LES ASTRONEWS de planetastronomy.com:

Mise à jour : 16 Novembre 2018 

       

Conférences et Évènements : Calendrier   .............. Rapport et CR

Prochaine conférence SAF.

Vendredi 9 Nov 2018  19H00 TELECOM entrée libre, « La mission JUICE de l’ESA, vers les satellites de Jupiter »
par Olivier Witasse de l’ESA le 14 déc 19H00 
réservation obligatoire à partir du 10 Nov.

Liste des conférences SAF en vidéo. (pas encore  à jour!)

Astronews précédentes : ICI        dossiers à télécharger par ftp : ICI

ARCHIVES DES ASTRONEWS : clic sur le sujet désiré :

Astrophysique/cosmologie ; Spécial Mars ; Terre/Lune ; Système solaire ; Astronautique/conq spatiale ; 3D/divers ; Histoire astro /Instruments ; Observations ; Soleil ; Étoiles/Galaxies ; Livres/Magazines ; Jeunes /Scolaires

Certains peuvent recevoir en double ces news, car ils sont inscrits sur plusieurs listes. J’en suis désolé.

Sommaire de ce numéro :  

Les galaxies naines : CR de la conf IAP de H. Atek du 6 Nov 2018. (16/11/2018)

La cosmo après les 5 premières minutes : CR conf SAF de S Bosman du 9 Nov 2018. (16/11/2018)

RCE 2018 : Court CR de certaines conférences des 1-3 Nov 2018. (16/11/2018)
      La Toile cosmique : CR conf IAP de S Codis du 2 Oct 2018  (16/11/2018)

Métrologie : Une révolution dans les unités ! (16/11/2018)

E-ELT : Un trou extrêmement grand pour un télescope extrêmement grand ! (16/11/2018)

Gaia : Met au jour une fusion de notre Galaxie dans sa jeunesse. (16/11/2018)

Kepler :.Ça y est la NASA a fermé l’interrupteur ! (16/11/2018)

Station Spatiale : La nouvelle station chinoise vient d’être présentée ! (16/11/2018)

Cosmologie : Enfin l’Abbé G Lemaître reconnu comme l’un des pères du BB. (16/11/2018)

ISS :.Une nouvelle vidéo haute résolution fournie par la NASA. (16/11/2018)

Dawn :.Mission terminée ! (16/11/2018)

Encelade :.La NASA s’associerait avec un milliardaire Russe pour l’explorer. (16/11/2018)

Parker Solar Probe : Au plus près du Soleil. (16/11/2018)

Livre conseillé :. L’astrologie est-elle une imposture ? Par Kunth et Zarka CNRS éditions (16/11/2018)

Livre conseillé :.Exoplanètes par D Fossé et Manchu chez Belin (16/11/2018)

Livre conseillé : Souscription Apollo par O de Goursac chez Flammarion.  (16/11/2018)

Les magazines conseillés :. Pour la Science Spécial : Les paradoxes du Temps. (16/11/2018)

 

MÉTROLOGIE : UNE RÉVOLUTION DANS LES UNITÉS ! (16/11/2018)

 

 

 

Dans le nouveau système international d’unités (SI), quatre des sept unités de base du SI – à savoir le kilogramme, l'ampère, le kelvin et la mole – seront redéfinies en s'appuyant sur des constantes de la nature ; les nouvelles définitions seront établies à partir des valeurs numériques fixées de la constante de Planck (h), de la charge élémentaire (e), de la constante de Boltzmann (k) et de la constante d'Avogadro (NA), respectivement.

 

De plus, les définitions des sept unités de base du SI seront toutes exprimées de façon uniforme à l'aide d'une formulation dite « à constante explicite » et des mises en pratique spécifiques seront élaborées afin d'expliquer comment réaliser pratiquement la définition de chacune des unités de base.

 

 

 

 

Le kilogramme est la seule des unités fondamentales à dépendre d’une grandeur physique.

 

Et de plus….il perd du poids, on pense qu’il a perdu au cours du temps de l’ordre de 50 microgramme.

 

Seul le kilogramme restait donc lié à une grandeur étalon déposée dans un laboratoire (le fameux pavillon de Breteuil à Sèvres de notre enfance !!!). C’est le « grand K » en platine iridié qui sert d’étalon à d’autres depuis 1889 !

Même situé dans une salle à température contrôlée et s’il est protégé jour et nuit et que personne ne peut le sortir de ses cloches de protection (une fois tous les 50 ans en moyenne), ce n’est pas satisfaisant.

 

Eh bien, beaucoup de métrologistes (ceux qui étudient les unités de mesure) pensent qu'il est temps de changer cela et d'y apporter un peu plus de précision et de le faire dépendre comme pour le mètre d'un phénomène naturel, d’une constante physique ou de la masse d'un certain nombre d'atomes.

 

Depuis une dizaine d’années, on souhaite trouver une meilleure définition pour le kilo.

 

Une image contenant capture d’écran

Description générée automatiquementOn devrait lier le kilo à la constante de Planck de la mécanique quantique (MQ). On chercherait à équilibrer sur une balance, la masse de 1Kg dans le champ de gravité terrestre par une force issue d'un champ magnétique délivré par un enroulement en cuivre lui-même soumis à un enroulement d'un supra conducteur.

 

La quantité de courant et de tension nécessaire définirait le nouveau kilogramme. Des calculs mathématiques montreraient que cette méthode revient à donner une valeur précise à cette fameuse constante de Planck ce qui n'est pas le cas actuellement.

 

©  C. Hein pour CNRS le Journal. Sources: 3e CGPM, 1901 et projet de résolution n°1 pour la 26e CGPM

 

 

 

 

Certaines autres constantes fondamentales comme : l’Ampère, la mole, et le kelvin seront redéfinies en fonction de constantes fondamentales.

 

Le kilogramme devrait être défini par rapport à la constante de Planck, le kelvin qui dépendait …du point triple de l’eau devrait dépendre de la constante de Boltzmann, l’Ampère devrait être rapporté à la charge électrique élémentaire et la mole au nombre d’Avogadro.

 

Lourde tâche !

 

La 26ème conférence des Poids et Mesures se tiendra en fin Novembre 2018 à Paris et une décision devrait être prise.

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

Mesures : le grand renversement par Mathieu Grousson du CNRS à lire absolument, le cheminement historique est expliqué.

 

Kilo, ampère, kelvin... Petite révolution à venir dans les unités de mesure de Sciences et Avenir.

 

Évolution des unités de mesure : une révolution? Par le CNAM.

 

Révision du Système international d’unités par le LNE.

 

Le kilo, un poids et deux mesures par France 24

 

conf T Quinn sur le système d'unités SI du 9 Nov 2016 

 

 

 

 

 

E-ELT : UN TROU EXTRÊMEMENT GRAND POUR UN TÉLESCOPE EXTRÊMEMENT GRAND ! (16/11/2018)

 

 

Une image contenant ciel, extérieur, terrain, objet d’extérieur

Description générée automatiquementL’époque des télescopes géants a vraiment commencé, la construction de l’E-ELT (European extremely Large Telescope) de l’ESO est en bonne voie au Chili.

 

Ce télescope sera équipé d’un miroir primaire de 39 mètres et sera le plus grand télescope optique et proche infrarouge au monde. Il devrait recueillir 200 fois plus de lumière que le célèbre télescope spatial Hubble.

 

On voit sur la photo ci-contre, l’énorme trou des fondations sur le site de Cerro Armazones, à 3000 m d’altitude, et à 20 m du VLT ; un camion vers le milieu à droite donne l’échelle. On a été obligé d’arraser le sommet de cette montagne de 18 m.

 

Ce télescope de 39m de diamètre sera composé de 798 segments de 1,45 m. Sa masse : 3900 t. Épaisseur des segments : 40 mm

 

Pour plus de détail sur ce projet consulter le CR de la conférence IAP cité ci-après.

 

Le projet E-ELT : CR de la conf IAP de JG Cuby du 7 Mars 2017

 

Crédit photo : G. Hüdepohl/ESO

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN:

 

 

 

 

 

The Extremely Large Telescope L'œil le plus puissant au monde scrutant le ciel par l’ESO

 

Extremely large astronomy par l’ESO

 

An Extremely Large Hole has Been Dug for the Extremely Large Telescope par Universe today

 

An extremely large hole has been dug for the Extremely Large Telescope par Phys.org

 

 

 

 

 

 

 

GAIA : MET AU JOUR UNE FUSION DE NOTRE GALAXIE DANS SA JEUNESSE. (16/11/2018)

 

La sonde Gaia de l’ESA, dont nous avons souvent parlé, vient de faire une découverte fondamentale concernant notre Galaxie.

 

Notre galaxie ne s’est pas formée isolée, elle a fusionné avec une autre grande galaxie dans sa jeunesse, il y a environ 10 milliards d’années. Cette galaxie a rempli d'étoiles le halo qui entoure la Voie lactée et a épaissi le disque galactique présent à cette époque.  Les preuves sont dispersées dans le ciel tout autour de nous, mais il a fallu Gaia et son extraordinaire précision pour les mettre en évidence de façon éclatante.

 

À cette occasion l’INSU publie un communiqué que je reprends :

 

Gaia mesure la position, le mouvement et la luminosité des étoiles avec une précision sans précédent. Sur la base des 22 premiers mois d’observation, l’étude de sept millions d’étoiles - celles pour lesquelles les positions et vitesses 3D complètes sont disponibles – a permis de découvrir que 30 000 d’entre elles faisaient partie d'un "groupe étrange" d’étoiles vieilles se déplaçant à travers la Voie lactée et que l’on peut observer dans le voisinage du soleil.

Nous sommes si profondément ancrés dans ce groupe que ses étoiles nous entourent presque complètement et peuvent donc être vues à travers la plus grande partie du ciel. Les étoiles du groupe se distinguaient dans les données de Gaia car elles se déplaçaient toutes sur des trajectoires allongées dans la direction opposée à la majorité des autres étoiles de la galaxie, y compris le Soleil. Elles se distinguaient également dans le diagramme Hertzsprung-Russell - qui relie luminosité et couleur des étoiles - indiquant qu’elles appartenaient à une population stellaire clairement distincte.

 

Dans le passé, Amina Helmi et son groupe de recherche avaient utilisé des simulations pour étudier ce qu'il advient des étoiles lorsque deux grandes galaxies fusionnent. Lorsqu'elle a comparé celles-ci aux données de Gaia, les résultats simulés correspondaient aux observations. En d'autres termes, le groupe correspond à ce qu'ils attendaient d'étoiles qui faisaient autrefois partie d'une autre galaxie et qui ont été absorbées par la Voie lactée.

Ces étoiles forment à présent la plus grande partie du halo interne de notre galaxie - une composante diffuse d’étoiles vieilles qui entourent à présent la majeure partie de la Voie lactée, le bulbe central, le disque mince et le disque épais. Le disque épais est une composante de la Voie lactée dont la structure et l’origine sont encore débattues. Selon les simulations de l’équipe, en plus de fournir les étoiles de halo, la galaxie accrétée aurait également pu perturber les étoiles préexistantes de la Voie lactée afin de contribuer à la formation du disque épais.

 

Les étoiles qui se forment dans différentes galaxies ont des compositions chimiques uniques qui correspondent aux conditions de la galaxie d'origine. Si ce groupe d'étoiles est bien les restes d'une galaxie qui a fusionné avec la nôtre, les étoiles doivent en laisser une empreinte dans leur composition. Un premier indice était présent dans le diagramme Hertzsprung-Russell et le relevé spectroscopique APOGEE a permis de confirmer que c’était le cas.

 

Les astronomes ont appelé cette galaxie Gaia-Enceladus du nom de l'un des géants de la mythologie grecque, qui était la progéniture de Gaia, la Terre, et d'Uranus, le Ciel. Selon la légende, Encelade aurait été enterré sous le mont Etna, en Sicile, et serait responsable des tremblements de terre locaux. De même, les étoiles de Gaia-Enceladus étaient profondément enfouies dans les données de Gaia et ont ébranlé la Voie lactée, ce qui a entraîné la formation de son disque épais.

 

Une image contenant objet d’extérieur, feux d’artifice

Description générée automatiquement

Vue d’artiste des débris de la galaxie Gaia-Enceladus. Gaia-Enceladus a fusionné avec notre galaxie au tout début de sa formation, il y a 10 milliards d'années, et ses débris se trouvent maintenant dans toute la galaxie.

Les positions et les mouvements des étoiles appartenant à l'origine à Gaia-Enceladus (représentés par des flèches jaunes) sont basés sur une simulation qui modélise une rencontre similaire à celle découverte par Gaia.

 

©ESA (impression d'artiste et composition) ; Koppelman, Villalobos et Helmi (simulation), CC BY-SA 3.0 IGO

 

 

 

 

 

 

L'équipe a également trouvé des centaines d'étoiles variables et 13 amas globulaires dans la Voie lactée qui suivent des trajectoires similaires à celles des étoiles de Gaia-Enceladus, indiquant qu'elles faisaient partie de ce système.

Les amas globulaires sont des groupes pouvant aller jusqu'à des millions d'étoiles, maintenus ensemble par leur gravité mutuelle et gravitant autour du centre d'une galaxie.

Le fait que tant de groupes puissent être liés à Gaia-Enceladus est une autre indication du fait que celle-ci a dû être autrefois une grande galaxie à part entière, avec son propre entourage d’amas globulaires.

 

L’étude a indiqué que cette galaxie avait à peu près la taille de l'un des nuages de Magellan - deux galaxies satellites environ dix fois plus petites que la taille actuelle de la Voie lactée.

Cependant, il y a dix milliards d'années, lorsque la fusion avec Gaia-Enceladus a eu lieu, la Voie lactée elle-même étant beaucoup plus petite, le rapport entre les deux ressemblait davantage à quatre pour un.

C'était donc clairement un événement majeur pour notre galaxie.

 

 

Il y a une vidéo correspondant à la simulation de cette fusion : https://youtu.be/hVPZhATLDKY

La galaxie plus petite est en rouge.

 

© ESA Science & Technology, Koppelman, Villalobos & Helmi, Kapteyn Astronomical Institute, university of Groningen, The Netherlands

 

 

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

Gaia découvre un événement majeur de l’histoire de la formation de la Voie lactée par l’INSU

 

Voie lactée : Gaia révèle une collision géante avec une autre galaxie il y a 10 milliards d'années par Futura Sciences

 

The merger that led to the formation of the Milky Way’s inner stellar halo and thick disk, l’article original de Nature

 

The Merger That Led to the Formation of the Milky Way par SciTechDaily

 

 

 

 

Les archives Gaia.

 

Gaia à l’Observatoire de Paris.

 

Site de Gaia à l’ESA

 

 

 

 

 

 

KEPLER :ÇA Y EST, LA NASA A FERMÉ L’INTERRUPTEUR ! (16/11/2018)

Crédit dessin : NASA Ames/

 

Comme on l’avait évoqué la dernière fois, Kepler, le télescope chasseur d’exoplanètes, vit ses dernières minutes. Il n’a plus de carburant. La NASA a décidé de le mettre à la retraite et le laisse errer ainsi sur son orbite actuelle.

 

Une vidéo de la NASA permet de voir ce qui va arriver à son orbite dans les prochaines décennies.

 

En près de 10 ans Kepler a observé plus de 500.000 étoiles et a détecté et certifié 2600 exoplanètes.

Le PI de la mission William Borucki est très fier de l’accomplissement de cette mission.

 

La représentation suivante résume tout le travail fait par Kepler.

 

Une image contenant texte, capture d’écran

Description générée automatiquement

Il reste de nombreuses années de travail aussi pour les ingénieurs au sol qui vont dépouiller toutes les mesures de ce télescope.

 

Kepler nous a montré que le monde des exoplanètes est très divers et que jusqu’à présent nous n’avons pas trouvé un système stellaire identique au nôtre ! Pourquoi ?

La plupart des planètes trouvées n’existe pas dans notre Système Solaire, ce sont des planètes dont la taille est comprise entre celle de la Terre et de Neptune, ce que l’on appelle des super Terres. Pourquoi ?

 

 

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

NASA Retires Kepler Space Telescope, Passes Planet-Hunting Torch

 

Kepler : voilà, c'est fini pour le chasseur d'exoplanètes

 

 

Tout sur Kepler sur votre site préféré.

 

 

 

 

 

 

 

STATION SPATIALE : LA NOUVELLE STATION CHINOISE VIENT D’ÊTRE PRÉSENTÉE ! (16/11/2018)

 

Lors de l’exhibition aérospatiale de Zhuhai en Novembre 2018, la Chine a dévoilé sa nouvelle station spatiale baptisée pour le moment CSS (Chinese Space Station) par analogie avec l’ISS ?.

 

Celle-ci doit remplacer à terme la précédente (8,6 tonnes) lancée en 2016 qui va bientôt rentrer dans l’atmosphère (fin 2019 ?) avec une désorbitation contrôlée.

 

Le module de base de cette CSS est le module Tianhe qui pourra être visité par des cargos et des modules habités Shenzhou.

 

À l’occasion de cette exposition, on a pu voir des modèles à l’échelle 1 des différents modules.

 

Une image contenant intérieur, objet, plancher

Description générée automatiquement

Une image contenant intérieur, bâtiment, camion, plane

Description générée automatiquement

Le module de base de la CSS, une autre photo sous un autre angle.

Un autre module devant se rattacher au module précédent (Photos CASTC)

 

 

Le module principal est long de 17m et l’ensemble devrait avoir une masse avoisinant les 60 tonnes (l’ISS : 400 t).

Deux modules supplémentaires devraient être ajoutés pour les futures expériences scientifiques.

 

L’assemblage devrait être complété vers 2022, un peu avant que l’ISS soit mise à la retraite en 2024 (une erreur si vous voulez mon avis personnel !).

Elle sera en principe ouverte à tout le monde et on peut déjà proposer des projets scientifiques ; sa durée de vie est de 10 ans au moins. Trois astronautes pourront y vivre.

 

La Chine aura donc si on respecte ce calendrier la seule station spatiale en orbite.

 

Une image contenant satellite, transport, neige, fenêtre

Description générée automatiquement

Voilà une représentation officielle de la nouvelle station complète.

 

Elle est de la classe de la station MIR pour son volume et sa disposition.

 

 

Vue d’artiste de cette nouvelle station.

Crédit: CMSEO

 

Une autre représentation de la CSS.

 

 

 

 

 

Lancer de tels éléments dans l’espace nécessite un lanceur puissant (Long March 5B) que la Chine peine à mettre au point à ce que l’on croit. C’est ce même lanceur qui devrait aussi propulser la mission lunaire Chang’e-5 de retour d’échantillons.

On pense aussi qu’il devrait aussi lancer la première mission chinoise vers Mars en 2020.

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

China unveils new 'Heavenly Palace' space station as ISS days numbered

 

China's space technologies on display at Zhuhai Airshow

 

China Just Revealed a Model of Earth's First New Modular Space Station in Over 20 Years

 

China outlines intense period for human spaceflight, robotic exploration and satellite constellations

 

Chinese space station: Beijing invites world to join its project as ISS support falters

 

 

Vidéo sur la coopération Chine-ONU : https://youtu.be/UdNCFls35Zk

 

 

 

 

 

 

COSMOLOGIE :.ENFIN L’ABBÉ G LEMAÎTRE RECONNU COMME L’UN DES PÈRES DU BB. (16/11/2018)

 

 

Enfin, justice est rendue à l’Abbé Georges Lemaître, un des découvreurs du Big Bang.

Il avait trouvé, avant Hubble, la loi que l’on appelait avant la loi de Hubble d’éloignement des galaxies , mais cela avait été publié en français (article « Un univers homogène de masse constante et de rayon croissant » en 1927) et deux ans avant Hubble, et peu lu (euphémisme) par la communauté scientifique.

 

Même si de nombreux scientifiques, comme notre Jean Pierre Luminet national militait en faveur du changement de nom de cette loi, ce n’était pas officiel.

 

Cela l’est maintenant !

L’UAI (Union Astronomique Internationale) vient de voter en faveur du changement de nom, la loi va s’appeler maintenant loi de Hubble-Lemaître.  Cela a été approuvé à 78% des 4000 astronomes consultés.

 

Une image contenant photo, homme, texte, personne

Description générée automatiquement

G Lemaître dispensant un de ses cours à l’Université de Louvain (crédit DR)

 

 

Rappelons que G Lemaître était chanoine et cosmologiste, Belge, il était professeur à Louvain.

Il meurt en 1966, quelques mois après la découverte de la preuve du BB, la découverte du bruit de fond cosmologique (CMB) par Penzias et Wilson en 1965.

 

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

 

L'abbé Georges Lemaître enfin reconnu comme l'un des pères du Big Bang article du Figaro.

 

HUBBLE – LEMAÎTRE : 1-1 par Daily Science

 

 

 

 

 

ISS :.UNE NOUVELLE VIDÉO HAUTE RÉSOLUTION FOURNIE PAR LA NASA. (16/11/2018)

(photos : NASA/ESA)

 

 

La NASA vient de mettre à la disposition du public une vidéo de l’ISS où on voit le travail à bord de la station et des vues extérieures prises par la Coupole.

 

La nouveauté est que cette vidéo est en haute résolution, en 8K comme on dit, cela veut dire en 8000 pixels, la meilleure résolution que l’on peut avoir actuellement en télévision. C’est le successeur du 4K.

 

La vidéo fournie est un reportage de l’Expédition 56 commandée par l’astronaute NASA Andrew Feustel. Il comprend comme membre d’équipage, l’astronaute européen Alexander Gerst de l’ESA.

 

Voici cette vidéo :

vidéo :

 

 

 

 

 

https://youtu.be/7k2uKb9vCOI

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PARKER SOLAR PROBE : AU PLUS PRÈS DU SOLEIL. (16/11/2018)

 

On se rappelle que le 12 Aout 2018 dernier, la sonde solaire Parker Solar Probe est bien partie à destination de l’astre du jour.

 

Le voyage va durer plus de 6 ans avant l’orbite définitive. De nombreuses assistances gravitationnelles sont prévues.

 

Le premier passage au plus près du Soleil(périhélie) était prévu début Novembre ; cela s’est effectivement passé le 5 Novembre 2018.  Pendant toute cette période, les communications avec la Terre étaient interrompues à cause des intenses champs de radiations. Le contact a repris vers le 11 nov.

 

PSP s’est approchée à 35 rayons solaires (1 Rs = 695.000 km) de la surface soit approx 24 millions de km et le centre mission signale que tout va bien à bord. Sa vitesse maxi était de 95 km/s par rapport au Soleil.

De nombreux autres passages au plus près du Soleil sont prévus (24 en tout), en se rapprochant toujours de plus en plus de la « surface ».

 

La sonde passe dans des milieux de température extrême, mais sa protection thermique tient le coup.

 

Une vidéo explicative sur YouTube ou en mp4

 

vidéo :

 

https://youtu.be/FjdZU0whkug

 

 

 

 

Une image contenant intérieur, moniteur, assis

Description générée automatiquement

Quelques semaines avant, le 25 sept 2018, avant le premier rendez-vous avec Vénus, la sonde PSP avait photographié la Terre avec sa caméra grand angle WISPR (Wide-field Imager for Solar Probe).

C’est la seule caméra à bord.

 

La Terre se trouve au centre du panneau de droite

 

On voit deux images car le télescope est double et vise deux portions différentes du ciel.

 

 

Crédit: NASA/Naval Research Laboratory/Parker Solar Probe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN:

 

Le site de la mission au JHUAPL

 

La page des différentes vidéos au JHUAPL.

 

La sonde Parker Solar Probe caresse le Soleil et bat de nouveaux records chez Futura Sciences.

 

Parker Solar Probe Reports Good Status After Close Solar Approach par le GSFC

 

Parker Solar Probe Breaks Record, Becomes Closest Spacecraft to Sun article de la NASA

 

First Perihelion: Into the Unknown with Parker Solar Probe

 

Parker Solar Probe Became the Closest Thing We’ve Ever Sent to the Sun. And it’s Just Getting Started.

 

NASA's Parker spacecraft makes first close approach to sun par Phys.org

 

Parker Solar Probe Looks Back at Home

 

 

 

 

 

 

DAWN :.MISSION TERMINÉE ! (16/11/2018)

Image crédit: toutes images : NASA/JPL-Caltech/UCLA/MPS/DLR/IDA

 

Triste Halloween pour la sonde Dawn, en effet elle n’a pas contacté la Terre pour son rendez vous du 31 Octobre 2018 et 1er Novembre. Elle était à bout de carburant (hydrazine) pour diriger son antenne vers les stations terrestres. De plus cela signifie aussi qu’elle ne peut plus orienter correctement ses panneaux solaires. Donc c’est la fin.

 

Quelle mission ! Lancée en 2007, Dawn a permis de découvrir deux mondes différents parmi la ceinture d’astéroïdes : Vesta et Cérès. Un nombre incalculable de données a été recueilli pendant ces 11 ans de recherches.

Dawn utilisait aussi une nouvelle technologie pour se déplacer, un moteur ionique. Il a parcouru près de 7 milliards de km.

En 2011, il arrive à Vesta, le deuxième plus grand astéroïde de la ceinture principale, il s’y met en orbite et étudie chaque cm2.

En 2015 après avoir quitté Vesta il arrive à Cérès, la planète naine, et le plus gros astéroïde de la ceinture. Il se met ainsi en orbite autour de cette planète naine et l’étudie sous toutes les coutures.

Ces deux corps représentent à eux tout seul, près de la moitié de la masse des astéroïdes de la ceinture principale.

 

Mar Rayman le responsable mission est très fièr de son « enfant » et très triste de sa fin, mais cela devait arriver.

Dawn a été préparé et décontaminé correctement pour l’étape suivante dans 40 à 50 ans quand elle s’écrasera sur Cérès.

 

Les 4 instruments de cette sonde ont transmis des informations permettant de comparer ces deux mondes qui ont évolué différemment. Dawn a montré que des planètes naines comme Cérès pouvaient avoir eu des océans et peut être en possède-t-elle encore.

 

Revoyons quelques images récentes fournies par la sonde autour de Cérès, dont l’orbite frôlait la surface à quelques 35 km !

 

Une image contenant arbre, extérieur, photo

Description générée automatiquement

Notamment un zoom sur le fameux point brillant du cratère Occator , zone appelée Vinalia Faculae, contenant des dépôts de carbonate de sodium. Occator est géologiquement jeune.

 

On y voit quelque chose similaire à une « mesa » que l’on trouve dans tous les westerns !

 

Plus d’images de ces orbites basses sur le site de Dawn.

 

Et les vidéos.

 

Survol de Cérès et du cratère occator.

 

Crédit image : NASA/JPL-Caltech/UCLA/MPS/DLR/IDA

 

 

 

 

 

Sur Cérès les scientifiques ont mis au jour la chimie d’un ancien océan. Les dépôts brillants de sels en seraient la preuve. On pense qu’ils se sont frayés un chemin vers la surface à partir d’une source liquide souterraine, une sorte de saumure.

On pense donc que les planètes naines, comme les lunes glacées, posséderaient des océans internes.

On a aussi trouvé des molécules organiques dans la région du cratère Ernutet, provenant de l’intérieur de cette planète, peut être même de l’océan interne.

 

 

Quant à Vesta, il semble avoir survécu à de nombreux impacts, ce qui lui a donné cette forme un peu oblongue. Son hémisphère Nord contient beaucoup plus de traces d’impact que le Sud.

Vesta est aussi la source d’une famille de météorites.

Dawn a pu imager une énorme montagne centrée sur le bassin Rheasilvia de 500km de diamètre, ce sommet est deux fois plus haut que l’Everest !

 

 

Une image contenant intérieur, assis

Description générée automatiquement

Comparaison à la même échelle de Vesta et Cérès, Eros est aussi sur l’image, visitée par NEAR. (crédit NASA/JPL)

 

 

 

 

 

Vidéo : Dusk for Dawn (littéralement : le crépuscule pour l’aube, dawn en anglais) : https://youtu.be/Hth3nKGKTFc

 

 vidéo :

 

 

 

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

 

NASA’s Dawn Mission to Asteroid Belt Comes to End

 

Dawn : fin de cette mission exceptionnelle qui a exploré Cérès et Vesta par Futura Sciences

 

La sonde Dawn s'est éteinte autour de la planète naine Cérès par Sciences et Avenir

 

Les actualités sur Dawn sur votre site favori.

 

What We Learned from Dawn par le centre mission

 

L'histoire de Vesta, l'astéroïde multicolore par National Geographic

 

 

 

 

 

Dawn blog

 

Site de la mission au JPL.

 

Site de la mission à la NASA.

 

On peut visualiser sur cette animation l’orbite de DAWN dans notre système solaire lors de ces deux visites d’astéroïdes.

 

 

 

 

 

ENCELADE :.LA NASA S’ASSOCIERAIT AVEC UN MILLIARDAIRE RUSSE POUR L’EXPLORER. (16/11/2018)

 

Il semble bien que cela soit très sérieux, en effet Yuri Milner, un milliardaire Russe, passionné de recherche de vie extra-terrestre (il finance déjà des recherches d’écoute du ciel un peu comme le SETI) s’intéresse à Encelade.

Milner a fondé en 2015 le programme de recherche Breakthrough Initiatives (BI) pour répondre à ces défis astronomiques.

 

On sait que cette petite (500 km) lune glacée de Saturne émet des geysers d’eau chaude contenant des sels et des matériaux organiques. Il possèderait un océan d’eau salée sous sa croute de glace.

C’est un exemple parfait d’un bon candidat à héberger une certaine forme de vie dans cet océan liquide.

 

Les USA s’intéressent aussi aux lunes glacées du fin fond du Système Solaire avec son projet Europe Clipper vers Europe satellite de Jupiter.

 

Donc la NASA aurait signé un protocole pour étudier la possibilité de coopération avec BI pour une pré-étude d’une mission vers Encelade. Une décision pour aller plus avant devrait être prise fin 2019.

 

Ce serait la première entreprise privée pour étudier des planètes lointaines.

 

Wait and see comme on dit là-bas !

 

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

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LIVRE CONSEILLÉ :.L’ASTROLOGIE EST-ELLE UNE IMPOSTURE ? PAR KUNTH ET ZARKA CNRS (16/11/2018)

 

 

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Voici le dernier opus « L’astrologie est-elle une imposture ? » qui reprend en partie le Que sais-je publié en 2005 sur le même sujet et qui avait eu beaucoup de succès.

Il est considérablement actualisé et élargi à la place qu’occupe encore l’astrologie dans notre société.

 

Certains pensent que les astronomes ne devraient pas entrer dans ce type de confrontation, ce n’est pas le cas de nos amis Daniel Kunth et Philippe Zarka qui continuent à clarifier les choses comme ils disent.

 

Voici ce qu’en dit la quatrième de couverture :

 

Héritière d’Aristote, l’astrologie occidentale se propose de révéler l’identité de l’homme par la lecture du cosmos.

Si jadis, elle marchait main dans la main avec l’astronomie, elle est aujourd’hui radicalement contestée par la communauté savante.

 

 

Pourtant, nombreux sont ceux qui consultent les astrologues ou les horoscopes et pensent que l’on peut décrire un caractère par son signe astral voire prédire l’avenir. Moult quotidiens s’y emploient, Internet propose des dizaines de sites et certaines entreprises l’utilisent comme outil d’évaluation.

Les auteurs de ce livre montrent que l’astrologie ne relève pas de la science et qu’elle ne parle pas non plus du ciel… N’est-elle qu’une imposture ou répond-elle aux défis qui se posent au monde aujourd’hui ? Caractériser le mode de connaissance qu’elle propose, cerner le public qu’elle cible, sa portée psychologique, et les limites de son influence – bénéfique ou nocive – face aux enjeux majeurs que la société doit relever, tels sont les buts de cet ouvrage.

 

Philippe ZARKA

Philippe Zarka est astrophysicien, directeur de recherche à l’Observatoire de Paris.

 

Daniel KUNTH

Daniel Kunth est astrophysicien, directeur de recherche émérite à l’Institut d’Astrophysique de Paris.

 

ISBN : 978-2-271-11904-9      Format : 11.0 x 18.0 cm     10€

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LIVRE CONSEILLÉ : EXOPLANÈTES PAR D. FOSSÉ ET MANCHU CHEZ BELIN. (16/11/2018)

 

Un livre richement illustré par des vues d’artiste sur ces mondes inconnus.

 

En 1995, la découverte de la première planète autour d'une autre étoile est un choc : 51 Pegasi b est deux fois plus grosse que Jupiter et l'année y dure… 4 heures !

 

Les astronomes se retrouvent confrontés à un monde qui ne peut pas exister…

 

20 ans plus tard, nous avons découvert environ 4 000 planètes extrasolaires et nous pensons qu'il en existe plusieurs centaines de milliards dans la Galaxie. La diversité de ces mondes lointains est immense : planètes-océans, géantes gazeuses qui s'évaporent, planètes à trois soleils, planètes métalliques ou de diamant…

 

Non seulement la pluralité des mondes est une réalité, mais elle est en plus absolument extravagante !

 

 

 

Nous en savons aujourd’hui assez pour comprendre à quel point les exoplanètes sont différentes de ce que l'on connaît, mais nous n'avions pas encore les moyens, jusqu’à présent, de les voir vraiment. Mais grâce aux talents conjoints de Manchu et de David Fossé, il vous est désormais possible d'explorer le zoo des planètes extrasolaires – géantes gazeuses, « super-Terre » et « mini-Neptune », et exo-Terre – et de voyager dans ces mondes étranges... Un formidable cocktail de rigueur scientifique et d’imagination qui fascinera tous ceux qui ont un jour rêvé d’ailleurs en levant la tête pour regarder les étoiles.

 

 

David Fossé est rédacteur en chef adjoint de Ciel & Espace. Ses sujets de prédilection sont la recherche et l'étude des planètes extrasolaires, la cosmologie et les trous noirs, et l'histoire des sciences.

 

Sous les pinceaux du Space artist Manchu sont nés les vaisseaux et décors des mythiques Ulysse 31 et Il était une fois l’Espace ainsi que plus de 500 couvertures de romans et BD. Son travail unique est reconnu et primé internationalement.

 

 

 

160 Pages      26,00 €        ISBN : 978-2-410-01013-8

 

 

 

 

 

LIVRE CONSEILLÉ : SOUSCRIPTION APOLLO 50 ANS PAR O. DE GOURSAC CHEZ FLAMMARION. (16/11/2018)

 

 Notre ami Olivier de Goursac, grand spécialiste de l'astronautique et particulièrement de l'époque Apollo, va publier un bel ouvrage sur les missions Apollo avec pour la plupart des images exclusives (250) retraitées par lui à la demande de la NASA.

Cet ouvrage (25x27 cm 256 pages) vous est proposé en prix de souscription à 25€ (frais de port inclus) au lieu du prix de vente de 35€. (maquette non contractuelle et à tire indicatif)

si cela vous intéresse, merci d'envoyer votre chèque à la SAF 3 rue Beethoven 75016 Paris ou de contacter le secrétariat :
secretariat@saf-astronomie ou de téléphoner : 01 42 24 13 74

lien ver le site SAF pour renseigenements de cette souscription.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES MAGAZINES CONSEILLÉS :.POUR LA SCIENCE SPÉCIAL LES PARADOXES DU TEMPS. (16/11/2018)

 

 

Numéro collector Pour la Science N°1 - novembre 2018 - janvier 2019

Les paradoxes du temps

Le temps est-il une illusion ? Le temps a-t-il une fin ? Le temps est-il un luxe ? Le temps est-il le même pour tous ?

 

 

Pour parcourir le magazine.

 

120 pages d’articles abordant la thématique du temps au travers de différentes disciplines (physique, biologie, psychologie, etc.) :

 

 

 

 

Grand témoin

    Le temps : de qui est-il l'affaire ? Par Étienne Klein

    S’affranchir du temps Par Carlo Rovelli

    Les jalons du temps

 

Le temps, un aller sans retour ?

    Le temps peut-il avoir une fin ? Par George Musser

    Une brève histoire du voyage dans le temps Par Tim Folger

    La SF, toujours un temps d’avance Par Roland Lehoucq

 

Temps du corps, temps de l’esprit

    Quand les horloges biologiques se dérèglent Par Keith Summa et Fred Turek

    Se souvenir du temps qui passe Par Antonio Damasio

    « La corde » pour étirer le temps Par Antonio Damasio

 

Devenir maître du temps

    Prendre la mesure du temps Par Sylvie Droit-Volet

    Quand le cerveau ne sait plus attendre Par ean-Claude Dreher

    Faire face à l’inexorable fuite du temps Par Christophe André

 

Le temps, moteur de la société

    « La conquête du temps est la nouvelle aventure de l’Homme » Entretien avec Jean Viard

    Le temps, d’une culture à l’autre par Éric Navet

    Le mystère des montres à 10 h 10 Par S. Martínez-Conde, S. Macknik et L. L. di Stasi

 

 

Tout le Temps pour 9,90 €

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bonne lecture à tous.

 

C’est tout pour aujourd’hui !!

 

Bon ciel à tous !

 

JEAN-PIERRE MARTIN

 

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