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Nos
amis d’Astrium, nous font parvenir cette photo :
Voici
l’endroit où se trouve Curiosity, au pied du Mont Sharp. Il va se diriger
d’abord vers le point marque Glenelg (nom d’une formation rocheuse au
Canada) puis vers la base du Mont.
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Le
site du Spacetelescope (un des sites consacré à Hubble) met à notre
disposition toutes les archives et nous donne l’occasion de découvrir des
trésors cachés non publiés à ce jour.
Ce
sont ces fameuses ceintures Van Allen découvertes par le premier satellite
américain Explorer
I lancé en 1958 par Von Braun et son équipe dont James
Van Allen.
Ce
sont en fait des ceintures toroïdales magnétiques, contenant un grand
nombre de particules chargées qui interagissent avec les particules émises
par le Soleil en leur évitant ainsi d’atteindre le sol terrestre. Cette
interaction donne naissance au phénomène des aurores polaires.
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Des
millions de quasars (TN supermassifs de masse des millions voire des
milliards de fois la masse de notre Soleil) ont été identifiés par WISE
La
caméra électronique du nouveau télescope pourra détecter la lumière
Cherenkov avec un « temps d'exposition » de quelques milliardièmes
de secondes, une rapidité quasiment un million de fois supérieure
à celle d'une caméra normale. D'une masse de trois tonnes, cette caméra
est suspendue à 36 mètres au-dessus du miroir principal du télescope :
pointée à la verticale, cette installation atteint alors la hauteur d'un
immeuble de vingt étages. En dépit de sa taille et de ses 600 tonnes,
HESS-II pourra pivoter deux fois plus rapidement que les autres télescopes
de H.E.S.S., afin de répondre immédiatement aux alertes de sursauts gamma,
ces signaux d'explosions qui arrivent soudainement de n'importe où dans le
ciel.
Ce
schéma compare notre système solaire avec le système de Kepler-47, qui
abrite deux soleils, l’un comparable au nôtre mais plus brillant ,
l’autre, une naine rouge, un tiers de la taille de notre Soleil et très peu
lumineux (1% du Soleil).

Un
petit livre tout simple qui fait le point sur les neutrinos et sur la
soi-disant découverte il y a quelques temps du dépassement de la vitesse
de la lumière.
Le
lundi 6 août au matin, le robot Curiosity s'est posé avec succès sur la
planète Mars. Il était alors facile de constater, partout où des
rassemblements étaient organisés pour suivre l'événement "en
direct", l'enthousiasme et la fascination du public pour ce dernier épisode
de la grande saga martienne. Certes, il y avait du suspense, une
dramatisation savamment orchestrée par la Nasa avec ses "7
minutes de terreur", un petit film d'animation décrivant la décélération
à haut risque de la sonde dans l'atmosphère martienne, mais il suffisait
de voir les visages des pilotes et des scientifiques pour comprendre que, ce
matin-là, rien n'était feint. 

Pour
la Science, l’édition française du célèbre Scientific American fait le
point sur cette découverte majeure.