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Mise à jour : 28 Septembre 2005

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ARCHIVES DES ASTRONEWS

Sommaire de ce numéro :  

 

qG Lemaître et ses contributions à la cosmologie : CR de la conférence SAF de B Lelard. (28/09/2005)

qBack to the moon : retour sur la Lune en ….2018 (peut être!) (28/09/2005)

qUn cataclysme dans le système solaire : il y a 3,9 milliards d'années. (28/09/2005)

qCassini-Titan : Des vues au radar. (28/09/2005)

qCassini Saturne : L'atmosphère en rotation. (28/09/2005)

qLivre conseillé : Le Luminet nouveau est arrivé!! (28/09/2005)

qLes magazines conseillés : Astronomy Oct 2005 notamment. (28/09/2005)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BACK TO THE MOON : RETOUR SUR LA LUNE EN 2018 (PEUT ÊTRE!) (28/09/2005)

(photos et illustrations : NASA)

 

Ça y est la NASA, par l'intermédiaire de son administrateur Michael Griffin,  vient d'accoucher de son nouveau programme de (re) conquête de la Lune.

 

Vers 2018 4 astronautes américains devraient (re) poser le pied sur la Lune et y rester un peu plus longtemps que la dernière fois dans les années 1960-70.

 

Quand on regarde avec attention le projet, cela ressemble beaucoup à Apollo, en fait comme le disait Michael Griffin, c'est un Apollo sous stéroïdes ou super Apollo.

 

Examinons le projet en détail.

 

Ce projet s'appelle en anglais "Exploration Systems Architecture"

 

Comme vous le savez tous, nous (les Terriens) ne sommes plus capables d'aller sur la Lune avec des Hommes, en effet, Von Braun est mort, la fusée Saturn V n'existe plus et tous les ingénieurs de cette époque glorieuse sont soit morts soit à la retraite.

 

Mais comme l'idée était bonne, on la remet au goût du jour en l'adaptant avec ce que l'on a appris de la navette; on va séparer la charge utile non humaine des hommes.

C'est la GRANDE DIFFÉRENCE AVEC APOLLO.

 

Donc on envoie d'abord une fusée contenant la module lunaire (Lander) en orbite terrestre , ensuite on envoie les hommes (quatre, tout augmente!) à bord d'une capsule Apollo améliorée (appelée CEV Crew Exploration Vehicle) au sommet d'une nouvelle fusée. Un module de service est attaché à cette capsule.

Cette capsule devrait aussi à terme servir d'engin de liaison avec l'ISS.

 

Ces "nouveaux" lanceurs seront dérivés des lanceurs actuels de la navette comme nous allons voir; ça c'est bien, au moins on amortit les dépenses effectuées précédemment.

 

Voir schéma suivant.

 

La super capsule s'accouple au module lunaire en orbite terrestre (on ne change pas une formule gagnante mis au point à l'époque Apollo) et hop, on part pour un voyage de 3 jours vers la Lune.

 

En orbite lunaire, le module se pose avec ses quatre hommes (nouveauté, personne ne sera frustré, personne ne tourne en rond autour de la Lune) et reste une petite semaine (là aussi inflation, un peu plus que la dernière aventure Apollo 17).

Pour être honnête il faut aussi dire que nos amis américains envisagent de rester beaucoup plus longtemps dans une station lunaire permanente vers le Pôle Sud, mais à une date indéterminée (on nous avait dit cela aussi en 1972!!).

Le retour s'effectue classiquement avec l'étage ascensionnel de la Lune puis séparation de la capsule pour un atterrissage (nouveauté : plus de mal de mer au retour pour les astronautes) sur Terre à l'aide d'air bag.

 

Longue vie à ce projet!!

 

Étudions en les phases principales en images.

 

 

La mission commence par la mise en orbite terrestre du module lunaire (et de toutes futures charges utiles envoyées maintenant avec la navette) à l'aide d'une fusée de nouvelle génération utilisant deux super boosters de la navette actuelle couplés à un premier étage H2/O2 dérivé aussi du réservoir principal de la navette (Lavoisier l'avait déjà dit : rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme!). s moteurs fusées de la navette doivent aussi être récupérés pour le deuxième étage.

Une fois la première étape correctement effectuée, on met en orbite le nouveau véhicule, le CEV qui pourra emporter jusqu'à 6 astronautes ou 25t de fret (module de service) si utilisé comme cargo vers l'ISS.

La capsule sera plus grande qu'Apollo : 5.5m de diamètre contre un peu moins de 4m.

Elle sera lancée à partir d'une fusée constituée d'un booster navette et d'un deuxième étage à base de moteur fusée de la navette aussi.

Elle aurait la capacité de rester 6 mois en orbite lunaire.

Très classiquement, rendez-vous en orbite terrestre du CEV avec le module lunaire.

Les 4 astronautes vont ensuite partir pour la Lune pour un voyage de 3 jours en moyenne.

 

 

Arrivée en orbite lunaire, l'équipage au complet passé dans la module lunaire et alunit.

 

On remarquera que le CEV est équipé de panneaux solaires, une des rares nouveautés.

 

Le séjour sur la Lune doit durer au début plus que ceux d'Apollo : au moins 7 jours et à terme peut être 6 mois.

 

Cette fois-ci on ne visera pas que les régions équatoriales de la Lune, mais aussi celles un peu excentrées.

Deux vols vers la Lune par an sont prévus.

 

Leur mission remplie, une partie du module lunaire est mis à feu pour rendez-vous avec le CEV (vide d'équipage) et retour sur Terre.

 

L'atterrissage doit s'effectuer à l'aide de parachutes, mais là aussi nouveauté, avec des air bags qui vont permettre de se poser sur la terre ferme dans l'Ouest des États Unis.

La capsule aura quand même en cas d'urgence de se poser sur l'eau.

 

 

 

Bon comme disent les anglo-saxons : Wait and See !!!

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

Si vous avez le haut débit vous pouvez télécharger le FILM DE LA FUTURE MISSION, en haute qualité Quicktime, il fait 25MB et dure près de 10 minutes, mais cela vaut le coup rien que pour voir ce que l'on peut faire maintenant avec les logiciels graphiques (ce que nos amis américains appellent le CGI : Computer Graphics Imaging).

 

Site de la NASA des nouvelles explorations.

 

Site plus particulier de la nouvelle "vision" de l'exploration lunaire (avec toutes les photos en HR) , tout sur les futures missions lunaires. À voir.

 

Les rubriques régulières d'astronomie américaines en parlent aussi , notamment :

Universetoday

Space.com

Spaceref étant le plus complet.

 

 

 

 

 

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UN CATACLYSME DANS LE SYSTÈME SOLAIRE INTERNE : IL Y A 3,9 MILLIARDS D'ANNÉES (28/09/2005)

(dessin tiré d'une présentation de A Morbidelli OCA)

 

L'Université de l'Arizona (UA) publie ces jours ci (les professeur Robert Strom , Renu Malhorta et Kring) une information sur le fait qu'il y a eu un bombardement météoritique tardif massif dans le système solaire (Late Heavy Bombardment ou LHB) il y a à peu près 3,9 milliards d'années, alors qu'on pensait que les bombardements météoriques n'avaient eu lieu seulement beaucoup plus tôt, en fait au moment de la naissance, vers 4,5 milliards d'années.

 

Ceci a eu des conséquences fondamentales sur la position des planètes.

 

Comment s'est on d'abord aperçu de ce bombardement tardif : la Lune nous a beaucoup aidé; en effet on a des échantillons lunaires ramenés par les missions Apollo (400kg en tout) et on a pu les dater.

 

Ils sont tous aux alentours de 3,9 milliards d'années (ou Ga = Giga années), cela semble indiquer qu'il s'est passé un événement cataclysmique à cette époque là qui a effacé toutes traces des anciennes roches (la Lune date comme la Terre de 4,5 Ga).

Qu'est ce qui a pu causer une telle débauche de bombardement météoritique au moins dans cette partie du système solaire interne?

 

Et bien c'est une possible solution qui vient donc d'être publiée par des astronomes de l'Université d'Arizona et des Japonais dans le revue Science.

 

Ils ont étudié la cratérisation du système solaire interne (Mercure, Vénus, Terre, Lune, Mars) et sont arrivés à la conclusion que ce bombardement (LHB) était dû aux astéroïdes projetés vers l'intérieur du système solaire suite à la MIGRATION DES PLANÈTES GÉANTES à cette même époque.

 

Cette théorie confirme en fait une théorie connue depuis quelques temps grâce à Alessandro Morbidelli de l'OCA et ses collègues américains qui ont publié aussi un article à ce sujet dans la célèbre revue Nature en 2005.

 

L'idée est la suivante (voir dessin plus bas) : les planètes géantes à l'origine étaient à des places différentes de celles d'aujourd'hui.

 

 

Leurs orbites étaient plus resserrées, par exemple Neptune était deux fois plus près du Soleil que maintenant.

 

Il y avait bien entendu aussi une myriade d'astéroïdes restes de formations avortées qui traînaient dans la même zone et des interactions gravitationnelles étaient inévitables.

Il en résulta au cours du temps (loi action-réaction , ou conservation du moment cinétique) une évolution des orbites des planètes.

En effet si une planète chasse par effet gravitationnel, un astéroïde vers le Soleil par exemple, en réaction elle se déplace (d'une distance infime bien sûr) dans la direction opposée, vers l'extérieur du système solaire.

(même principe utilisé pour les coups de fronde gravitationnels pour les sondes spatiales).

 

Les chercheurs basés sur leur modèle pensent que Jupiter s'est approchée du Soleil alors que les trois autres géantes s'en sont éloignées.

 

 

 

 

Mais il arriva un moment, après approximativement 700 millions d'années, où dans ce ballet cosmique, Jupiter et Saturne entrèrent en résonance 1:2, Jupiter faisait deux fois le tour du soleil quand Saturne n'en faisait qu'un.

 

Il semble (basé sur des modèles mathématiques) que cette résonance perturba considérablement le système solaire et rendit les orbites de Jupiter et de Saturne excentriques, ce qui à son tour perturba Uranus et Neptune qui se trouvèrent chassées vers leurs orbites actuelles et repoussèrent à leur tour les astéroïdes présents soit vers la position actuelle qui forme la ceinture de Kuiper soit vers l'intérieur du système solaire.

 

Ce grand tohu-bohu aurait favorisé ce bombardement astéroidal du système solaire interne.

Cet épisode n'aurait duré qu'une centaine de millions d'années.

 

 

L'article publié cette semaine (Science 16 sept 2005) montre que les bombardements étaient surtout dus aux astéroïdes et non aux comètes. Contrairement à ce que l'on croyait.

Les chercheurs ont étudié la répartition des cratères et leur taille dans le système solaire; ils ont ainsi évalué le nombre de cratères supérieur à 10km sur Terre formés à la suite de ce LHB : plus de 20.000!

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

Publication dans "Science" du 16 Sept 2005 de l'article "The Origin of Planetary Impactors in the Inner Solar System" par notamment le (la) professeur Renu Malhorta et qui se trouve sur son site web, qu'elle a eu la gentillesse de me faire parvenir. L'article étant en principe payant, il n'est consultable gratuitement qu'en passant par la page des références de Renu et en sélectionnant sur cette page vers la fin :

 

Selected Publications and Preprints   puis l'avant dernière référence  (en cliquant sur full text)

 

Strom, R.G., Malhotra, R., Ito, T., Yoshida, F., Kring, D.A., The origin of planetary impactors in the inner solar system, Science 309, 1847-1850 (2005). Abstract Full Text

Là vous aurez gratuitement l'article, merci Renu.

 

Article d'astrobiology magazine sur la récente parution. (anglais).

 

Article original paru dans Nature en 2005 par A Morbidelli et ses collègues (anglais) et son résumé chez Astrobiology Magazine (anglais) et au CNRS (anglais).

 

Article du PSRD (Planetary Science Research Discoveries) d'Hawaï sur la cratérisation de la Lune et le lien avec  le LHB.

 

"Could the lunar LHB have been triggered by Uranus and Neptune" de H Levison et al article de 71 pages en pdf et en anglais sur ce bombardement tardif déclenché par la migration des planètes géantes. Très bon mais très technique.

 

Présentation Power Point par A Morbidelli (anglais) sur la migration des planètes géantes et le LHB.

 

Présentation Power Point par A Morbidelli (anglais) de façon plus générale sur les comètes et leurs dynamiques dans ce LHB.

 

 

Article sur ce bombardement par le SwRI de Boulder Colorado (anglais).

 

Liste de tous les articles de Hal Levison du SwRI concernant le sujet LHB. (la plupart seront en format pdf).

 

Dont les plus intéressants :

 

"Planetary migration in a planetesimal disk_ why did Neptune stop at 30 AU"  57 pages pdf anglais

 

"Forming the Kuiper Belt by the Outward Transport of Objects During Neptune's Migration" 19 pages pdf anglais. (participation de A Morbidelli).

 

 

 

 

 

 

 

 

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CASSINI-TITAN : DES VUES AU RADAR. (28/09/2005)

 

Au début de ce mois de Septembre 2005 Cassini s'est encore approché très près de Titan et nous fournit ainsi des photos du sol prises au radar à synthèse d'ouverture (Synthetic Aperture Radar).

 

Les "photos" radar sont en fait des photos résultant de la réflexion d'ondes type "micro-ondes" sur le sol de Titan (comme un écho) qui donne une indication de la nature du sol plus ou moins granuleux. Quand on reçoit une très forte réflexion on a un "blanc", une faible réflexion donne un "noir". Ceci n'est qu'en première approximation, en effet la composition du terrain joue aussi un rôle, ainsi que la pente et le vent. Par contre ce qui est certain, un espace parfaitement lisse comme un lac reflète les ondes complètement dans la direction opposée et donc donne une image reçue noire.

 

Ce sont ces différents facteurs qui doivent être intégrés dans des justes proportions qui permettent d'interpréter les images radar.

Enfin, quand on prend des images radar on ne peut pas à titre de comparaison prendre une photo optique de la même région, en effet les instruments ne sont pas situés du même côté de la sonde.

 

Ces dernières photos ont confirmé les données de Huygens, il y a bien des réseaux fluviaux sur Titan.

(voir les photos originales pour avoir plus de détails en cliquant dessus).

 

 

Ici à gauche, on remarque très nettement que des liquides ont coulé dans ces canaux qui font en moyenne 1km de large et quelques 200m de profondeur. (photo prise de 2000km de distance, la largeur sur le terrain est de 300km).

Ces liquides sur cette photo ont coulé sur de grandes distances.

 

Contrairement à ce que l'on voit sur la photo de droite où ils ont formé un réseau plus dense ressemblant à un delta et aussi à des canaux avec de nombreux affluents. (photo prise de 2000km de distance, la largeur sur le terrain est de 240km)

 

Le liquide qui a coulé est du méthane.

 

Je me suis permis d'ajouter ce que je pense être des cratères d'impact sur la photo de droite, ai-je raison??

 

 

 

 

Comme d'habitude, vous trouverez toutes les dernières images de Cassini au JPL

 

Les prochains survols : http://saturn.jpl.nasa.gov/home/index.cfm

Tout sur les orbites de Cassini par The Planetary Society; très bon!

 

Voir liste des principaux satellites.

 

 

 

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CASSINI-SATURNE :L'ATMOSPHÈRE EN ROTATION. (28/09/2005)

(photo NASA/JPL)

 

Ce petit film (que vous pouvez voir ou télécharger en cliquant sur la photo), montre la rotation de l'atmosphère saturnienne sous 3 longueurs d'onde Infra Rouge différentes.

 

De gauche à droite, prise de vus dans les longueurs d'onde :

752, 728 and 890 nanomètres.

 

L'utilisation de ces différents filtres permet de pénétrer plus ou moins la couche nuageuse.

Par exemple la photo de gauche nous montre une couche beaucoup plus profonde que celle de droite qui ne reflète que les nuages de haute altitude.

La différence d'altitude entre ces deux photos extrêmes est de l'ordre de plusieurs dizaines de km.

 

 

Le film est constitué de 31 images dans chaque panneau couvrant une période de 1 heure et demie. (la rotation de Saturne est de 10h et demie).

 

Ces images datent du 21 Juin 2005 et ont été prises d'une distance de 2,2 millions de km.

 

 

 

 

 

 

Comme d'habitude, vous trouverez toutes les dernières images de Cassini au JPL

 

Les prochains survols : http://saturn.jpl.nasa.gov/home/index.cfm

Tout sur les orbites de Cassini par The Planetary Society; très bon!

 

Voir liste des principaux satellites.

 

 

 

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LIVRE CONSEILLÉ : LE LUMINET NOUVEAU EST ARRIVÉ (28/09/2005)

 

Jean Pierre Luminet et son collègue Marc Lachièze-Rey , tous les deux célèbres astrophysiciens, viennent de publier un superbe livre dont le titre est : "De l'Infini".

 

L'éditeur est Dunod dans la collection quai des Sciences.

Prix 17€, 188 pages, se trouve dans toutes les bonnes librairies comme on dit.

 

Voilà un extrait :

 

Ce qui est directement connaissable est fini.

Mais l'infini peut-il se rencontrer dans la Nature, et dans les théories qui cherchent à la représenter ? Est-il présent dans le monde, dans les choses ? Ou bien réside-t-il seulement dans

notre esprit, fiction nécessaire à la pensée, mais à laquelle nulle réalité physique ne correspond ?

 

L'omniprésence de l'infini en mathématiques est étonnante, car l'Homme est un être fini, limité, embarqué sur une planète elle aussi limitée et finie. Pourtant, cet être fini examine l'infini

et en joue, au point que l'infini lui est devenu indispensable pour comprendre le fini. Le problème de l'infini concerne autant la

philosophie (la théologie, l'art, l'éthique) que les sciences de la Nature, la physique et les mathématiques.

 

De nouveaux infinis sont apparus avec la théorie quantique, la cosmologie relativiste ou les modèles de trous noirs. Et les développements les plus récents de la physique (topologie de l'espace-temps, renormalisation, vide quantique, théorie des supercordes, cosmologie quantiqueŠ)

ont remis au goût du jour la notion d'infini qui renaît sans cesse de ses cendres, tel un sphinx énigmatique aux multiples visages.

 

C'est à une exploration des « histoires parallèles » de l'infini que nous convie ce livre.

 

Sommaire :

 

 

 

 

 

 

 

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LES MAGAZINES CONSEILLÉS : ASTRONOMY OCT 2005 NOTAMMENT (28/09/2005)

 

De nombreux et très intéressants magazines d'astronomie sont publiés ce mois-ci; en voici quelques uns:

 

 

Numéro daté OCTOBRE 2005 d'Astronomy, numéro spécial consacré à la cosmologie.

 

Possède aussi un grand poster sur l'Univers et sa formation à l'intérieur.

 

On peut le trouver encore  chez certains marchands de journaux (moi je l'ai trouvé dans mon centre commercial, incroyable, non?).

 

Voici les articles les plus intéressants :

Making Multiverses

The accident that saved the Big bang

The return of cosmic strings

Beyond Einstein

 

Il y a aussi un article sur le rapport de la mission Deep Impact.

De même en histoire de l'astro : d'où viennent le nom des étoiles.

 

Prix 6,40€

 

 

 

Astronomie Magazine publie ce mois ci un numéro spécial sur l'éclipse du 3 Octobre.

 

De même que Ciel et Espace.

 

 

 

 

 

 

 

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C'est tout pour aujourd'hui!!

 

Bon ciel à tous!

 

JEAN PIERRE MARTIN

 

 

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