaquée par Adrastos
2 - la Porte supérieure défendue par Etéocle attaquée par Polynice
3 - la Porte Proetidés, défendue par Mélanippos, attaquée par Tydée de Calydon
4 - la Porte boréale, défendue par Actor, attaquée par Parthénopaeos
5 - la Porte Electrae, défendue par Polyphontés, attaquée par Capasnéos
6 - la Porte Oncéenne, défendue par Hyperbios, attaquée par Hippomédon
7 - la Porte de Zeus Homolôios, défendue par Lasthénès attaquée par Amphiaraos
 
Les premiers assauts virent périr, Hippomédon, tué par Hyperbios à la porte Oncéenne, et Parthénopéos fut tué par une pierre que Péridyménos laissa tomber du haut du mur.
Quand Tydée lui-même, gravement blessé et sur le point de mourir, eut tué son adversaire Mélanippos, sa protectrice Athéna voulut le rendre immortel et implora Zeus. Mais Amphiaraos, qui en voulait à tous ses alliés, coupa la tête de Mélanippos et la jeta à Tydée. Celui-ci dévora le cerveau et mit ainsi un terme à la sympathie que lui portait la déesse, il mourut donc.
Capasnéos escalada le mur, prétendant que Zeus lui-même ne saurait l’empêcher de pénétrer dans la cité : pour son orgueil, le dieu le tua d’un coup de foudre.
 
Des 7, seuls Polynice, Adrastos et Amphiaraos restèrent à la tête des troupes. Après la dernière escarmouche, Étéocle et ses guerriers se retirèrent dans la ville. De nombreux cadavres des deux camps jonchaient le sol. Ce spectacle chavirait le cœur de Polynice et il décida d’éviter un autre carnage. Il se dirigea vers les murs de la ville. Polynice proposa à son frère de l’affronter seul. Étéocle accepta et les portes de Thèbes s’ouvrir, laissant passer leur roi tenant une épée à la main.
Polynice, le premier, se précipita en avant, l’épée au poing. Étéocle fit dévier la lame avec son bouclier ...Les deux frères se battirent pendant de long moment mais il apparut qu’ils étaient de forces trop égales. Puis inattendue et rapide, la fin survint. Tous les deux s’élancèrent l’un contre l’autre sans protection, chacun avait eu la même idée et ils se blessèrent mortellement, leurs corps sans vie s’écroulèrent sur le sol.
Amphiaraos, pourchassé par Périclyménos, s’enfuit sur son char, mais seulement pour être englouti par la terre que Zeus avait fendue de sa foudre.
Adrastos fut le seul des “Sept Chefs” à en réchapper, grâce à la rapidité de son cheval Arion, fils de Poséidon et de Déméter.
Le nouveau roi de Thèbes fut Créon, noble Thébain qui avait pris le commandement lors de la mort d’Étéocle. Ce nouveau roi fit régner durement l’ordre et interdit que l’on entrât les cadavres des vaincus.
      
Dix à quatorze ans plus tard, les Epigones, fils des “Sept Chefs”, vengèrent la mort de leurs pères et détruisirent Thèbes. (Cette histoire est censée avoir eu lieu peu avant la guerre de Troie.
 
1 - Aegialée, fils d’Adrastos
2 - Thersandre, fils de Polynice
3 - Diomède, fils de Tydée de Calydon et de Deipyle (fille d’Adrastos), d’origine étolienne, prince d’Argos
4 - Promachos, fils de Parthénopaeos
5 - Sthénélos, roi d’Argos, fils de Capasnéos et d’Evadné,
6 - Hippomédon d’Argos - Polydoros
7 - Alcméon, frère de Amphilochos, fils d’Amphiaraos et d’Eriphyle, fut choisi pour commander l’expédition des Epigones contre Thèbes.
 
Tous ces noms varient selon Apollodore Bib. III 7.2-3, Hygin Fab. LXXI et Pausanias Des. 11.20.5
 
 
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LES  7  ANTONINS
 
On désigne sous ce nom commun une série de 7 princes qui se sont succédé è Rome de 96 à 192 après Jésus-Christ, et sous lesquels l’Antiquité romaine passe pour avoir connu son âge d’or, et l’humanité son époque la plus heureuse.
 
1 - Nerva : Marcus Cocceius (Narni 30-Rome 98), empereur de 96 à 98, fondateur de la dynastie des Antonins. Succédant à Domitien, il adopta TRAJAN en 97 pour lui succéder.
2 - Trajan : Marcus Ulpius Traianus (Italica 53-Silinonte de Cilicie 117), empereur de 98 à 117. Il se montra excellent administrateur et fut un grand bâtisseur. Il adopta Hadrien pour lui succéder.
3 - Hadrien : Publius Aelius Hadrianus (Italica 76-Baïes 138), empereur de 117 à 138. Prince lettré, grand voyageur, il aménagea près de Rome la vaste villa qui porte son nom. Son mausolée est devenu le château Saint-Ange, à Rome.
4 - Antonin le Pieux : Titus Aelius Hadrianus Antoninus Pius (Lanuvium 86-161), empereur de 138 à 161. Son règne marque l’apogée de l’Empire.
5 - Marc-Aurèle : Marcus Aurelius Antoninus (Rome 121-Vindobona 180), empereur de 161 à 180. Il fut adopté par Antonin le Pieux. Empereur philosophe, il a laissé des Pensées, écrites en grec.
6 - Lucius Verus : (Rome 130-169), empereur de 161 à 169.
7 - Commode : Marcus Aurelius Commodus (Lanuvium 161-Rome 192), empereur de 180 à 192, fils de Marc-Aurèle. Sa folie - il s’identifiait à Hercule – et ses cruautés lui valurent d’être assassiné.
 
Malgré le nom commun d’Antonins qu’on leur donne à tous, ces empereurs appartiennent tous à des familles différentes, sauf les deux derniers : Marc-Aurèle est le père de Commode mais ils sont liés les uns aux autres par la parenté fictive de l’adoption. On leur a donné le nom de celui qui a été le meilleur d’entre eux, qui a le plus approché de la perfection et qui a donné au monde sa plus grande somme de bonheur, Antonin le Pieux. Comme Antonin était le fils (adoptif) d’Hadrien, le petit-fils (adoptif) de Trajan, et l’arrière-petit-fils (adoptif) de Nerva, on a donné à ses ascendants le nom que lui-même avait illustré; quant à ses descendants adoptifs, Marc-Aurèle, L. Verus et Commode, ils en ont hérité naturellement.
 
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LES  7  FEMMES  DE  BARBE  BLEUE
 
 
On a émis sur le personnage fameux, vulgairement nommé “la Barbe-Bleue”, les opinions les plus diverses, les plus étranges et les plus fausses. Une hypothèse consiste à identifier cette Barbe-Bleue avec le maréchal Gilles de RAIS, né vers 1400 et qui fut étranglé par justice au dessus des ponts de Nantes, le 26 octobre 1440.
Charles Perrault qui, vers 1660, eut le mérite de composer la première biographie de ce seigneur justement remarquable pour avoir épousé sept femmes, en fit un scélérat accompli et le plus parfait modèle de cruauté qu’il y eût au monde. Mais il est permis de douter, sinon de sa bonne foi, du moins de la sûreté de ses informations. Ce ne serait pas le premier exemple d'un historien ou d'un poète qui se plaît à assombrir ses peintures.
Vers 1650 résidait sur ses terres, entre Compiègne et Pierrefonds, un riche gentilhomme, nommé Bernard de MONTRAGOUX, il vivait éloigné de la Cour, dans son château des Guillettes, bâti aux temps gothiques, il se montrait du dehors assez farouche et morose, avec les tronçons de ses grosses tours abattues lors des troubles du royaume, au temps du feu roi Louis. Au dedans il offrait un aspect plus agréable. Les chambres étaient décorées à l’italienne, et la grande galerie du rez-de-chaussée, toute chargée d’ornements en bosse, de peintures et de dorures.
À l’une des extrémités de cette galerie se trouvait un cabinet que l’on appelait ordinairement “le petit cabinet”, on le nommait aussi le “cabinet des princesses infortunées”, parce qu’un peintre de Florence avait représenté sur les murs les tragiques histoires de Dircé, fille du Soleil, attachée par les fils d'Antiope aux cornes d’un taureau, de Niobé pleurant sur le mont Sipyle ses enfants percés de flèches divines, de Procris appelant sur son sein le javelot de Céphalé. Ces figures, paraissaient vivantes, et les dalles de porphyre dont la chambre était pavée semblaient teintes du sang de ces malheureuses femmes. Une des portes de ce cabinet donnait sur la douve, qui n’avait point d’eau.
Beaucoup d’habitants de la contrée ne connaissaient M. de MONTRAGOUX que sous le nom de la Barbe-Bleue, car en effet, sa barbe était bleue, mais elle n’était bleue que parce qu’elle était noire, et c’était à force d’être noire qu’elle était bleue.  Il était un très bel homme, grand, large d’épaules, de forte corpulence et de bonne mine, quoique rustique et sentant plus les forêts que les ruelles et les salons. Sa timidité en était la cause, sa timidité et non pas sa barbe fait qu'il ne plaisait pas aux dames autant qu'il aurait dû leur plaire, fait de la sorte et riche. Les dames exerçaient sur lui un invincible attrait et lui faisaient une peur insurmontable. Voilà l’origine et la cause initiale de toutes ses disgrâces et ce fut le malheur de sa vie.
 
1 - Colette PASSAGE : Nouvellement établie dans le pays, après avoir gagné quelque argent à faire danser un ours dans les villes et les villages du royaume. Bernard de MONTRAGOUX  l’épousa et l’aima de toutes ses forces. Mais, au bout de quelques mois, elle s’ennuya de ne plus courir le monde. Au milieu des richesses, comblée de soins et d’amour, elle ne goûtait pas d’autre plaisir que d’aller trouver le compagnon de sa vie foraine dans la cave où il languissait, une chaîne au cou et un anneau dans le nez, et de l’embrasser sur les yeux en pleurant. Un matin, à son réveil, Bernard ne retrouva plus Colette à son côté. Il la chercha vainement par tout le château. La porte du “cabinet des princesses infortunées” était ouverte. C’est par là qu’elle passa pour gagner les champs avec son ours. Malgré les courriers innombrables envoyés à sa recherche, on n’eut plus jamais de nouvelles.
 
2 - Jeanne de la CLOCHE : fille du lieutenant criminel de Compiègne, elle lui inspira l’amour lors d’une danse, à la fête des Guillettes, et l’épousa. Elle aimait le vin et en buvait avec excès. M. de MONTRAGOUX en tombait étourdi de dégoût et d’horreur. Prières, remontrances, supplications, menaces, il employa tous les moyens. Rien n’y fit. Il lui refusait le vin de sa cave, elle s’en procurait du dehors qui l’enivrait encore plus abominablement. Pour lui ôter le goût d’une boisson trop aimée, il lui mit de l’herbe aux chats dans ses bouteilles. Elle crut qu’il voulait l’empoisonner. Un jour qu'on avait oublié de fermer 1a porte du “cabinet des princesses infortunées”, elle y entra tout égarée, à son habitude, et voyant les figures peintes sur la muraille dans l’attitude de la douleur et près de rendre l'âme, elle les prit pour des femmes véritables et s’enfuit épouvantée dans la campagne, en criant au meurtre. Entendant la Barbe-Bleue, qui l’appelait et courait à sa poursuite, elle se jeta, folle de terreur, dans la pièce d’eau du parc et s’y noya.
3 - Gigonne TRAIGNEL : fille du fermier du château des Guilettes, elle n’allait qu’en sabots et sentait l’oignon. Assez belle fille à cela près qu’elle louchait d’un oeil et clochait d’un pied. Sitôt qu’elle fut épousée, cette gardeuse d’oies, mordue par une folle ambition, ne rêva plus que grandeurs nouvelles et nouvelles splendeurs. Elle ne trouvait point ses robes de brocart assez riches, ses colliers de perles assez beaux, ses rubis assez gros, ses carrosses assez dorés, ses étangs, ses bois, ses terres assez vastes. Gigonne ne pensait plus qu’à paraître dans le monde, à se faire recevoir à la Cour, et à devenir la maîtresse du roi. N’y pouvant parvenir, elle sécha de dépit, et en prit une jaunisse dont elle mourut.
4 - Blanche de GIBEAUMEX : fille d’un officier de cavalerie, elle choisit M. de MONTRAGOUX pour mari. Elle avait beaucoup d’esprit, dont elle se servit pour le tromper. Elle le trompa avec tous les gentilshommes des environs. Elle y mettait tant d’adresse qu’elle le trompait dans son château et jusque sous ses yeux sans qu’il s’en aperçût. Malheureusement pour elle, mettant toute son étude à tromper son mari, elle n’était pas assez attentive à tromper ses amants, je veux dire à leur cacher qu’elle les trompait les uns avec les autres. Un jour elle fut surprise, dans le “cabinet des princesses infortunées”, en compagnie d’un gentilhomme qu’elle aimait, par un gentilhomme qu’elle avait aimé et qui, dans un transport de jalousie, la perça de son épée. À la nouvelle qu’elle l’avait trompé Bernard contracta une maladie qui fit craindre pour ses jours. Les médecins, ayant employé divers médicaments sans effet, l’avertirent que le seul remède convenable à son mal était de prendre une jeune épouse.
5 - Angèle de la GARANDINE : petite cousine de M. de MONTRAGOUX, elle ne possédait pas de biens et passait pour simple et sans connaissance. Ce qui encouragea Bernard à la prendre pour femme, ayant été trompé par une femme d’esprit, une sotte le rassurait. Elle n’était pas d’elle-même portée au mal, il suffisait de lui dire : “Faites ceci de peur des oripeaux,  entrez ici de crainte que le loup-garou ne vous mange”, ou bien encore : “Fermez les yeux et prenez ce petit remède”, et aussitôt l'innocente, faisait au gré des fripons qui voulaient d’elle ce qu’il était bien naturel d’en vouloir. Mais Angèle était bien trop candide pour ne rien cacher à son époux, et par son ingénuité, elle faisait souffrir à ce pauvre seigneur des tourments inimaginables. Cependant celui-ci arrivait de dire à cette simple créature : “Vous êtes une dinde ! ” et de lui donner des soufflets. Ces soufflets lui commencèrent une renommée de cruauté qui ne devait plus s’éteindre. Un moine mendiant, qui passait par les Guillettes, tandis que M. de MONTRAGOUX chassait la bécasse, trouva madame Angèle qui cousait un jupon de poupée. Ce bon religieux, s’avisant qu’elle était aussi simple que belle, l’emmena sur son âne en lui faisant croire que l’ange Gabriel l’attendait dans un fourré du bois pour lui mettre des jarretières de perles.
6 - Alix de PONTALCIN : jeune fille de qualité, dépouillée de tous ses biens par un tuteur avide, songeait à s’enfermer dans un couvent. Des amis officieux s’entremirent pour changer sa résolution et la décider à accepter la main de M. de MONTRAGOUX. Elle refusa obstinément de donner une réalité à l’union à laquelle elle avait pourtant consenti. En vain Bernard la pressait de devenir (physiquement) sa femme, elle résistait aux prières, aux larmes, aux objurgations, se refusait aux caresses les plus légères de son époux et courait s’en fermer dans le “cabinet des princesses infortunées”, où elle demeurait seule et farouche des nuits entières. Enfin, n’y pouvant tenir, il demanda à Rome l’annulation d’un mariage qui n’était qu’un leurre, et l’obtint selon le droit canon et moyennant un beau présent au Saint-Père. On ne sut jamais la cause d’une résistance si contraire aux lois divines et humaines.
7 - Jeanne de LESPPOISSE : Quelques années plus tard, une veuve sur le retour, la dame Sidonie de LESOISSE, vint s’établir avec ses enfants dans le manoir de la Motte-Giron, à deux lieues, à vol d’oiseau, du château des Guillettes. Elle avait deux filles, dont l’aînée, Anne, près de coiffer Sainte-Catherine, était une fine mouche. Jeanne, la plus jeune, bonne à marier, cachait sous les apparences de l’ingénuité une précoce expérience du monde. Pressée de trouver un gendre, elle avait tout de suite jeté ses vues sur M. de MONTRAGOUX qu'elle devinait simple, facile à tromper, très doux et prompt à l’amour sous une apparence rude et farouche. Ses filles entraient dans ses desseins et, à chaque rencontre, criblaient la pauvre Barbe-Bleue d’oeillades qui le perçaient jusqu’au fond du coeur. Il céda très vite aux charmes puissants des deux demoiselles de LESPOISSE. Après quelques jours d’observation le bon seigneur de Guillettes préféra décidément à l’aînée des soeurs Jeanne la cadette qui était plus fraîche, ce qui ne veut pas dire qu’elle était plus neuve. Elle trompa son mari avec le Chevalier de la MERLUS. Mais l’histoire racontée par Anatole France (1844-1924), dont vous venez de lire un extrait  ne s’arrête pas là.
 
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LES  7  MERVEILLES  DU  MONDE
 
1 - La Pyramide de Chéops : immense tombeau destiné à accueillir les pharaons dans leur dernière demeure. Ce sont d’ailleurs les seules merveilles qui sont encore visibles aujourd’hui.
2 - Les Jardins suspendus de Semiramis à Babylone : C’est le roi Nabuchodonosor qui aurait créé ces jardins, qui s’élevaient jusqu’à cent mètres dans le ciel.
3 - Le Tombeau de Mausole à Halicarnasse : ville d’Asie. À la mort de ce roi, son épouse Artémise avait fait construire ce superbe monument.
4 - Le Colosse de Rhodes : île grecque de la mer Égée, abritait cette statue du dieu Hélios. Elle mesurait trente mètres de hauteur et cela a pris plus de dix ans pour la construire. Malheureusement, dix ans plus tard, elle a été détruite par un tremblement de terre.
 5 - Le Phare d’Alexandrie : Il se dressait sur l’île de Pharos. On disait que ses feux pouvaient être vus à plus de quarante kilomètres de distance.
6 - La Statue de Jupiter olympien à Olympe : Pendant plus de 800 ans, elle s’est dressée du haut de ses douze mètres. Zeus assis sur son trône disparut au début du 5e siècle.
7 - Le Temple de Diane à Éphèse : ou d’Artémis à Éphèse, en Asie. Les Éphésiens élevèrent pour leur déesse bien-aimée le plus somptueux et le plus vaste temple qui n’ait jamais existé. Malheureusement, un homme, Eurostrate, y mit le feu en 356 avant J-C en espérant immortaliser son nom. Tâche accomplie! Pour ce geste dépourvu de sens, il fut condamné à être brûlé vif.
 
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LES  7  ARTS
 
Georg Wilhelm Friedrich HEGEL (Stuttgart 27 août 1770-13 novembre 1831), un philosophe allemand, dans son Esthétique, classe les arts selon une double échelle de matérialité décroissante et d’expressivité croissante. Il distingue ainsi six arts. Le septième art est une expression proposée en 1919 par Ricciotto CANUDO (1877-1977) pour désigner l’art cinématographique.
 
1 - Architecture
2 - Sculpture
3 - Peinture
4 - Musique
5 - Danse : avec la muse Terpsichore
6 - Poésie : avec les muses Calliope pour la Poésie épique et Érato pour la Poésie lyrique
7 - Cinéma
 
 
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LES 7  ARTS  LIBÉRAUX
 
Les sept arts libéraux étaient enseignés dans l’Antiquité, mais également au Moyen Âge. Ils ont notamment été transmis par Alcuin, conseiller intellectuel de Charlemagne et sont à l'origine de la réforme scolaire de celui-ci, durant la période dite de la Renaissance carolingienne.
 
Disciplines littéraires :
 
1 - La grammaire
2 - La rhétorique
3 - La logique
 
Disciplines scientifiques :
 
4 - L’arithmétique
5 - La géométrie
6 - L’astronomie : avec la muse Uranie
7 - La musique : avec la muse Euterpe
 
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LES  7  NAINS  et  BLANCHE  NEIGE
 
Blanche Neige et les 7 nains est le premier long-métrage d’animation et "Classique" des studios Disney. Sorti le 21 décembre 1937 au Carthay Circle Theater d’Hollywood (4 mai 1938 en France), il est adapté du conte éponyme des frères Grimm paru en 1812.
 
1 - Atchoum    2 - Dormeur    3 - Grincheux    4 - Joyeux    5 - Prof    6 - Simplet    7 - Timide
 
Contrairement aux idées reçues, le film “Blanche Neige et les 7 nains” n’est pas le premier long-métrage d’animation de l’histoire du cinéma. Déjà en 1917, le cinéaste argentin Don Frederico Valle réalisa un film muet de 60 minutes intitulé El Apóstol. Quirino CRISTIANI réalisa à son tour Peludópolis (1931), le premier dessin animé sonore en long métrage. Ces deux films argentins, ainsi que la production italienne de 1936, Les Aventures de Pinocchio, précèdent donc le classique de Disney. C’est en revanche le premier long-métrage d’animation au monde à la fois sonore et en couleurs. Disney réutilisa le procédé Technicolor qu’il avait acheté et employé en 1935, pour le court-métrage de la série Silly Symphonies, Flowers and Trees.
 
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LES  7  SAMOURAÏS
 
Titre original : SHICHININ NO SAMURAI
Film de Akira KIROSAWA – 1954
Acteurs principaux : Yoshio INABA, Toshiro MIFUNE, Seiji MIYAGUCHI, Takashi SHIMURA
 
En l’an 1652 (l’ère Sengoku), au Japon, quatre paysans partent en ville implorer l’aide de samouraïs afin de défendre leur village contre les bandits. Ils sont pauvres et n’ont rien d’autre à offrir que trois bons repas par jour à leurs protecteurs. C’est le début de la quête de ces hommes d’honneur…Tout d’abord, il convient de préciser qu’il ne s’agit pas d’une aventure “basique” de personnages virils (au contraire de son remake hollywoodien, Les Sept Mercenaires), mais de l’histoire d’hommes courageux dans une nation exsangue. La guerre civile, faisant rage depuis des lustres, provoquait l’anéantissement total des structures sociales et politiques. Bref, c’est le chaos et l’anarchie.
 (N’ayant pas encore le film je ne puis citer les 7 samouraïs et les acteurs qui les incarnent JCT)
 
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LES  7  MERCENAIRES
 
Les 7 mercenaires (film de John STURGES - 1960)
 
En quête de rédemption, sept aventuriers experts en l’art de tuer mettent leur armes au service d’une juste cause : la défense d’un village mexicain harcelé par une bande de pillards.
 
1 - Yul BRYNNER : Chris Adams commande le groupe.
2 - Steve MacQUEEN : Vin, ami et second de Chris.
3 - James COBURN : Britt, un expert au lancer du couteau.
4 - Robert VAUGHN : Lee, tueur miné par la peur.
5 - Charles BRONSON : Bernado O’Reilly, chasseur de primes.
5 - Brad DEXTER : Harry Luck pense que la modestie du salaire cache un secret.
5 - Horst BUHHOLZ : Chico, un jeune ambitieux.
 
Les retour des 7 mercenaires (film de Burt KENNEDY - 1966)
 
Parce que leur ami Chico et tous les hommes de son village sont retenus captifs par un propriétaire terrien illuminé, les mercenaires reprennent du service. Chris et Vin reforment le groupe des sept mercenaires afin de secourir une communauté de péons, exploitée par un fou mystique, le général Francisco LORCA (Émilio FERNANDEZ).
 
1 - Yul BRYNNER : reprend le rôle de Chris Adams.
2 - Robert FULLER : reprend le rôle de Vin.
3 - Claude ATKINS : Frank, prisonnier condamné à mort que Chris fait sortir de prison.
4 - Virgilio TEIXERA : Emilio Luis Delgado, 2e prisonnier condamné à mort sorti par Chris.
5 - Warren OATES : Colbee, coureur de jupons invétéré.
6 - Jordan CHRISTOFER : Manuel, jeune aventurier sans expérience
7 - Julian MATEOS : Chico, Amoureux d’un jolie paysanne, il était resté dans le village.
 
Les colts des 7 mercenaires (film de Paul WENDKOS - 1969)
 
Troisième volet de la saga, ce film marque un changement radical. Du premier opus, il ne rien, si ce n’est la musique de Elmer BERNSTEIN et un scénario coulé dans le moule de l’original.
Cette fois, ils ne vont pas affronter un ennemi redoutablement armé pour de l’argent, mais pour une noble cause. Sept hommes déterminés vont prendre d’assaut une forteresse imprenable afin de libérer le symbole de la liberté : un chef révolutionnaire torturé, tué à petit feu par le sadique colonel DIEGO (Michael ANSARA).
 
1 - George KENNEDY : reprend le rôle de Chris Adams.
2 - Reni SANTONI : Maximilien O’Leary est un jeune péon à la recherche de mercenaires.
3 - Monte MARKHAM : Keno
4 - Bernie CASEY : Cassie, géant noir expert en explosifs.
5 - Joe Don BAKER : Slater, un tireur d’élite manchot.
6 - James WHITMORE : Levi Morgan, expert au maniement de l’arme blanche
7 - Scott THOMAS : P.J. est le spécialiste du lasso.
 
La chevauchée des 7 mercenaires (film de George Mc GOWAN - 1972)
 
Alors qu’il a trouvé la paix, Chris doit reprendre les armes pour traquer les assassins de sa femme et recruter six compagnons d’armes pour porter secours à une communauté opprimée et organiser la défense du village de Magdalena harcelé par le féroce Juan de TORO (Ron STEIN)
 
1 - Lee VAN CLEEF : reprend le rôle de Chris Adams, il est alors shérif.
2 - Michael CALLAN : Noah Forbes, journaliste souhaite écrire la biographie de Chris et le suit.
3 - Pedro ARMENDARIZ Jr : Pepe Carral, le mexicain,
4 - William LUCKING : Walt Drummond, le costaud.
5 - James SIKKING : Capitaine Andy Hayes.
6 - Ed LAUTER : Scott Elliot, l’as de la dynamite.
7 - Luke ASKEW : Mark Skinner, le lanceur de couteau.
 
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LES  7  COLLINES  DE  ROME
 
1 - L’Aventin : Monte de Santa-Sabina
2 - Le Caelius : Une des plus grandes collines
3 - Le Capitole : Campodiglio en italien
4 - L’Esquilin : Plateau se prolongeant par l’Oppius, le Cispus et le Fagutal
5 - Le Palatin : au centre des collines de Rome
6 - Le Quirinal
7 - Le Viminal
La Velia, petite colline entre le Palatin et l’Esquilin, fut pratiquement arasée sous l’Empire Romain.
Les 7 collines de Rome sont les collines sur lesquelles étaient les 7 tribus initialement indépendantes, et qui se sont regroupées pour former la ville de Rome, d’après la légende au VIIIe siècle avant Jésus-Christ.
 
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LES  7  PÉCHÉS  CAPITAUX
 
Les sept péchés capitaux sont une notion définie par le catholicisme : ils représentent les comportement humains à éviter afin de ne pas commettre de péchés.
 
Le premier à reconnaître un certain nombre de ce qu’il appelait des passions fut ÉVAGRE le Pontique, moine gnostique et origénique mort dans le désert égyptien en 399, il identifia huit passions et estimait que tous les comportements impropres trouvaient leur origine dans une ou plusieurs de celles-ci.
 
La liste actuelle a été citée par THOMAS d’Aquin dans sa Somme théologique (question 84, Prima secundae) au XIIIe siècle. Il y mentionne que certains d’entre eux ne sont pas en eux-mêmes à proprement parler des péchés, mais plutôt des vices, c’est-à-dire des tendances à commettre certains péchés.
 
1 - La Paresse : refus d’accomplir des tâches nécessaires. Son démon est Belphégor.
2 - L’Orgueil : attribution à ses propres mérites de qualités vues comme des dons de Dieu (intelligence, etc.). Son démon est Lucifer.
3 - La Gourmandise : ce n’est pas tant la gourmandise au sens moderne qui est blâmable que la gloutonnerie. Du reste, ailleurs qu’en français ce péché n’est pas désigné par un mot signifiant « gourmandise » (gluttony en anglais, par exemple). Son démon est Belzébuth.
4-  La Luxure : plaisir sexuel recherché pour lui-même. Son démon est Asmodée.
5 - L’Avarice ou la cupidité : désir de posséder ou conserver plus de richesses que nécessaire. Son démon est Mammon.
6 - La Colère : courte folie déjà pour les anciens, et qui entraîne parfois des actes regrettables. Son démon est Satan.
7 - L’Envie : refus de se réjouir du bonheur d’autrui, ou satisfaction de son malheur. Son démon est Léviathan.
 
On peut trouver une phrase mnémotechnique dans un des Manuels des Castors Juniors afin de se souvenir des sept péchés capitaux : Glacé (à retenir donc dans l’ordre établi ci-dessus)
 
Les Sept Péchés capitaux désignent aussi :
 
Les Sept péchés capitaux, opéra-ballet. Texte de Bertolt Brecht Musique de Kurt Weill. Première œuvre d’exil de Bertolt Brecht (1933), ballet chanté en un prologue et sept tableaux.
Les Sept Péchés capitaux, film à sketches franco-italien (1952) d'Yves Allégret, Claude Autant-Lara, Eduardo De Filippo, Jean Dréville, Georges Lacombe, Carlo Rim et Roberto Rossellini.
Les Sept Péchés capitaux, film à sketches français (1962) de Philippe de Broca, Claude Chabrol, Jacques Demy, Sylvain Dhomme, Max Douy, Jean-Luc Godard, Eugène Ionesco, Edouard Molinaro et Roger Vadim.
Les Sept Péchés capitaux, film à sketches belge (1992) de Beatriz Flores, Frédéric Fonteyne, Yvan Le Moine, Geneviève Mersch, Pierre-Paul Renders, Olivier Smolders et Pascal Zabus.
Les Sept Péchés capitaux, émission télévisée française animée par Julien Courbet.
 
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LES  7  VOYAGES  DE  SIMBAD  LE  MARIN
 
Les Mille et Une Nuits, une collection d’histoires parmi lesquelles on retrouve les aventures de Sindbad, racontent les 1001 nuits où la jeune vierge Shéhérazade invente des contes afin d’empêcher son mari de la tuer au matin, curieux qu’il est de savoir la suite de l’histoire.
Vers la fin de la 536e nuit, Shéhérazade débute l’histoire de Sindbad : à l’époque de Haroun al-Rashid, calife de Baghdad, un pauvre livreur du nom de Hindbad prend une pause sur un banc près de la grille de la maison d’un riche marchand. Alors qu’il se plaint à Allah à propos des injustices d’un monde qui permet aux riches de vivre pleinement alors que lui doit travailler d’arrache-pied et demeurer pauvre, le propriétaire des lieux l’entend et envoie chercher le livreur. Le riche Sindbad dit au pauvre Hindbad qu’il est devenu riche par la chance, au cours de ses sept voyages fantastiques qu’il va maintenant raconter.
 
1er voyage : Après avoir dépensé les biens laissés en héritage par son père, Sindbad se rend en mers afin de refaire sa fortune. Il accoste sur ce qui apparaît comme une île, mais qui est en réalité un gigantesque poisson sur lequel des arbres ont poussé. Le poisson plonge dans la mer et le bateau part en abandonnant Sindbad. Il est sauvé par un bateau passant par là, grâce à Allah. Il débarque sur une île où il devient l’ami du roi Mirhage, lequel le nomme directeur du port. Un jour, le propre navire de Sindbad arrive au port : Sindbad réclame alors son dû et, après avoir reçu de nombreux présents du roi, retourne à Bagdad où il vit une vie de plaisirs. À la fin du récit, Sindbad le marin donne cent pièces d’or à Hindbad le livreur et lui demande de revenir le lendemain afin d’entendre l’histoire de son second voyage.
2e voyage : Durant le second jour de l’histoire de Sinbad, la 549e nuit de Sheherezade, il raconte comment il s’est fatigué de sa vie de plaisirs et est reparti en mer, possédé par l’idée de voyager dans le monde des hommes et de visiter leurs villes et leurs îles. Accidentellement abandonné par son équipage, il se retrouve seul dans une inaccessible vallée de serpents géants et d’oiseaux encore plus gigantesques, des rokh. Piégé dans le nid d’une de ces créatures, il se rend compte que le sol du nid est tapissé de diamants. On y apprend que des marchands récoltent les diamants en lançant de gros blocs de viandes dans la vallée, blocs que les oiseaux ramènent dans leurs nids : les diamants se collent à la viande et les marchands les récoltent en ramenant la viande à l’aide d'une corde. Afin de sortir du nid, Sinbad s’attache à une pièce de viande, emportant avec lui un gros sac de pierres précieuses. Secouru par les marchands, il retourne à Badhdad avec une fortune en diamants.
3e voyage : Sans cesse en quête d’aventures, Sinbad repart de Bassorah. Par malchance, lui et ses compagnons sont emprisonnés sur une île par une grosse créature qui ressemble à un cyclope avec une peau noire, un seul oeil tel un charbon ardent, des lèvres longues et pendantes comme celles des chameaux et des oreilles pendant sur ses épaules et les ongles de ses mains comme les griffes d’un lion. Le monstre mange un à un l’équipage, débutant par le plus gros. Sinbad élabore un plan pour aveugler le géant avec un bout de bois trempé dans le feu. Ainsi, l’équipage s’enfuit avec leur radeau qu’ils avaient construit allant au-devant d’autres problèmes, dont un gigantesque serpent. Les amis du cyclope avaient vu qu’il lui manquait un oeil entraient dans la mer pour tuer Sinbad et ses compagnons. Il retourne alors à Baghdad, plus en forme que jamais, où les festivités de son retour lui font oublier les horreurs de son voyage.
4e voyage : Toujours à la recherche d’aventures, Sinbad reprend la mer et, comme à l’habitude, son navire s'échoue. Les sauvages nus avec lesquels il se retrouve leur donnent à manger une plante qui leur enlève toute volonté. Sinbad refuse de manger de cette plante et, lorsque les cannibales se lassent de lui, il s’échappe. Un groupe de marchands itinérants le ramènent sur leur propre île, où leur roi s’éprend d’amitié pour Sinbad et lui donne une riche et belle vie. Un peu trop tard, Sinbad apprend une coutume particulière de l'île : à la mort de l’époux ou de l’épouse, l’autre partenaire est enterré vivant avec celui ou celle-ci, tous les deux dans leurs plus beaux atours. Malgré toute son attention, la femme de Sinbad tombe malade et meurt peu après, laissant Sinbad emprisonné dans une caverne souterraine, une tombe commune, avec un pot d’eau et quelques morceaux de pain. Au moment où ses maigres provisions sont écoulées, un autre couple, le mari étant mort et la femme vivante, sont jetés dans la caverne ; Sinbad tue la femme et prend ses rations. Bientôt, il a une bonne quantité de pain et d’eau et beaucoup d’or et de joyaux, mais est toujours incapable de s’échapper, jusqu'au jour où un animal sauvage lui montre un passage vers l’extérieur, haut au dessus de l’océan. De là, un navire le recueille et le ramène à Baghdad, où il donne ses richesses aux pauvres et recommence à vivre une vie de plaisirs.
5e voyage : Après un moment de repos et de plaisirs et en regardant ses avoirs, Sinbad oublie tous les périls et la souffrance qu’il a vécue et ressent encore le besoin de prendre le large. En passant près d'une île déserte, l’équipage de Sinbad remarque un gigantesque œuf que Sinbad reconnaît comme étant celui d’un rokh. Curieux, l’équipage débarque, brise l’œuf et finit par faire cuire l'oisillon pour souper. Sinbad reconnaît l’imprudence de leur geste et rappelle son équipage à bord. Toutefois, les parents de l’œuf rokh rattrapent le navire et le détruisent en y lançant de gros rochers qu’ils transportent dans leurs griffes. Échoué à nouveau, Sinbad est fait esclave, au service du Vieil homme de la mer qui voyage sur les épaules de Sinbad, ses jambes autour de son cou. Ils voyagent nuits et jours, jusqu’à ce que Sinbad souhaite mourir. Il finit par convaincre le vieil homme de boire jusqu’à s’enivrer, le tue peu après et s’échappe. Un bateau le ramène dans la ville des Singes, un endroit où les habitants passent chaque nuit sur des bateaux en mer, alors que leur ville est abandonnée aux singes mangeurs d’hommes. Malgré les singes, Sinbad regroupe sa fortune et éventuellement trouve un navire qui pourra le ramener à Baghdad.
Dans la traduction de Mardrus, les singes ne sont pas anthropophages, mais les habitants de la ville s’enrichissent à cause d’eux. Ils lancent des cailloux sur les singes perchés dans des arbres dits “coco d’Inde”. Enragés, les singes lancent en réponse des noix de coco, lesquelles se vendent chers. Sindbad y participe et se fait une fortune considérable.
6e voyage : Sinbad est reparti en mer et s’échoue cette fois sur une île dont les rivières sont remplies de pierres précieuses dont les flots brillent d’ambre gris. Cependant, il n’y a aucune nourriture et ses compagnons meurent les uns après les autres, jusqu’à ce qu’il se retrouve seul. Par son don à s’échapper, il trouve la ville du roi de Serendib (Sri Lanka). Le roi est curieux par ce que Sinbad lui raconte à propos de Haroun al-Rashid et lui demande d’apporter des présents de sa part à Baghdad : une coupe taillée dans un unique rubis, un lit fait de la peau du serpent qui avala un éléphant, cent mille pots d’aloès indienne, une jeune et belle esclave, ainsi que d’autres présents. Lorsque Sinbad retourne à Baghdad, le calife est très intéressé par ce qu’il lui dit de la terre du Serendib.
7e voyage : Sinbad reprend la mer avec le résultat habituel. Perdu sur une île désolée, il se fabrique un radeau et flotte jusqu’à une grande ville. Là-bas, le chef des marchands marie Sinbad à sa fille, le nomme comme héritier et meurt. Les habitants de cette ville se transforment une fois par mois en oiseaux et Sinbad se fait porter par l’un d’eux jusqu'au plus haut du ciel, où il entend les anges glorifier Allah. Cependant, l’entendant, les anges lui lancent du feu qui consume l’homme-oiseau. Les hommes-oiseaux sont fâchés contre Sinbad et l’isolent sur le sommet d’une montagne où deux jeunes, les servants de Allah, lui donnent un bâton doré. De retour en ville, Sinbad apprend par sa femme que les hommes-oiseaux sont maléfiques, mais qu’elle-même et son père ne sont pas comme eux. Suivant les suggestions de sa femme, Sinbad vend tous ses avoirs et retourne avec elle à Baghdad, où, finalement, il finit par vivre tranquille, ne recherchant plus d’aventures.
Dans une seconde version du septième voyage, on ajoute que Sinbad se voit demander par le calife Haroun al-Rashid de retourner un cadeau au roi de Serendib. Bien que réticent à reprendre la mer, ses aventures ayant été assez malheureuses, Sinbad entreprend son seul voyage diplomatique. Le roi de Serendip est très heureux des cadeaux du calife et enrichit Sinbad de présents. Au retour, la catastrophe habituelle se produit : Sinbad est capturé et vendu comme esclave. Son maître lui demande de tuer des éléphants avec un arc et des flèches, ce qu'il fait jusqu'à ce que le roi des éléphants le transporte au cimetière d’éléphants. Le maître de Sinbad est tellement heureux par la quantité d’ivoire qu'il y trouve qu’il libère Sinbad qui retourne à Baghdad, riche en ivoire et en or.
Conclusion : Ici se termine l’histoire de Sinbad le marin, alors que le roi Shahryar est content de l’histoire de Shéhérazade, sans autre mention de Hindbad le livreur.
 
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LES  7  PREMIERS  ASTRONAUTES  DE  LA  N.A.S.A.
 
Les 7 astronautes du groupe baptisé “The Original Seven” constitué dans le cadre du programme des vols habités Mercury,
 
1 - John Herschel GLENN
Vol Mercury-Atlas 6 (Frienship 7) - le 20 fév. 1962 - durée 4h 56min.
2 - Malcom Scott CARPENTER
Vol Mercury-Atlas 7 - le 20 mai 1962 - durée 4h 56min.
3 - Walter SCHIRRA
Vol Mercury-Atlas 8 - le 03 oct. 1962 - durée 9h 13min.
Vol Gémini 6 - le 15 déc. 1965 – durée 25h 51min.
(avec Thomas Patten STAFFORD : 12e astronaute).
(rendez-vous spatial avec Gémini 7 de Frank BORMAN : 10e et James LOWELL : 11e).
Vol Apollo 7 – le 11 oct. 1968 - durée 260h 09min.
(avec Don EISEL : 19e astronaute).
(avec Ronnie Walter CUNNINGHAM  (Walt) : 20e astronautes).
4 - Leroy Gordon COOPER (Gordo)
Vol Mercury-Atlas 9 - le 15 mai 1963 - durée 34h 20min.
Vol Gémini 5 - le 21 août 1965 - durée 190h 56min.
(avec Charles CONRAD Jr  (Pete) : 9e astronaute).
5 - John Watts YOUNG
Vol Gémini 3 - le 23 mars1965 - 04h 53min.
(avec Virgil I. GRISSON : 6e astronaute).
Vol Gémini 10 - 10 août 1966 - durée 70h 47min.
(avec Michael COLLINS : 16e astronaute).
Vol Apollo 10 - 18 mai 1969 - durée 192h 03min 23s.
(avec Thomas Patten STAFFORD : 12e astronaute).
(avec Eugene Andrew CERNAN : 15e astronautes).
Vol Apollo 16 - 16 avril 1972 - durée 265h 51min.
(avec Thomas MATTINGLY : 31e astronaute).
(avec Charles Moss DUKE : 32e astronaute).
6 - Virgil  I. GRISSON (Gus)
Vol Gémini 3 - le 23 mars 1965 - durée 04h 53min.
(avec John YOUNG : 5e astronaute).
Apollo 1 – l’équipage péri dans la capsule lors d’une répétition au sol le 27 jan. 1967.
(avec Edward Higgins WHITE : 8e astronaute).
(avec Roger B. SCHAFFEE : c’était sa première participation).
7 - James Alton McDIVITT
Vol Gémini 4 - le 03 juin 1965 - durée 97h 56min.
(avec Edward Higgins WHITE : 8e astronaute).
Vol Apollo 9 - le 03 mats 1969 - durée 241h (test du LEM en orbite terrestre).
 
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LES  7  NOTES  DE  LA  GAMME  MUSICALE
 
Celles-ci, existent depuis le début de l'an mille. On attribue l’établissement du nom des sept notes de la gamme musicale (pour les langues latines) au bénédictin Gui d'AREZZO (vers 975-1040), moine, professeur de musique à l’école de la Cathédrale d’Arezzo, qui se servit des premières syllabes des sept vers de la première strophe d’un hymne à Saint Jean-Baptiste pour créer la gamme diatonique :
 
1 - ut : Ut queant laxis (Ut deviendra plus tard Do)    2 - ré : Re sonare fibris     3 - mi : Mira gestorum
4 - fa : Famuli tuorum       5 - sol : Solve polluti         6 - la : Labii reatum         7 - si : Sancte Iohannes

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LES  7  VOYELLES  DE  L’ ALPHABET GREC
 
Dans un autre ordre d’idées, on constate que l’alphabet grec antique est composé de sept voyelles. Les Grecs sont d’ailleurs les inventeurs d’un alphabet complet qui inclut les voyelles et les consonnes.
 
1 - Α   α  -  Alpha         2 - Ε   ε   -  Epsilon         3 - Η   η  -  Êta         4 - Ι    ι   -  Iota
5 - Ο   ο  -  Omicron     6 - Υ   υ  -  Upsilon        7 - Ω  ω  -  Oméga
 
Après avoir emprunté leur alphabet à celui des Phéniciens, les Grecs auraient modifié la valeur de certaines consonnes de l’alphabet phénicien (qui ne notait pas les sons vocaliques) pour les transformer en voyelles.
 
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LES  7  CONTINENTS  ET LES  7  OCÉANS
 
Les terres qui ne sont pas recouvertes d’eau sont morcelées en grands blocs : les continents. On en compte 7 (source : The Discovery Channel. for educative use only. Si l’on veut, ce n’est pas ce que j’ai appris à l’école !).
 
1 - Amérique du Nord     2 - Amérique du Sud     3 - Europe     4 - Afrique  
5 - Asie                              6 - Australie                   7 - Antarctique
 
Les sept océans : 1 - Pacifique nord       2 - Pacifique sud       3 - Atlantique nord      
                            4 - Atlantique sud       5 - Indien                   6 - Arctique              7 - Antarctique
 
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LES  7  MONTAGNES  CÉLÈBRES
 
C’est un parc de nature très beau, au bord du Rhin, près de Bonn et Cologne en Allemagne.
 
1 - Ölberg              2 - Nonnenstromberg       3 - Lohrberg       4 - Löwenburg
5 - Petersberg       6 - Wolkenburg                 7 - Drachenfels
 
Il était une fois, le Rhin qui ne coulait pas de sa source en Suisse dans le Mer du Nord comme aujourd'hui.
Près d'un petit village, le futur Königswinter, une chaîne de collines arrêtait son cours de manière qu’un grand lac de retenu se produisait derrière elle tandis que le village restait sans eau. Les habitants du village en souffraient et cherchaient une solution au problème.
Enfin ils ont engagé sept géants particulièrement forts afin qu’ils piochent un passage à travers de la montagne. Les sept géants sont arrivés, chacun d’eux avec une grande bêche sur son épaule, et se sont mis au travail. Trois mois plus tard, l’oeuvre a été fait : par un beau passage, l’eau du Rhin coulait vers l’océan, tout en laissant du sol fertile à ses cotés. Les habitants en étaient très heureux.
Après avoir reçu une récompense bien généreuse, les géants ont préparé leur retour. Mais ils n’ont pas voulu rentrer chez eux avec leur bêches toutes sales. Ainsi ils ont tapé leurs bêches par terre plusieurs fois, et grumeau par grumeau est tombé de la bêche sur le sol, en formant des collines qui chaque fois sont devenues plus hautes.
Quand les sept géants ont mis leurs bêches maintenant tout propres sur leurs épaules et se sont allés, ils ont laissé sept montagnes derrière eux.
 
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LES  7  VERTUS  DU  BUSHIDO
 
Ce code de vie a emprunté au Bouddhisme l’endurance stoïque, le mépris du danger et de la mort, au Shintoïsme, le culte religieux de la Patrie et de l’Empereur, au Confucianisme, une certaine culture littéraire et artistique ainsi que la morale sociale des “relations” : parents-enfants, maître et serviteur, époux, frères, amis. Mencius fut également une grande source d’inspiration pour le Bushido.
Il existe sept grandes vertus confucéennes associées au Bushido :
 
1 - Gi : Droiture (parfois aussi traduit par “rectitude” ou “rigueur”).
2 - Yu : Courage.
3 - Jin : Bienveillance (parfois aussi traduit par “grandeur d’âme”, “compassion” ou “générosité”).
4 - Rei : Respect (ou “politesse”).
5 - Makoto : Honnêteté (ou “sincérité”).
6 - Meiyo : Honneur.
7 - Chugi : Loyauté.
 
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LES  7  JOURS  DE  LA  CRÉATION
 
Jour 1 : Création de la lumière.
La lumière ne peut être divisée. L’unité ne peut pas être divisée
Représente le Créateur. La lumière représente souveraineté de Dieu qui est tout puissant, omniprésent, omniscient, indivisible, éternel
Jour 2 : Division des eaux du ciel et de la terre
Représente une entité divisée d'une autre
 Jour 3 : Regroupement des eaux, apparition de la terre et des plantes : la vie.
Trinité : Dieu le père, le fils et le Saint-Esprit. Le 3 représente le Saint-Esprit source de la vie
Jour 4 : Mise en ordre de l’espace : Terre, soleil, lune...
Relation entre la Terre et les Cieux : faiblesse du matériel face à l'autorité du ciel. Quatre doigts face au pouce
Jour 5 : Création du règne animal
Grâce de Dieu qui a créé la vie
Jour 6 : Création de l’Homme : Adam à partir de l’argile
Nombre associé à l'homme, à l'âme
Jour 7 : Repos
Complétude. Associé à la Résurrection
 
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LES  7  ÂGES  DE   LA  VIE
 
1 - Naissance      2 - Enfance       3 - Adolescence      4 - Âge adulte      5 - Maturité      
                            6 - Vieillesse     7 - Mort
 
La vie n’a de sens que si on la considère dans son ensemble. On découvre alors le rapport des étapes entre elles. La structure s'articule. Chaque partie apparaît comme une étape. Chaque étape comporte sa crise, son interrogation, son message.
Il y a dans le passage d’une étape à l’autre une volonté de dépassement. Comme si la conscience embourbée tentait de se dégager par étapes successives. La démarche se poursuit, jour après jour, dans le labyrinthe de l’incarnation: elle paraît aller de l’obscurité vers la lumière.
Cela peut entraîner parfois des déviances extrêmement curieuses. Je pense, en particulier, au fait que même si, au départ, la cigarette ne leur apporte pas grand’ chose, les jeunes vont fumer pour contester le système qui leur déconseille ou leur interdit de le faire. Si ce n’est pas la cigarette, ce sera le cannabis.
Sept est le nombre de l’accomplissement.
 
Les sept âges de la vie sont comme les sept degrés du Temple. La vie est un cheminement. On progresse d’une étape à l'autre. Il s’agit toujours de mourir pour renaître. De mourir à chaque étape pour renaître à la suivante. La difficulté vient parfois de ce qu’on s'attarde. De ce qu’on tente de prolonger une étape.
Tout est toujours en transformation. Il faut sans cesse s’adapter. L’image qu’on a de soi doit aussi évoluer d’une étape à l’autre. Etre aliéné, c’est être coupé de soi : ne pas avoir de soi une image au point. On a souvent de soi une image floue. À chaque étape, il faut donc se redéfinir. Il faut même profiter de ce qu’on franchit une étape pour se redéfinir.
La personnalité est le véhicule provisoire de la conscience. Le véhicule même se transforme d’une étape à l'autre. Le voyage, l’expérience de l’incarnation n’est pas dans ce qui arrive de l’extérieur mais dans l’évolution même du véhicule. On peut cheminer sans comprendre le sens de la vie. Ou cheminer en en comprenant le sens. Pour comprendre le sens, un certain recul est nécessaire. Si on vit le nez sur des problèmes au jour le jour, il n’est pas possible de saisir l’ensemble de la démarche. Il faut le recul.
Mais nous sommes incapables de considérer la vie dans son ensemble; l’expérience est trop vaste. Notre capacité d’attention est limitée. Au moment où on considère un aspect de l’ensemble, un autre aspect nous échappe. Il faudrait pouvoir examiner une étape à la fois sans perdre l’ensemble de vue. Lorsque l’on considère la vie à travers la grille des étapes qui la composent, le sens de la vie nous apparaît plus clairement. On en découvre alors la structure: le rapport des étapes entre elles et de chaque étape avec l’ensemble, nous apparaît plus clairement. C'est dans cette interaction des étapes entre elles que le sens de la vie se révèle le plus.
 
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LES  7  SACREMENTS  DE L’ ÉGLISE  CATHOLIQUE
 
        Partez à la découverte des 7 sacrements que nous propose l’Église pour les différentes étapes de la vie ... Une pluie de grâces que nous offre Dieu, Notre Père ... Alors n’ayons pas peur de fréquenter les sacrements : source de paix, d’amour et de joie pour la vie éternelle ! 
        Pour chaque sacrement je vous propose une présentation, le déroulement d’une de mes célébrations avec chants, textes bibliques, prières, déroulement détaillé, images ...
 
1 - Le Baptème - Sacrement de l’initiation : Jésus dit à ses disciples : Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre : Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Matthieu 28, 18-19.
Signe : L’eau.
Phrase du célébrant : “Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.”
Référence biblique : “Allez donc, de toutes les nations, faites des disciples, les baptisant.”
2 - L'Eucharistie - Sacrement de l’initiation : Saint Paul témoigne : “Voici ce que moi j’ai reçu du Seigneur, et ce que je vous ai transmis” : le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et après avoir rendu grâce, il le rompit et dit : Ceci est mon corps, qui est pour vous, faites cela en mémoire de moi.” 1 Co 11, 23-24.
Signe : Le pain et le vin.
Phrase du célébrant : “Ceci est mon corps, prenez et mangez. Ceci est mon sang, prenez et buvez.”
Référence biblique : “Prenez et mangez. Prenez et buvez.” (Marc 14, 22-24).
 3 - La Confirmation - Sacrement de l’initiation : Apprenant que la Samarie avait accueilli la Parole de Dieu, les apôtres qui étaient à Jérusalem y envoyèrent Pierre et Jean. Une fois arrivés, ces derniers prièrent pour les samaritains afin qu’ils reçoivent l’Esprit Saint.  Actes 8, 14-15.
Signe : L’imposition des mains. Le saint chrême.
Phrase du célébrant : “N... sois marqué par l’Esprit Saint, le don de Dieu.”
Référence biblique : “Recevez l’Esprit Saint.” (Jean 20,22) “Tous furent alors remplis de l’Esprit Saint.” (Actes 2,4)
4 - Le mariage - Sacrement de l’engagement : Jésus dit : “Au commencement du monde Dieu les fit homme et femme c’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’une seule chair.” Marc 10, 6-8.
Signe : Echange des consentements. Les époux échangent des alliances.
Phrase du célébrant : “Je te reçois comme épouse et je me donne à toi.”
Référence biblique : “Ce que Dieu a uni, l’homme ne doit point le séparer.” (Marc 10, 9).
5 - L’Ordre - Sacrement de l’engagement : Voyant les foules, Jésus fut pris de pitié pour elles, parce qu’elles étaient harassées et prostrées comme des brebis qui n’ont pas de berger. Alors il dit à ses disciples : La moisson est abondante mais les ouvriers peu nombreux, priez le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson. Mt 9, 36-38.
Signe : L'imposition des mains. Le saint chrême.
Phrase du célébrant : “Nous t'en prions, Père tout-puissant, donne à ton serviteur que voici d’entrer dans l’ordre des évêques, des prêtres, des diacres.”
Référence biblique : “De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie.” (Jean 20, 20).
6 - La Reconciliation - Sacrement de l’amour : Pierre s’approcha de Jésus et lui demanda : “Seigneur quand mon frère commettra une faute à mon égard combien de fois lui pardonnerai-je ? Jusqu’à 7 fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas jusqu’à 7 fois, mais jusqu’à 70 fois 7 fois ! ” Mat 18, 21-22.
Signe : L'imposition des mains.
Phrase du célébrant : “Je te pardonne tous tes péchés au nom du Père.”
Référence biblique : “…ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis.” (Jean 20,23).
7 - L’onction des malades - Sacrement de la force : Un de vous est-il malade ? Qu’il fasse appeler les anciens de l’Église et qu’ils prient après avoir fait sur lui une onction d’huile au nom du Seigneur.
Signe : L’huile et l’imposition des mains.
Phrase du célébrant : “N... par cette onction sainte que le Seigneur, en sa grande bonté, vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint.”
Référence biblique : “… qu’ils prient sur lui après l’avoir oint d’huile au nom du Seigneur.”
(Jacques 5, 14)
 
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LES  7  SACREMENTS  DE L’ ÉGLISE  ORTHODOXE
 
Les Églises orthodoxes connaissent sept sacrements (bien que la notion des 7 sacrements est très tardive), plus exactement nommés mystères.
 
1 - Le baptême :
2 - La Chrismation : (qui succède immédiatement au baptême),
3 - L’eucharistie : (donnée la première fois également directement après le baptême), les Saints Dons
4 - La confession : (réconciliation ou pardon),
5 - L’ordination :
6 - Le mariage :
7 - Le sacrement des malades - onction des malades : (n’est pas réservé qu'aux mourants)
 
Les 7 sacrements sont identiques à ceux de l’Église catholique, mais dans l’Église Orthodoxe, ils ne sont pas fixés dogmatiquement comme cela se produisit dans l’Église catholique à l’époque de la Réforme (XVIe siècle). Ainsi, la délimitation n’est pas claire entre sacrement et sacramentalité (p. ex. un enterrement ou un ondoiement).
Contrairement à la plupart des religions du monde, les Églises orthodoxes ne célèbrent aucun rituel de transition de l’enfant à l’adulte ; mais beaucoup de traditions locales sont pratiquées par des jeunes et ressortent de ce type de célébration : en Grèce, par exemple, plonger dans un fleuve et en rapporter une croix le jour de la célébration du Baptême du Christ, le 6 janvier.
L’Orthodoxie se présente comme la continuité de l’Église chrétienne primitive qui a subi plusieurs schismes, notamment en 431, 451 et 1054 dont les responsabilités demeurent sujets de dissensions entre les historiens.
 
 
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LES  7  VERTUS
 
Les trois premières sont théologales (ayant Dieu pour objet), les quatre dernières sont cardinales (sur lesquelles repose la vie morale, le latin Cardo signifiant “gond”). On peut classer les péchés comme manquements à ces sept vertus :
 
1 - Foi : infidélité, hérésie, apostasie, blasphème, aveuglement spirituel, superstition, idolâtrie, prétention de tenter Dieu, parjure, sacrilège, simonie.
2 - Espérance : désespoir et présomption.
3 - Charité : haine, lassitude (opposée à la joie de la charité), envie, discorde, dispute, guerre, rixe, sédition, scandale, désobéissance, ingratitude, mensonge, simulation, hypocrisie, jactance, ironie, adulation, contestation.
4 - Justice : injustice, homicide, vol, accusation injuste spécialement devant les tribunaux, outrage, injure, dénigrement, allusion perfide, fraude, usure.
5 - Prudence : imprudence, négligence.
6 - Force : crainte, intimidation, audace excessive, présomption, ambition, gloriole, pusillanimité, médiocrité.
7 - Tempérance : avarice, prodigalité, gourmandise, ivresse, luxure, manque de maîtrise de soi, irascibilité, cruauté.
 
 
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LES  7  ŒUVRES  DE  MISÉRICORDE
 
 D’après l’enseignement de Jésus selon St Matthieu (25,31-46) :
 
1 - Nourrir les affamés     2 - Désaltérer les assoiffés     3 - Vêtir ceux qui sont nus
4 - Ensevelir les morts      5 - Accueillir les étrangers    6 - Visiter les malades
7 - Visiter les prisonniers
 
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LES  7  CHAKRAS
 
Le mot sanskrit “chakra” signifie roue. Ces centres d’énergie ou chakras correspondent à nos principaux plexus nerveux dans le corps.
 
1 - Sahasrara Chakra : coronal Sahasrara. Au milieu de la calotte crânienne. Il permet de percevoir immédiatement les choses essentielles.
2 - Ajna Chakra : frontal Ajna. Entre les deux sourcils. Il permet de sentir son énergie intérieure et donne la clairvoyance.
3 - Vishuddha Chakra : laryngé Vishuddha. Au bas de la gorge. Il permet une excellente communication.
4 - Anahata Chakra : cardiaque Anahata. Au centre du plexus solaire. Il permet de bien se sentir dans sa peau.
5 - Manipura Chakra : solaire Manipura. Au bas du plexus solaire. Il autorise les énergies terrestres et cosmiques à irradier le corps.
6 - Swadhistana Chakra : sacré Swadhistana. Au-dessous du nombril, il fournit la puissance d’agir.
7 - Muladhara Chakra : coccygien Muladhara, au-dessus des organes sexuels, du coccyx et de l’anus. Il fourni l’énergie vitale.
 
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LES  7  DÉMONS  DE  BABYLONE
 
1 - ALU: démon des maladies anémiques, dont la contagion est similaire aux vampires
2 - ARDAT-LILI : démone sexuelle femelle, "servante, ou plutôt concubine, de Lilu". Étymologiquement, "Ardatu" désigne une jeune fille en âge de se marier. Ardat-lilî, louve à la queue de scorpion, était une ravisseuse d’enfant, une vierge inassouvie qui assaillait “les hommes mariés et leurs foyers”.  
3 - ATTUKU est un démon auquel les magiciens babyloniens attribuaient le pouvoir de déchaîner les tempêtes et les ouragans.
4 - HUMTABA : « saisit l’homme par les cheveux ». Serviteur d’Allat, la déesse des Enfers, il est le démon de la peste.
5 - MUTU : démon de la mort et de la maladie, est combattu avec des simulacres de cire et de faïence.
6 - NAMTAR : divinité sumérienne du Destin, fidèle ministre de la déesse des Enfers, Ereshkigal.
7 - PAZUZU : démon de la mythologie Sumérienne et Akkadienne. Il est souvent dépeint avec le corps d’un homme mais avec la tête d’un lion ou d'un chien, avec des griffes à la place des pieds, deux paires d’ailes, une queue de scorpion et un pénis en forme de serpent. Il est aussi représenté avec la main droite levée, et la main gauche baissée, ce qui symbolise la vie et la mort, la création et la destruction. Doté d’une double paire d’ailes (qu’on trouvera aussi plus tard sur certaines représentations de chérubins ou d’anges). Il est le démon du vent du sud-ouest, connu pour apporter sécheresse et famine en saison sèche, et des inondations lors de la saison humide
 
 
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LES  7  PORTES  DE  L' ENFER
 
1 - La Géhenne (les Feux, les Flammes…). Cette porte est celle des idolâtres.
2 - Lèzzâ (feu de l’enfer, feu brûlant qui déchirent la peau). C’est la porte de ceux qui on abandonné la loi de Dieu.
3 - Hutamè (qui met en pièces). C’est la porte de ceux qui ont amassé des richesses malhonnêtement.
4 - Sè`ir (flamme, brasier : qui brûle sans détruire le corps, “insulte, vulgarité, mot dur, parole blessante, TV, Radio, musique… ”). Y entrent ceux qui ont joué à des jeux de hasard ou qui ont proféré des blasphèmes.
5 - Sèqar (feu ardent : qui brûle les crânes ou l’intérieur (les neurones) “tête brûlée, drogues, alcool… ”). Ceux qui n’ont pas fait leurs prières quotidiennes entrent ici.
6 - Jèhîm (enfer, le feu de l’enfer, fournaise, qui consume les corps “Armes lourdes, incinération”). C’est la porte de ceux qui ont refusé de croire dans les prophètes que Ala (le Très-Haut) leur a envoyé.
7 - Hêwîiyè (abîme,vallée profonde “maladie, la vieillesse, la très grande pauvreté… ”). C’est le séjour des fraudeurs.
 
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LES  7  UNITÉS DE  BASE  DU  SYSTÈME INTERNATIONAL
 
En 1960, la XIe Conférence générale des Poids et Mesures a défini les 7 unités de base du Système international d’unités (SI), fondé sur le système métrique (décimal) :
 
1 - le mètre (m) : mesure la longueur.
2 - le kilogramme (kg) : mesure la masse.
3 - la seconde (s) : mesure le temps.
4 - l’ampère (A) : mesure l’intensité du courant électrique.
5 - le kelvin (K) : mesure la température thermodynamique. (Les pays métriques utilisent le plus souvent le degré celsius [°C], de quantité égale [un degré celsius = un degré kelvin] mais dont l’échelle fixe le degré zéro à la température du gel de l’eau [0 K = -273,15 °C] [0 °C = 273,15 K] [100 °C = 373,15 K]) 
6 - le mole (mol) : (abréviation de molécule/gramme) mesure la quantité de matière.
7 - le candela (cd) : mesure l’intensité lumineuse.
Les seuls pays qui, à ce jour, n’ont toujours pas adopté le système métrique sont le Bangladesh et le Libéria. Celles des nations du monde qui ne l’utilisent pas encore exclusivement l’ont toutefois officiellement adopté et assurent actuellement la transition légale et technique. 
 
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LES  7  CATASTROPHES
 
1 - pli        2 - tranchant       3 - porte-queue       4 - papillon       5 - umbilic hyperbolique
6 - umbilic elliptique           7 - umbilic parabolique
 
La Théorie des Catastrophes (TC) de René THOM est un traitement mathématique d’action continue produisant un résultat discontinu. Cette théorie est liée à la Théorie du chaos. Bien qu'elle ait été développée tout à fait en parallèle, on la voit maintenant comme faisant partie intégrante de la Théorie du chaos.
Bien qu'ayant un caractère hautement mathématique, l'essence de la TC est : pour comprendre le changement et la discontinuité des systèmes. Si un système est “au repos” (ne subissant cf pas le changement), alors il tendra à occuper un état stable préféré, ou au moins une gamme définie d’états. Si un Système est soumis aux forces de changement, alors le Système essayera au commencement de réagir pour absorber les contraintes. En outre, s’il en a la chance, le système essayera de regagner son état stable préféré. Si, cependant, les forces de changement sont si fortes qu’elles ne puissent pas être absorbées, alors un changement catastrophique peut se produire et un nouvel état stable ou gamme d’états préférés est rétabli. Il n’y a aucune manière de retourner à son “vieil” état stable. (Je n’y ai rien compris ! JCT)
René THOM (Montbéliard 2 septembre 1923-Bures-sur-Yvette 25 octobre 2002), mathématicien français, fondateur de la théorie des catastrophes. Il reçut la médaille Fields en 1958.
René Thom suivit ses études tout d'abord au Lycée Saint-Louis puis à l’École normale supérieure, puis enseigna à Grenoble et Strasbourg. Il devient professeur permanent à l’IHES en 1963.
Bien qu’il soit connu pour son développement de la théorie des catastrophes en 1968, il reçut la médaille Fields en 1958 pour des travaux antérieurs sur la topologie différentielle, en particulier la théorie du cobordisme. Il est également l’auteur du livre Stabilité structurelle et morphogenèse, destiné à présenter la théorie des catastrophes en termes simples (avec quelques formules tout de même) au grand public.
 
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LES  7  PLAIES  D’ ÉGYPTE
 
1 - Déluge       2 - Peste         3 - Crash          4 - Tremblement de terre       5 - Ruine       
6 - Chaos        7 - Faillite du chois libéral              “Cela reste à développer”.
 
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LES  7  SCEAUX  DE  L' APOCALYPSE
 
La première scène de l’Apocalypse est la remise à l’Agneau des destinées du monde. Saint Jean décrit 24 vieillards couronnés (certains avec des instruments de musique), tous en robe blanche. Ils sont accompagnés des quatre Vivants, c’est-à-dire des quatre évangélistes sous leur forme symbolique (tétramorphe). Un livre scellé par sept sceaux, que personne n’a été digne d'ouvrir, est présenté et est remis à l’Agneau égorgé.
 
L’Agneau brise ensuite les sept sceaux :
 
1 - le 1er sceau libère la justice divine (un homme couronné sur un cheval blanc).
2, 3 et 4 - Les trois sceaux suivants libèrent l’épée, la faim et la peste.
5 - Le 5e sceau fait surgir les martyrs qui veulent être accueillis au Ciel.
6 - Le 6e sceau libère la Colère de Dieu.
7 - Avant que le 7e sceau soit brisé, on assiste au marquage des serviteurs de Dieu (les 12 tribus d’Israël sont marquées d’un signe pour être épargnées) et au triomphe des élus du Ciel (les martyrs). Lorsque le septième sceau est rompu, sept anges apparaissent avec sept trompettes.
 
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LES  7   FLÉAUX  DE  L' APOCALYPSE
 
L’Agneau apparaît à la fin de l’Apocalypse avec ses compagnons pour annoncer le Jugement dernier. Des anges moissonnent la terre avec des faux. Puis surviennent sept anges avec 7 fléaux contenus dans 7 coupes. Les 7 fléaux se répandent les uns après les autres : d’abord un ulcère “mauvais et pernicieux” ; le sang des martyrs qui tue tout être vivant dans la mer ; le sang des martyrs qui tue tout être vivant dans les fleuves ; la chaleur du feu qui étouffe la terre et les hommes ; la destruction du trône de la Bête ; le tarissement de l’Euphrate ; le rassemblement de la Bête, du faux prophète et du dragon dans un lieu appelé Harmagedôn ; et enfin le déchaînement total des éléments et de la Colère de Dieu
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LES  7  TROMPETTES  DE  L’ APOCALYPSE
 
Les 7 trompettes trouvent leur origine dans la chute de Jéricho (Jos 6). Dans Jos 6, 8, il y a 7 prêtres avec 7 trompettes qui entourent la cité de Jéricho, suivis par l’arche de l’alliance. Ils marchent autour de la cité pendant six jours et, le 7e jour, ils marchent 7 fois autour, pendant que les prêtres font sonner les trompettes.
Ils portent l'arche de l'alliance, ce qui signifie la présence de Dieu. Au 7e tour, les prêtres sonnent leurs trompettes, le peuple crie et les murs tombent. Tous sont tués sauf Rahab, prostituée à Jéricho, c'est elle qui accueille les deux espions envoyés par Josué, les cache, et a la vie sauve lors de la destruction de la ville. (Rahab est une héroïne biblique du Livre de Josué. Josué 6,22-23, 25) Le fait de marcher autour de la cité 7 fois en sonnant les trompettes est un avertissement, et le coup final annonce la destruction totale.
 
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LES  7  PILIERS  DE  LA  SAGESSE
 
Bien avant d’être immortalisé par Hollywood grâce au film de David Lean Lawrence d’Arabie, avec Peter O’Toole dans le rôle titre, T.E. Lawrence (1888-1935) était déjà une légende de son vivant.
Dans “Les Sept Piliers de la sagesse”, livre paru en 1926, Lawrence offre sa version de son rôle dans la révolte arabe contre les Turcs durant la Première Guerre mondiale et dans l’avènement du nationalisme arabe contemporain.
Archéologue passionné par les civilisations du Proche-Orient et agent de la puissance britannique, il conçut le projet d'un empire arabe sous influence de l’Angleterre. Bédouin parmi les Bédouins, il participa à la prise d’Aqaba et entra en vainqueur à Damas. Mais son rêve d’unité arabe ne fut pas suivi par son propre camp lors de la conférence de la paix.
Autobiographie, récit de guerre et d’aventure, épopée dans le désert, texte littéraire, Les “Sept Piliers de la sagesse” sont tout cela à la fois. Personnage hors du commun, Lawrence a donné lieu à de nombreuses biographies. La première, de Robert Graves, Lawrence et les Arabes fut écrite de son vivant. Homme d’aventures, Lawrence a ouvert la route à d’autres explorateurs britanniques dans le désert des bédouins d’Arabie, comme Wilfred Thesiger (Le Désert des déserts).
 
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LE  CHANDELIER  À  7  BRANCHES
 
Il aussi appelé Ménorah.
Le chandelier du lieu saint dans le temple a plusieurs aspects symboliques. Un symbole assez connu est celui des 7 branches qui représentent les 7 esprits de Dieu.
 
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LE  JEU  DES  7  FAMILLES
 
Jeu de cartes comprenant 7 familles formées de 6 cartes : grand’père et grand’mère, père et mère, fils et fille. Le jeun consiste à former des familles en demandant une carte à ses adversaires.
 
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LES  7  CORDES  DE  LA  LYRE 
 
Albertus est un savant qui a consacré sa vie à la philosophie, en se détournant des arts et de l’amour. Il a interdit à ses élèves la pratique de la poésie et surtout celle de la musique. Il est le tuteur d’Hélène, fille d’un de ses amis qui est décédé. La jeune fille est devenue folle en touchant une lyre à sept cordes, unique héritage de son père. Albertus lui a défendu de toucher une nouvelle fois à la lyre.
Depuis, Hélène semble avoir recouvré la raison, mais son esprit est éteint. Il est imperméable à tout ce qu’on lui enseigne. Hélène adore contempler les fleurs mais elle s’en abstient, car elle craint qu’Albertus ne veuille lui apprendre les noms barbares de la botanique. Méphistophélès rôde.
Il veut prendre l’âme d’Albertus. Il projette de souiller Hélène et d’en faire sa chose. Avant tout, il sait qu’il doit détruire la lyre qui protège la jeune fille et son tuteur. Mais il lui est impossible de toucher l’instrument lui-même. Il apparaît donc devant Hélène sous les traits d’un usurier et la persuade de vendre la lyre pour sauver Albertus de la misère. Trois acheteurs se présentent : un poète, un peintre et un critique.
Méphitophélès espère qu’ils vont se disputer le superbe objet d’art qu’est la lyre et finir par la détruire. Mais, en touchant l’instrument tour à tour, les trois hommes deviennent fous. Hélène s’en empare et semble transfigurée. Elle entre en contact avec l’esprit qui est emprisonné dans la lyre. Il doit s’allier avec l’âme d’une vierge pour pouvoir échapper à sa prison.
Mais auparavant, il doit subir les souffrances terrestres. Albertus est jaloux de voir qu’Hélène a été illuminée par la lyre, alors que son propre enseignement n’a eu aucun effet sur elle. C’est pour cette raison que Méphistophélès, toujours sous l’apparence de l’usurier, le convint facilement de casser une à une les cordes de la lyre, pour que l’on puisse accéder progressivement à chacun des enseignements qu’elles contiennent.
La connaissance est livrée peu à peu à Hélène. Après avoir embrassé les splendeurs de la création, la jeune fille prend conscience de toutes les horreurs qui ont été commises par l’humanité. Elle éprouve une vive répulsion pour l’existence terrestre et aspire à l’éternité. La dernière corde renferme l’amour humain. Albertus et l’esprit de la lyre se disputent l’amour d’Hélène. La jeune fille brise la dernière corde. Elle meurt. Elle accède à l'éternité avec l’esprit de la lyre libéré. Méphistophélès croit pouvoir enfin prendre l’âme d’Albertus, mais les spectres d’Hélène et de l’esprit de la lyre s’interposent et le Diable s’enfuit. Le philosophe retourne auprès de ses élèves, l’esprit serein.
 
Résumé de l'œuvre de Georges Sand : Les Sept Cordes de la Lyre
 
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LE RESTE
 
Et il reste tant de symboles :

La Bête à 7 Têtes de l’Apocalypse
La rose aux 7 pétales
La Vierge aux 7 douleurs
Le K7
Les 7 Années d’une année sabbatique
Les 7 ayat de la sourate al-Fatiha.
Les 7 Boules de Cristal de Tintin
Les 7 Catastrophes
Les 7 Chevaux de Surya
Les 7 cieux, le septième ciel...
Les 7 Continents
Les 7 Démons
Les 7 Disciplines des arts libéraux
Les 7 dons du Saint-Esprit
Les 7 dons du Saint-Esprit.
Les 7 Douleurs de la Vierge
Les 7 Femmes de Barbe Bleue
Les 7 Femmes de Barberousse
Les 7 Fléaux de Dieu
Les 7 Jours dans un quartier lunaire
Les 7 Lieues dans une enjambée
Les 7 Modèles de catastrophes
Les 7 Œuvres de Miséricorde
Les 7 Principes de didactique
Les 7 principes du Bushidō.
Les 7 Sages
Les 7 Sages de la Grèce
Les 7 Systèmes cristallins
Les 7 têtes de la bête de l’Apocalypse et de l’hydre.
Les 7 Tours de la Pierre Sacrée
Les 7 dons du Saint Esprit
Etc……..
 
 
Vous êtes les premiers à qui j’adresse ce document.                                          Jean-Claude
 
 
 
 
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