LES ASTRONEWS de planetastronomy.com:

Mise à jour : 23 Novembre 2019          

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Prochaine conférence SAF.. Attention nous changeons de lieu (CNAM 292 rue St Martin Paris 3 amphi Grégoire) et de jour (en principe le deuxième mercredi du mois)  La prochaine conf mensuelle : Les Chinois et la Lune par Philippe Coué le 11 Dec à 19H00 réservation à partir du 14 Nov  Entrée libre mais :  réservation obligatoire

CONFÉRENCE EXCEPTIONNELLE d’Hubert Reeves lors de la remise du Prix Janssen sur « L’Histoire de l’Univers » entrée libre CNAM amphi Painlevé 19H  lundi 2 Dec mais il faut s’inscrire (460 places)  COMPLET

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Certains peuvent recevoir en double ces news, car ils sont inscrits sur plusieurs listes. J’en suis désolé.

Sommaire de ce numéro :  

SPÉCIAL SPATIAL CHINE.

La Chine : Un beau programme spatial ! (23/11/2019)

Chang’e-4 : Tout va bien pour son 11ème jour. (23/11/2019)

Chang’e-5 : Retour d’échantillons prévu. (23/11/2019)

Vers Mars en 2020 : La Chine y travaille ! (23/11/2019)

L’espace interstellaire : La Chine aussi ! (23/11/2019)

Tiangong-3 : La nouvelle station spatiale chinoise. (23/11/2019)

FAST : Le 2ème plus grand radio télescope du monde. (23/11/2019)

Livre conseillé :. Rêves de Mars par Philippe Coué (23/11/2019)

 

Ces astronews se veulent aussi être un avant-propos à la conférence de Philippe COUÉ, grand spécialiste de l’astronautique chinoise notamment, du 11 Décembre 2019 à 19H, dans le cadre des conférences mensuelles de la SAF.

Son thème : La Lune sera-t-elle chinoise ?

Ne manquez pas cette conférence, entrée libre au CNAM amphi Grégoire, mais il faut s’inscrire (il reste une trentaine de place)

 

LA CHINE : UN BEAU PROGRAMME SPATIAL. (23/11/2019)

 

Voici un numéro spécial consacré à l’espace chinois.

 

En effet il semble bien que cette année soit l’année de nouveaux défis, les Américains (la NASA) veulent retourner rapidement sur la Lune, des entreprises privées US aussi (SpaceX, Blue Origin, Boeing etc ..) ainsi que d’autres nations.

La Chine grande puissance spatiale ne pouvait pas rester en dehors de ce jeu.

Il semble même qu’elle ait des ambitions (démesurées ??) dans tous les domaines spatiaux.

Ce numéro des astronews veut faire le point sur les différents projets chinois.

Un point qui n’a pas échappé aux spécialistes : en 2018 les Chinois ont effectué 35 mises en orbite contre 29 lancements US et 20 pour les Russes (d’après Space Launch Report).

En 2019, en cette fin d’année, il y a eu 27 missions orbitales chinoises, 19 pour la Russie et 16 pour les USA.

Le dernier lancement date du 21 Nov, une fusée Long March 6 a mis 5 satellites chinois en orbite.

Malgré l’échec de Long March 5 de 2017, la Chine s’oriente, elle aussi, vers des lanceurs réutilisables.

Les Chinois seront-ils sur la Lune avant les Américains ? On commence à prendre les paris !

  

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

Conquête spatiale : la Chine accélère et lance plus de fusées que les États-Unis

 

La Chine va faire voler un lanceur réutilisable

 

China Space Program par Space.com

 

China launchers par Nasa Spaceflight.com

 

Le programme spatial chinois par Wikipedia, très complet.

 

China’s Long March To Space par Reuters, bien fait.

 

 

 

CHANG’E-4 : TOUT VA BIEN POUR SON 11ÈME JOUR. (23/11/2019)

 

Nous avions laissé le rover Yutu-2 sur la face cachée de la Lune il y a quelques temps, il avait fait une découverte étrange : une matière apparemment inconnue près d’un petit cratère.

 

Eh bien, il semble que le mystère ait été résolu : ce serait tout bonnement …du verre formé lors de l’impact d’une météorite (comme le verre libyque sur Terre dans le Sahara) ! On le voit (pas très distinctement) sur cette image.

 

Indépendamment de cela, la mission Chang’e-4 se déroule parfaitement bien, elle s’est réveillée de son 11ème jour lunaire et procède au programme d’exploration prévu.

 

Le rover a parcouru jusqu’ici près de 300 m dans le cratère Von Karman situé au Pôle Sud dans la zone du bassin Aitken.

On se rappelle que l’atterrissage a eu lieu le 3 Janvier 2019.

 

Entre deux jours lunaires, le rover et l’atterrisseur sont mis en mode repos.

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

China's Chang'e-4 probe resumes work for 11th lunar day

 

Here's What China's Yutu 2 Rover Found on the Far Side of the Moon par Space.com

 

La « mystérieuse » matière repérée par le rover chinois sur la face cachée de la Lune était… un rocher

 

Descent trajectory reconstruction and landing site positioning of Chang’E-4 on the lunar farside

 

 

 

CHANG’E-5 : RETOUR D’ÉCHANTILLONS PRÉVU. (23/11/2019)

 

Voici les dernières nouvelles d’après l’agence officielle Xinhua News Agency.

 

La Chine a depuis longtemps pour projet de ramener des échantillons de la surface de la Lune (dernière mission similaire en 1976 avec une Luna soviétique) ; ce sera la mission de Chang’e-5 prévue pour 2020.

 

Le lanceur devrait-être un Long March 5, le plus puissant des lanceurs chinois actuels, dont le deuxième exemplaire a mal fonctionné en Juillet 2017 lors de son lancement depuis la base de Wenchang dans la province de Hainan.

Les ingénieurs chinois ont travaillé sur les causes de cet accident depuis deux ans et sont prêts pour un troisième lancement avant la fin de cette année 2019, dont le succès est nécessaire pour envisager la mission Chang’e-5 en 2020.

Cet échec a aussi reporté la construction de la nouvelle station spatiale chinoise en orbite terrestre.

 

Signalons que le corps du lanceur fait 5 m de diamètre et ne peut être transporté au centre de lancement (une île) que par bateau !

 

 

Profil de la mission. (Crédit : Creative Commons)

 

L’ensemble Chang’e-5 (de plus de 8 tonnes) est composé de 4 parties :

·         Un atterrisseur

·         Un orbiteur

·         Un module d’ascension

·         Et un module de service et de retour.

 

Une image contenant terrain, extérieur, ciel

Description générée automatiquement

Les échantillons devraient être prélevés dans l’Océan des Tempêtes près de Rümker Mons.

 

Après le recueil d’échantillons (on prévoit au moins 2 kg) dans le module d’ascension, il est prévu un rendez-vous automatique en orbite lunaire et arrimage avec le module de rentrée avant un retour sur Terre avec rentrée à grande vitesse.

 

Crédit :NAOC

 

 

 

 

Il est prévu une phase ultérieure (Chang’e-6) où l’ensemble pourrait se poser près du Pôle Sud, probablement dans un cratère contenant de la glace.

 

Cette mission Chang’e-5 est d’une très grande complexité, souhaitons-lui un franc succès !

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

 

China to launch Chang'e-5 lunar probe in 2020

 

China targets late 2020 for lunar sample return mission

 

Chang'e 5, 6 (CE 5, 6) sur la Gunter’s Space Page.

 

Les Chinois autour de la Lune avant les Américains ?

 

 

 

 

VERS MARS EN 2020 : LA CHINE Y TRAVAILLE ! (23/11/2019)

 

Il va y avoir du monde sur Mars en 2020 !

 

En effet on attend les rovers Mars 2020 de la NASA et Exomars 2020 de l’ESA/Roscosmos ainsi qu’un orbiteur des Émirats Arabes Unis.

 

En principe un orbiteur et un atterrisseur chinois devraient aussi participer à cette fenêtre de tir de 2020.

 

Une image contenant ciel, extérieur, eau, montagne

Description générée automatiquementLes Chinois ont invité la presse internationale à assister à une répétition d’une simulation d’atterrissage au Nord de Pékin dans un terrain représentant suffisamment bien le relief martien.

L’atterrisseur était suspendu à une immense structure de 150 m de haut, par des câbles d’acier, afin que celui-ci puisse être soumis à une gravité martienne (1/3 celle de notre planète)

L’atterrisseur une fois relâché, a effectué des manœuvres d’évitement du relief martien, avant de poser.

Le test a été un succès.

 

Crédit : AFP PHOTO/China National Space Administration

 

 

 

On peut voir sur cette photo la maquette en train de survoler le terrain avant l’atterrissage.

 

Une vidéo montrant l’essai : https://youtu.be/avuLL6XMYeg

 

 

On sait que l’atterrissage sur Mars est la partie la plus dangereuse du voyage (50% des missions sont des échecs), aussi nos amis Chinois ne veulent rien laisser au hasard.

S’ils réussissent ils seront (à ce jour) les premiers après les Américains.

 

Le lancement est aussi crucial, comme déjà dit, le lanceur Long March 5 a subi un échec lors de son lancement en 2017, et le succès de son prochain lancement est nécessaire pour assurer un départ en 2020.

 

À quoi ressemblerait donc cet ensemble orbiteur/atterrisseur chinois ?

 

 

Une image contenant bâtiment, intérieur

Description générée automatiquement

Cette mission (pas encore de nom officiel) comporte un orbiteur (partie supérieure de la photo) et un atterrisseur avec un rover.

 

Une douzaine d’expériences scientifiques devraient être aussi embarquées. Notamment :

Une caméra haute résolution du style HiRise à bord de MRO de la NASA, une caméra moyenne résolution, un radar de surface, un spectro, un magnétomètre et différents analyseurs de particules.

 

L’atterrisseur devrait être deux fois plus lourd (240 kg) que le rover lunaire Yutu d’après l’agence chinoise.

Il devrait contenir radar, caméra et spectro.

 

 

Crédit photo : CGTN.

 

 

 

 

 

 

Une image contenant extérieur, ciel, terrain, camion

Description générée automatiquement

Une vue d’artiste de l’atterrisseur et de son rover.

 

Crédit CNSA (China National Space Administration)

 

Deux sites d’atterrissage ont été sélectionnés pour le moment :

·         Le premier serait Chryse Planitia (proche de Viking 1) et

·         Le deuxième Isidis Planitia (entre Curiosity et Viking 2).

 

 

 

L’atterrissage est bien entendu la phase déterminante, on va procéder par un ralentissement aérodynamique et parachute.

 

 

Une vidéo (ancienne) expliquant la mission : https://youtu.be/kEUARDdXt1A

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

 

This is the 1st Photo of China's Mars Explorer Launching in 2020 par Space.com

 

La Chine se pose (presque) sur Mars, article de Libération

 

China's Mars ambitions one step closer after successful test of lander

 

China’s first Mars spacecraft undergoing integration for 2020 launch

 

 

 

 

L’ESPACE INTERSTELLAIRE : LA CHINE AUSSI ! (23/11/2019)

 

Aucun domaine spatial n’échappera à la présence chinoise : ils veulent mettre au point une mission du genre Voyager 1 et 2, mais un peu différente.

 

C’est la mission IHP (Interstellar Heliosphere Probe) 1 et 2, mais contrairement aux deux Voyager partis dans la même direction, c’est-à-dire vers la partie avant de l’héliosphère, les sondes IHP partiraient dans des directions opposées avec un petit « plus » pour IHP-2.

Merci à la Planetary Society pour son article dont je m’inspire.

 

Une image contenant animal

Description générée automatiquement

 

Vue du Système Solaire et de l’héliosphère, où se trouve les deux sondes Voyager qui ont franchi la frontière entre l’héliosphère et le début du milieu interstellaire.

 

 

 

Illustration: NASA/JPL/Caltech.

 

 

 

 

 

IHP-1 se dirigerait comme les Voyager vers la tête de l’héliosphère et IHP-2 vers sa queue, zone totalement inexplorée, avec un petit bonus, lors des assistances gravitationnelles (nécessaires pour les deux sondes) on ferait un détour par Neptune.

À cette occasion une sonde devrait être larguée dans l’atmosphère de la planète.

 

À priori, les lancements sont prévus pour 2024.

IHP-1 après de nombreuses assistances gravitationnelles, atteindrait l’héliosphère vers 2049.

IHP-2 aussi après de nombreuses assistances gravitationnelles, atteindrait Neptune en 2038, puis une KBO avant de se diriger vers la queue de l’héliosphère.

 

Bref de très belles et ambitieuses missions.

 

Une image contenant texte

Description générée automatiquement

Une image contenant texte

Description générée automatiquement

Plan de vol de IHP-1
(Planetary.org et Zong Quigang)

Plan de vol de IHP-2
(Planetary.org et Zong Quigang)

 

 

Espérons que cette superbe mission aboutira. Remarquons que 2049 correspond aux cent ans de la naissance de la République démocratique de Chine.

  

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

China Considers Voyager-like Mission to Interstellar Space par la Planetary Society.

 

La Chine envisage une mission interstellaire qui fera un détour par Neptune

 

  

 

 

TIANGONG-3 : LA NOUVELLE STATION SPATIALE CHINOISE. (23/11/2019)

 

La station spatiale chinoise Tiangong-2 a terminé sa mission, elle a été désorbitée récemment et a brulé dans l’atmosphère, c’est pour cette raison que les Chinois ont l’intention de mettre la n°3 en orbite.

Il y a eu du retard suite au problème du lanceur Long March 5, mais ce problème résolu, cette nouvelle station devrait enfin rejoindre l’espace

 

Elle devrait être mise à poste en 2022, elle aurait une masse de 100 tonnes et pourrait accueillir 3 astronautes au début, puis 6. Elle pourrait aussi avoir la capacité d’être complétée avec d’autres modules.

 

Une image contenant transport, satellite, intérieur

Description générée automatiquement

Illustration, crédit : Adrian Mann / www.bisbos.com

Autre vue d’artiste de cette station spatiale.

 

Le module central (Tianhe 18 m de long, 4,2 m de diamètre, 22 t) sera le premier lancé, suivi de modules scientifiques (Wentian) et d’autres (Mengtian).

 

Cette station devrait devenir une base permanente chinoise dans l’espace.

 

Si jamais l’ISS est mise au rebut vers 2025 comme projeté (une bêtise NdlR !!) cette station chinoise serait la seule station en orbite terrestre.

 

 

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

China reveals design for planned Tiangong 3 space station  à lire, beaucoup de détails

 

China To Launch New Space Station by 2022, Official Says

 

China could be facing space station delay, Tiangong-2 to be deorbited

 

China prepares for space station construction

 

 

  

FAST : LE 2ÈME PLUS GRAND RADIO TÉLESCOPE DU MONDE. (23/11/2019)

 

C’est le FAST acronyme de Five-hundred-meter Aperture Spherical Radio Telescope, radio télescope sphérique de 500 m d’ouverture.

Il est construit dans une dépression naturelle dans la province du Guizhou dans le SO de la Chine.

 

Il vient juste après le radio télescope RATAN-600 (près de 600 m de diamètre avec aussi près d’un millier d’antennes) dans le Caucase russe.

 

La sensibilité de FAST est de 2 à 3 fois celle d’Arecibo (305 m de diamètre).

 

Une image contenant arbre, herbe, extérieur, ciel

Description générée automatiquement

Il est constitué de 4450 panneaux individuels montés sur une antenne fixe de 500 m de diamètre.

 

Sa construction a débuté en 2011 et il a été déclaré opérationnel cette année 2019, où il est mis à la disposition des radioastronomes du monde entier.

 

Les radiotélescopes à notre époque sont des vrais monstres, soit en un seul morceau comme FAST ou Arecibo, soit en assemblant une multitude plus petits éléments comme le VLA par exemple.

 

Crédit Photo : NAOC.

 

 

 

 

 

 

Une image contenant texte, carte

Description générée automatiquement

Le récepteur du FAST est mobile (6 câbles) et permet de pointer de +/- 40° autour du zénith. (Voir schéma).

 

De plus le réflecteur peut être légèrement déformé si nécessaire.

 

Depuis sa mise en service, FAST a détecté 130 nouveaux candidats pulsars, beaucoup ont été confirmés par d’autres observatoires.

 

FAST va aussi s’atteler à une étude complète du ciel sur une période de 5 ans.

 

 

 

 

FAST scrute le ciel entre 70 MHz et 3 GHz (extensible dans le futur à 8 GHz).

 

 

Le site de FAST est idéal, dans le S de la Chine, la température y est douce, il y a peu d’habitations, bien que quelques milliers de personnes aient été déplacées pour la construction.

  

POUR ALLER PLUS LOIN :

 

Le télescope chinois FAST a repéré plus d'une centaine de sursauts radio rapides entre fin août et début septembre

 

Le FAST chez Wilipedia.

 

Gigantic Chinese telescope opens to astronomers worldwide

 

China’s FAST Telescope, the World’s Largest Single Radio Dish Telescope, is Now Fully Operational

 

FAST chez eo portal.

 

 

 

LIVRE CONSEILLÉ : RÊVES DE MARS PAR PHILIPPE COUÉ (23/11/2019)

 

(Nous avions déjà parlé de cet ouvrage dans ces colonnes il y a quelques temps)

Je reprends la présentation faite :

 

 

Notre ami Philippe Coué, grand spécialiste de l’astronautique, vient de publier un ouvrage nécessaire à tout Martien en puissance au moins : Rêves de Mars.

 

 

Il fait le point sur les missions passées et futures.

 

 

Qui sera le premier sur la planète rouge ?

 

 

 

 

 

 

Présentation de l'éditeur :

 

L'Homme rêve de fouler un jour les sables glacés de la planète Mars. Mais ce projet est bien plus compliqué que le voyage vers la Lune. Cela n'a pas empêché les grandes puissances spatiales d'élaborer des plans très précis dont la faisabilité était déjà démontrée dès la fin des années 1960.

 

Depuis, c'est principalement la Nasa qui a poursuivi les initiatives martiennes au gré des administrations présidentielles. Mais en quelques années, la situation a sensiblement évolué avec l'émergence du secteur privé et le phénomène SpaceX qui promet de coloniser Mars, ainsi que la montée en puissance de la Chine.

 

Par ailleurs, le développement rapide de technologies très innovantes pourrait à court terme complètement bouleverser certains aspects des voyages interplanétaires et les faciliter.

 

 

 

 

 

 

Cet ouvrage présente par le texte et par l'image les principaux projets d'expéditions habitées vers la planète rouge. Les amateurs de Mars et d'astronautique s'y retrouveront avec cette somme d'informations encore largement inédites.

Ils découvriront que l'Homme sur Mars est à notre portée de main : ce n'est plus une affaire de volonté et moins un problème technique que politique pour que ce rêve devienne réalité.

 

 

Biographie de l'auteur

Philippe Coué exerce dans le secteur spatial. Il est à l'origine de livres et de très nombreux articles sur les vols spatiaux habités et l'exploration de l'espace. Comme Président de l'Astronaute-Club Européen, il contribue à promouvoir le développement des vols spatiaux habités privés.

 

Broché: 239 pages   L'Esprit du Temps; Édition  23€

ISBN-13: 978-2847954104

 

  

 

 

 

 

Bonne lecture à tous.

 

C’est tout pour aujourd’hui !!

 

Bon ciel à tous !

 

JEAN-PIERRE MARTIN

 

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